L'or : le placement insoupçonné qui fascine les investisseurs
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L’or: investissement incontournable (Et si l’or était tout simplement le meilleur investissement ? L’histoire complète)

Les prix des maisons aux États-Unis ont augmenté de façon spectaculaire depuis 1979, passant en moyenne de 73.000 à 514.000 dollars. Cependant, le prix d’une maison en or est resté constant, atteignant toujours 268 onces d’or. Cette stabilité fait de l’or une réserve de valeur fiable au fil du temps.

À travers l’histoire, l’or a été utilisé comme monnaie et a longtemps servi de garantie pour les devises papier. Même aujourd’hui, il est considéré comme un investissement alternatif et une forme de protection contre la dévaluation des devises.

Face à cette réalité, la question se pose : ne serait-il pas plus judicieux d’investir dans l’or plutôt que de chercher des rendements incertains dans des devises en perte constante ? Il s’agit là d’une interrogation sérieuse à prendre en considération lorsqu’on envisage ses options d’investissement.

Pourquoi l’or est-il si spécial ?

L’or est un actif précieux et stable, très liquide sur les marchés mondiaux. Sa rareté en fait une valeur préservée dans le temps, contrairement aux devises papier émises par les banques centrales. Ces dernières créent de la monnaie à volonté, ce qui peut dévaluer leur valeur. Face à cette réalité, de nombreuses banques centrales ont massivement acheté de l’or au cours des dernières années pour renforcer leurs réserves. Cette tendance souligne l’importance croissante de l’or comme refuge financier sûr et fiable.

Le statut spécial de l’or réside dans sa solidité et son caractère universellement accepté comme forme de valeur. Par opposition, la création illimitée des devises papier peut conduire à une perte de leur pouvoir d’achat au fil du temps.

En conclusion, l’acquisition d’or représente un investissement judicieux pour quiconque souhaite préserver la valeur de ses avoirs financiers dans un contexte économique incertain.

L’émergence de l’or comme monnaie et de son rôle comme étalon

La naissance de l’or comme norme monétaire remonte à la ville de Sardis, capitale de la Lydie, vers 600 avant Jésus-Christ. Les marchands et les soldats cherchaient un moyen plus pratique d’échanger des biens encombrants lors de leurs déplacements sur les grandes routes commerciales. Ils ont trouvé une solution dans la rivière Pactole, qui charriait des paillettes d’or utilisées pour fabriquer des pièces dont la valeur était garantie par le roi de Lydie. Ces pièces sont rapidement devenues courantes dans le bassin méditerranéen et ont été acceptées dans le commerce avec l’Orient. La pratique de battre la monnaie s’est étendue à l’Europe et à l’Asie, marquant ainsi le début de l’utilisation de l’or comme monnaie internationale.

Les Romains utilisent l’or pour construire leur empire

L’histoire de la dévaluation de la monnaie remonte à l’époque romaine, où l’aureus romain, une pièce en or précieuse, a vu son poids diminuer au fil des règnes des empereurs. Cette dépréciation s’explique par une pénurie d’or face à des besoins financiers croissants et une gestion aléatoire des ressources monétaires. La diminution du contenu en or dans les pièces était alors un moyen d’accroître la masse monétaire pour répondre aux besoins financiers.

Malgré la chute de l’empire romain, l’empire byzantin a prospéré grâce au christianisme et à l’introduction du solidus, une nouvelle monnaie en or initiée par Constantin. L’utilisation judicieuse de cette monnaie a permis à Byzance de maintenir sa prospérité pendant plusieurs siècles.

Au Moyen-Âge, Venise est devenue un centre majeur de construction navale en Europe et a accumulé d’importantes richesses grâce aux ventes de navires. Les monarques européens se sont constamment endettés auprès des banquiers vénitiens, faisant ainsi concurrence à Constantinople, la capitale byzantine.

Ces événements historiques soulignent l’évolution complexe et souvent controversée des politiques monétaires et financières au fil des siècles.

Le maître de l’or, le maître du monde

En 1202, les chevaliers français demandent de l’aide aux Vénitiens pour la quatrième croisade. Le dirigeant vénitien profite de cette opportunité pour s’emparer de Constantinople et accumuler de l’or à travers le pillage des édifices religieux. Avec cet or, les Vénitiens deviennent maîtres du commerce en Europe et même jusqu’en Inde et en Chine. La maîtrise de l’or semble être un modèle récurrent dans l’histoire qui permet d’accéder au pouvoir.
En 1492, Christophe Colomb découvre le Nouveau Monde riche en or, profitant ainsi aux monarques espagnols qui ont financé son expédition. Au cours des siècles suivants, d’autres pays comme le Royaume-Uni et les Pays-Bas prennent également part au commerce mondial.
Au 19e siècle, l’introduction de la monnaie-papier marque un changement important dans le système financier mondial.

L’émergence de la monnaie-papier

Les États-Unis ont été des précurseurs dans la redéfinition du concept de monnaie et son rapport à l’or au début du 19e siècle. À cette époque, le pays importait plus qu’il n’exportait, ce qui entraînait une sortie importante de ses espèces métalliques vers l’étranger. Pour pallier ce problème et favoriser leur développement économique, les États-Unis ont eu besoin de plus petites espèces.

Afin de répondre à ce besoin, chaque banque a commencé à émettre ses propres billets avec des valeurs spécifiques, échangeables en or à leurs guichets. Ainsi est née la notion de monnaie-dette : chaque billet représentait une promesse d’échange contre sa valeur en or. Cette évolution a permis aux États-Unis de s’adapter à leurs besoins économiques et d’affirmer un nouveau modèle financier.

Risque de panique bancaire lié à la dépendance à l’or

Le développement économique s’accélère, mais les billets en circulation dépassent largement les réserves d’or des banques. Cela conduit à des périodes de récession et à des faillites bancaires, comme cela s’est produit vers 1830. Le salut arrive avec la découverte de gisements d’or en Californie à la fin des années 1840. Cependant, le manque d’or entraîne encore des difficultés économiques, telles que le naufrage du Central America chargé d’or en 1857.
La guerre civile éclate quelques années plus tard et le gouvernement emprunte de l’or auprès des banques privées pour financer la guerre. Malheureusement, les réserves sont insuffisantes et les billets perdent leur valeur lorsque les banques mettent un terme à leur compensation en or.

Décorréler la monnaie de l’or : comment faire ?

Les Américains cherchaient un moyen de séparer la monnaie de l’or. Ils voulaient une monnaie en qui les gens auraient confiance, même si le papier sur lequel elle était imprimée n’avait aucune valeur intrinsèque et ne représentait pas réellement la promesse d’une équivalence en or.

C’est ainsi que le dollar est né : une monnaie-papier émise par le gouvernement fédéral et adossée à l’or seulement en théorie. À la fin de la guerre civile, 400 millions de dollars ont été mis en circulation.

Désormais, la valeur de l’or dépendait de la demande, de sa production dans les mines et des échanges commerciaux avec l’étranger, tandis que celle du dollar était décidée par le Congrès américain. Le taux de change entre l’or et le dollar était fixé quotidiennement par les agents de change.

La monnaie en papier et l’or coexistent

L'or: investissement incontournable (Et si l’or était tout simplement le meilleur investissement ? L’histoire complète)

La valeur du dollar n’est plus liée à celle de l’or, mais l’or reste un actif important. Certains spéculent sur le taux de change entre l’or et le dollar pour gagner de l’argent, mais cela peut être risqué. En 1869, la vente massive d’or par le président Ulysses Grant a entraîné une chute des prix et la ruine de nombreux spéculateurs.

Malgré ces risques, l’or continue d’être utilisé comme moyen de paiement dans le monde entier. La ruée vers l’or s’intensifie en Afrique du Sud et en Australie.

Les guerres mondiales ont affaibli les pays européens, les privant de réserves d’or suffisantes. Les dépenses massives pendant les guerres ont accru leur endettement et leur incapacité à conserver des réserves d’or nécessaires.

Le chef de l’État américain prend possession de l’or des citoyens

Après la crise boursière de 1929, les États-Unis ont connu une période économique difficile. Les Américains ont voulu échanger leurs dollars contre de l’or, ce qui a conduit à la faillite de nombreuses banques. Face à cette situation critique, le président Roosevelt a pris des mesures radicales : il a fermé les banques, retiré les États-Unis de l’étalon-or et confisqué l’or détenu par les citoyens. Cette action a provoqué une baisse significative de la valeur réelle de l’or et des conséquences sévères pour ceux qui en avaient thésaurisé.

Après la réouverture des banques, le dépôt d’or a surpassé à nouveau les retraits, évitant ainsi de nouvelles faillites bancaires. Cependant, cette décision a eu un impact négatif sur les citoyens qui avaient investi dans l’or pour se protéger. En fin de compte, l’or n’a plus été utilisé comme monnaie, mais seulement pour garantir la valeur des billets imprimés.

Les Accords de Bretton Woods: une explication simple

Reprenons notre voyage dans l’histoire. La Seconde Guerre mondiale a dévasté les pays européens, mais elle a également offert une opportunité exceptionnelle aux États-Unis. Les Accords de Bretton Woods ont établi un système de changes fixes basé sur le dollar, renforçant ainsi sa position comme principale monnaie de référence. Les Européens ont dû rembourser leurs dettes en dollars et ont donc acheté des dollars avec leur or, consolidant ainsi la position du dollar dans le système monétaire international.

Un défaut dans le système de Bretton Woods

Le système de Bretton Woods, mis en place après la Seconde Guerre mondiale, reposait sur la convertibilité du dollar en or. Cependant, ce système a rencontré des difficultés au fil des années. Les États-Unis sont entrés dans des déficits commerciaux à partir des années 50, nécessitant un afflux permanent de dollars pour maintenir le système. Cela a conduit à une accumulation de réserves de dollars par les pays exportateurs.

Parallèlement, la confiance dans le dollar a été ébranlée en raison de l’endettement croissant des États-Unis pour financer la guerre du Vietnam et leurs programmes sociaux. Les pays ont commencé à douter de la stabilité du dollar et ont demandé à convertir leur excédent de dollars en or.

Face à cette pression croissante, le président Nixon a décidé de suspendre la convertibilité du dollar en or en 1971, marquant ainsi la fin du lien entre la monnaie-papier et l’or. La confiance dans l’autorité émettrice est alors devenue le garant de la valeur de l’argent.

La fin des Accords de Bretton Woods a donc marqué un tournant majeur dans le système financier international, mettant fin à l’étalon-or et instaurant un nouveau régime basé sur la confiance dans les monnaies fiduciaires.

La France sous les projecteurs

La France et sa relation avec l’or :
– Zoom sur la monnaie française et l’or
– États-Unis, maintenant la France
– Petite plongée dans l’économie française.

La première monnaie-papier en France : le système de Law

Au 18e siècle, la France a expérimenté deux formes de monnaie-papier. La première était le système de Law, créé par l’Écossais John Law pour résoudre le problème de la dette publique qui s’élevait à 2,8 milliards de livres tournois. Pour cela, il a établi une banque privée appelée Banque Générale, autorisée à émettre de la monnaie-papier convertible en or. Ces billets étaient comme des actions rémunérées à 7,5 % et pouvaient être payés en espèces ou en papiers d’État. En parallèle, Law utilisait sa compagnie de commerce colonial pour garantir la convertibilité des billets en or grâce aux monopoles qu’elle détenait. Cette stratégie a permis d’attirer les capitaux et populariser l’utilisation de la monnaie fiduciaire en France.

Le fonctionnement du système de Law

John Law a mis en place un système financier qui reposait sur l’émission de monnaie-papier convertible en or, avec pour objectif d’attirer des espèces métalliques et de soutenir la puissance économique de la France dans le commerce colonial. Cependant, cette approche a entraîné une hausse rapide des prix des actions, une augmentation de la masse monétaire et une intensification de la spéculation. De plus, ce système était vulnérable aux crises soudaines causées par un afflux insuffisant d’or ou par un bank run, mettant ainsi en péril sa stabilité.

Chute du système de Law

En 1720, la compagnie de Law est au bord de la faillite. Pour résoudre ses problèmes financiers, Law met en place des mesures pour empêcher l’accumulation d’or et d’argent par les foyers. Il interdit la possession de plus de 500 livres de métaux précieux, sous peine de confiscation et d’amende. Les personnes qui refusent sont soumises à des perquisitions.

Ces décisions provoquent une forte colère parmi les gens et alimentent la méfiance. Des membres influents de la noblesse retirent leur or des banques, déclenchant des émeutes meurtrières. Cela conduit finalement à l’effondrement du système financier créé par Law.

La deuxième monnaie-papier en France: les assignats

La monnaie-papier a été introduite en France pour la première fois pendant la Révolution. Les assignats ont été créés pour résoudre le problème de la dette publique, en utilisant les biens nationaux comme garantie. Les assignats étaient initialement liés à la valeur des biens nationaux, mais ils ont fini par devenir une véritable monnaie-papier, ce qui a entraîné une dépréciation rapide. L’État a même imprimé plus d’assignats que la valeur réelle des biens nationaux, ce qui a contribué à une crise économique majeure. Des lois ont été votées pour forcer l’utilisation des assignats dans les transactions commerciales et menacer de sévères sanctions toute personne refusant de les accepter. Finalement, les assignats ont disparu au profit d’un nouveau système monétaire.

Les dettes russes non remboursées

Au tournant du 20e siècle, la France a encouragé ses citoyens à souscrire aux emprunts russes pour renforcer son alliance avec la Russie. Les obligations émises par le gouvernement impérial russe visaient à financer des projets d’infrastructure et de modernisation, ainsi qu’à couvrir les dépenses liées aux guerres. Malgré l’endettement important de la Russie, les coupons étaient régulièrement payés jusqu’à la révolution en 1917. À cette date, les bolcheviks ont annulé toute la dette contractée par le gouvernement tsariste, ce qui a eu un impact sur les investisseurs français. Même si certains espéraient une reprise partielle de la dette par la France et un changement de position du nouveau gouvernement russe, cela ne s’est pas concrétisé.

L’État français se désengage

Un grand nombre de Français, pas nécessairement riches, ont souffert des conséquences d’un ancien système d’emprunt d’État qui leur a causé des pertes financières. Un accord entre les gouvernements russe et français en 1997 a laissé de nombreux porteurs de titres français sans recours auprès de l’État français pour obtenir compensation. La Russie a versé 400 millions de dollars à la France dans le cadre de cet accord, mais seulement une fraction modique a été destinée aux porteurs français, représentant une valeur bien inférieure à celle des titres détenus. Plusieurs associations ont tenté de défendre les intérêts des porteurs lésés, mais leurs efforts semblent peu prometteurs face à ces injustices financières persistantes depuis plus de 80 ans.

Toujours la même histoire

Cet épisode met en lumière l’importance de pouvoir tenir les promesses faites, surtout lorsqu’il s’agit d’un papier convertible en or. Pour que la promesse soit validée, il est essentiel que l’émetteur détienne une quantité suffisante de l’actif sous-jacent, à savoir l’or. Cela soulève également des interrogations concernant les réserves d’or des ETF or. Ont-ils réellement les réserves d’or nécessaires ou s’agit-il simplement d’une supposée convertibilité ? Ces questions sont cruciales car la véracité de ces affirmations doit être établie avec certitude.

Banques centrales : achats records d’or

Aujourd’hui, l’or conserve sa valeur comme refuge financier en cas de crise. Même si les monnaies ne sont plus liées à l’or, de nombreuses banques centrales continuent d’en acheter massivement, ce qui renforce la crédibilité des pays qui en détiennent. Les principaux acheteurs cette année sont la Chine, la Pologne et Singapour. Ces acquisitions démontrent la confiance persistante dans l’or malgré les évolutions du système financier mondial.

Les réserves d’or de Singapour restent solides et constituent un indicateur crucial de sa santé économique. Cette stratégie est partagée par plusieurs autres pays qui considèrent l’or comme un actif sûr pour préserver leur richesse en période d’incertitude financière.

L’engouement des banques centrales pour l’or

Les banques centrales améliorent la perception et la confiance dans leur économie en augmentant leurs réserves d’or. Cela renforce également la souveraineté de leur monnaie, les protège contre l’inflation et la volatilité des marchés financiers, et limite l’impact des décisions de la Réserve fédérale américaine. De plus, cela leur offre une certaine neutralité vis-à-vis des pays avec lesquels elles entretiennent des relations tendues. En outre, ces réserves d’or fournissent aux banques centrales une source de liquidités à court terme si nécessaire.

La France ne fait pas d’achats d’or

Les réserves d’or des pays varient en fonction de leur économie et de leur alignement avec les États-Unis. Les pays développés tendent à réduire leurs réserves d’or, tandis que les économies émergentes et en développement ont tendance à les augmenter. Certains pays comme l’Allemagne vendent régulièrement de l’or depuis le début des années 2000, tandis que la France, la Suisse et les États-Unis ont des réserves inchangées depuis la fin des années 2000. Au contraire, le Canada n’a plus aucune réserve d’or depuis 2016.

Cette évolution peut s’expliquer par le niveau de financiarisation de l’économie de chaque pays, ainsi que par leur alignement géopolitique avec les États-Unis. Les relations conflictuelles avec les États-Unis peuvent diminuer la confiance dans le système financier adossé au dollar, incitant certains pays à augmenter leurs achats d’or.

En regroupant les pays selon leur alignement avec les États-Unis, on constate une tendance générale à l’augmentation des réserves d’or pour tous les pays, sauf ceux qui sont fortement alignés avec les États-Unis.

Acheter de l’or en 2023 : une bonne idée ?

L’or est un investissement particulier. Il agit comme une assurance contre l’apocalypse car il ne génère aucun revenu. Cependant, son prix varie et peut entraîner des gains ou des pertes, ce qui le rend imprévisible. Les analystes ne parviennent pas à expliquer pourquoi sa valeur ne reflète pas la situation économique actuelle. Il existe d’autres moyens de se protéger en investissant dans des actifs tels que les actions de sociétés minières comme Rio Tinto, Newmont ou Barrick Gold (à titre d’exemples, non de recommandations) ainsi que dans d’autres métaux tels que l’argent.

Pourquoi acheter de l’or ?

Pour vous protéger contre une crise bancaire, l’inflation et la dévaluation de la monnaie, il est important de diversifier vos actifs. Investir dans l’or peut être un moyen efficace de préserver votre richesse, car il conserve sa valeur au fil du temps. Contrairement à d’autres actifs non productifs, l’or n’est pas contrôlé par une entité spécifique et peut constituer un refuge sûr en période d’instabilité financière. Envisager l’achat d’or comme moyen de protection pour vous-même et pour les générations futures pourrait s’avérer judicieux.

Publié par albert.satre

Albert Satre, un passionné de l’immobilier avec plus de 20 ans d’expérience, VivreImmobilier.com est né d’une vision simple : rendre l’immobilier accessible à tous. Albert, auteur du livre à succès « Vivre de l’Immobilier », a parcouru un chemin exceptionnel, passant d’un investisseur novice à un expert reconnu dans le domaine.