Bonjour Albert, merci de me recevoir. Merci, tout Ă fait. Merci de me recevoir, merci Ă tout le monde qui assiste en live aujourd’hui. Avant de parler de l’Everage Club, pour me prĂ©senter rapidement, je m’appelle Bastian Puccini, je suis conseiller en gestion de patrimoine, j’ai passĂ© un master en gestion de patrimoine. J’ai Ă©tudiĂ© en France, aux États-Unis, la gestion de patrimoine, la partie banque, la partie investissement, marchĂ© financier, finance d’entreprise, et j’ai donc créé mon propre cabinet en gestion de patrimoine, après avoir fait mon master dans ce domaine-lĂ , et avoir rejoint le M.B.O.N. pour incuber mon projet. Dans cette Ă©cole, ça m’a permis d’ĂŞtre bĂ©nĂ©ficier d’un très bon rĂ©seau et de propulser vraiment nos activitĂ©s. Ă€ l’heure actuelle, je suis CIF, conseiller en investissement financier, IOBSP, IAS, CIP, conseiller en investissement participatif, qui est une des accrĂ©ditations importantes, notamment pour la structuration de Club Deal. L’Everage Club, que je dirige et que j’ai fondĂ© avec trois autres personnes, c’est une aventure qu’on a commencĂ© Ă quatre, et c’est un club privĂ© d’investisseurs qu’on a ouvert il y a un petit peu plus d’un an, et avec lequel on a accompagnĂ© jusqu’Ă aujourd’hui, on approche des 100 investisseurs accompagnĂ©s. Globalement, l’offre de valeur qu’on propose, c’est de mettre Ă disposition de tous les investisseurs qu’on accompagne, d’une part notre rĂ©seau, donc une partie de mon mĂ©tier c’est de connaĂ®tre un maximum de personnes compĂ©tentes dans ce qu’elles font, tout simplement pour rĂ©soudre tous les problèmes financiers, juridiques, patrimoniaux d’un investisseur, et d’autre part, l’autre partie de notre proposition de valeur, c’est de pouvoir structurer de la performance pour nos investisseurs de manière cohĂ©rente avec leur profil. Quand je dis de manière cohĂ©rente, c’est-Ă -dire que des fois on va avoir des personnes qui veulent crĂ©er 3 millions de patrimoine Ă l’Ă©chelle d’une vie, et partir Ă la retraite avec 3 millions d’euros de patrimoine, et d’autres personnes qui, elles, en revanche, veulent plutĂ´t crĂ©er du cashflow, et donc on va ĂŞtre plus sur des problĂ©matiques de crĂ©er de l’argent plus rapidement, potentiellement en prenant plus de risques, et nous c’est un petit peu la promesse de valeur qu’on fait. Nos grandes missions, donc du coup il y en a quatre, aujourd’hui on va surtout s’attarder sur la quatrième, donc la structuration de Club Deal, on travaille avec les investisseurs avec lesquels on collabore, sur du coup de l’Ă©laboration de stratĂ©gies patrimoniales, du mentoring, la mise Ă disposition de notre rĂ©seau, et puis comme je le disais, la structuration de Club Deal off market. Alors pourquoi off market ? Parce qu’en fait tout simplement c’est notre rĂ©seau et nous-mĂŞmes qui allons partir Ă la pĂŞche aux investissements rentables en France et Ă l’Ă©tranger pour pouvoir les proposer aux investisseurs qui nous font confiance. Si tu peux penser sur la question de la très distinctivitĂ©. VoilĂ , sur ton actualitĂ©. Oui effectivement, donc du coup au niveau des actualitĂ©s qu’on a avec le club, je vais surtout m’attarder du coup sur les Club Deal aujourd’hui, on dĂ©veloppe trois branches sur nos Club Deal. Donc Ă l’heure actuelle, celle qu’on a lancĂ©e, c’est la partie marchande bien, donc je pense que au niveau de ta communautĂ©, tout le monde voit ce que c’est un marchande bien, mais voilĂ , globalement, achat, travaux, revente, l’objectif, moi souvent je le compare un petit peu au trading vers, enfin au trading version immobilier, le marchande bien. C’est vraiment acheter, prendre une plus-value sur une pĂ©riode de temps assez courte. Et donc voilĂ , ça c’est vraiment la partie Club Deal qu’on a dĂ©veloppĂ©e Ă l’heure actuelle. On a Ă©galement dans l’Ă©quipe un portfolio manager qui dĂ©veloppe une partie trading, oĂą lĂ l’objectif c’est d’aller chercher encore plus de rendement, de manière plus agressive et encore plus spĂ©culative. C’est pas encore lancĂ©, en tout cas pas encore Ă nos investisseurs, puisque lĂ pour l’instant on est en train de crĂ©er notre historique de rendement. La troisième branche qu’on va dĂ©velopper Ă©galement plutĂ´t fin 2024, dĂ©but 2025, c’est une branche du coĂ»t private Ă©coutier, et donc le private Ă©coutier pour information du coup qui est vraiment le marchĂ© du non-cĂ´tĂ©, et oĂą lĂ l’idĂ©e qu’on a, c’est de pouvoir rassembler nos investisseurs dans des holdings d’investissement, mutualiser un investissement qui va ĂŞtre quand mĂŞme assez consĂ©quent, que vous entendez 300, 500 000 euros, et en fait tout simplement prendre des participations dans des business non-cĂ´tĂ©s. Donc cette partie lĂ , private Ă©coutier, on va vraiment bien se rĂ©galer dessus, puisqu’en fait on pourra faire un petit peu ce qu’on veut, ouvrir un restaurant en Suisse, ouvrir une franchise basic fit, ouvrir une chaĂ®ne de grande distribution aux Ă©mirats. Sur la partie private Ă©coutier, on a vraiment le champ des possibles qui s’offre Ă nous, et ça c’est super intĂ©ressant pour nous. Donc pour la petite anecdote, lĂ je vais rencontrer prochainement sur Lyon, quelqu’un qui travaille notamment sur des voitures de collection et des voitures de prestige, et un des projets qu’on va avoir si le courant passe bien, ce sera justement de dĂ©velopper une holding d’investissement pour rassembler des capitaux, et investir dans des voitures de collection par son intermĂ©diaire. Donc ça voilĂ , c’est vraiment la partie club-deal qu’on dĂ©veloppe en ce moment. On dĂ©veloppe Ă©galement une conciergerie, donc pour l’instant vraiment sur la CĂ´te d’Azur, mais on va l’Ă©tendre Ă Lyon et Ă Paris, et puis on dĂ©veloppe Ă©galement des activitĂ©s Ă l’international, je reviens de DubaĂŻ rĂ©cemment, on a Ă©galement des investisseurs au Luxembourg et en Suisse, et voilĂ , on dĂ©veloppe aussi bien nos activitĂ©s, notre clientèle et nos partenariats en France et Ă l’Ă©tranger. Donc le projet actuel sur lequel on travaille en ce moment, comme je le disais aujourd’hui, la partie qu’on a vraiment lancĂ©e, c’est la partie immobilière, et quand je dis immobilier, c’est surtout marchand de biens. L’objectif qu’on a, donc lĂ actuellement on travaille sur un projet Ă 1,2 million d’euros Ă Cannes, donc c’est un projet rentrĂ©e de gamme luxe, donc ce n’est pas un projet Ă 10 millions, ce n’est pas non plus un projet Ă 200 millions, donc on est sur un projet quand mĂŞme maison bourgeoise Ă Cannes, et donc on a rencontrĂ© du coup un marchand de biens avec lequel on a dĂ©cidĂ© d’entamer une collaboration, et donc du coup c’est ce qu’on disait Albert effectivement, une des grandes problĂ©matiques d’un marchand de biens, et en fait il y en a deux, c’est trouver des biens rentables, avoir un deal flow de biens qui sont rentables, et une fois qu’on les a, ce n’est pas tout d’avoir le bien, mais tout l’intĂ©rĂŞt c’est d’avoir le financement et le cash Ă apporter pour avoir son financement bonquin. C’est vraiment les deux grandes problĂ©matiques en tant que marchand de biens, trouver les biens, trouver le financement. Le partenaire qu’on a rencontrĂ© du coup sur Cannes, avec lequel on a entamĂ© une collaboration, c’est un marchand de biens très prolifique, donc lui il a fait une centaine d’opĂ©rations depuis ces dix dernières annĂ©es, et il est Ă©galement formateur, il a Ă l’heure actuelle autour de 4500-5000 personnes dans sa communautĂ© qui font exactement pareil que lui, c’est-Ă -dire trouver des biens, les acheter, les rĂ©nover, les revendre avec plus de valeurs. Un des grands problèmes qu’il a, c’est pas tant son deal flow, c’est surtout sa capacitĂ© Ă financer des biens, puisque au bout d’un moment, si la banque demande, ce qu’on disait tout Ă l’heure, globalement le chiffre que j’ai, c’est 25-30% d’apport sur un projet, de ton cĂ´tĂ© Albert, je ne sais pas si toi en moyenne, tu as des chiffres sur toi, combien tu apportes Ă la banque Ă chaque fois ?
Pour la plupart, oui c’est obligatoire. Je suis obligĂ© de passer par la banque.
25-30% Nous, c’est 25-30% d’apport, notre partenaire qui est spĂ©cialisĂ© sur des prestations au standing, travaille la plupart du temps sur des projets supĂ©rieurs Ă 1 million, voire mĂŞme 2 millions, 3 millions, vous comprenez très vite que si on a 10 projets Ă 4 millions Ă financer dans l’annĂ©e, qu’on doit apporter 10 fois 30% sur chacun des projets, ça commence Ă faire une somme assez consĂ©quente, que tout le monde n’a pas forcĂ©ment Ă disposition. C’est lĂ que nous, on entre en jeu. C’est lĂ que nous, on entre en jeu dans la collaboration, ce qu’on a dĂ©cidĂ© de faire, et donc ça, c’est un modèle de structuration auquel on est habituĂ© avec mon Ă©quipe, ce qu’on a dĂ©jĂ fait en 2020 avec Yann Darwin sur un projet d’investissement aux États-Unis, c’est donc la crĂ©ation d’un SPV, donc un Special Purpose Vehicle. Donc, ce n’est pas un type de sociĂ©tĂ©, c’est vraiment une appellation. Globalement, c’est une holding d’investissement. Et donc, cet holding d’investissement-lĂ permet de rassembler, je vais mettre des guillemets, des petits investisseurs, c’est-Ă -dire des investisseurs Ă moins de 100 000 euros, dans une seule et mĂŞme structure, tout ça pour quoi ? Pour prendre des participations dans un projet de grande taille, mais n’avoir Ă traiter qu’avec une seule personne morale. Et ça, c’est tout l’intĂ©rĂŞt d’une holding d’investissement. Si lĂ , aujourd’hui, nous, sur le projet qu’on a actuellement, on a mis un ticket d’entrĂ©e Ă 10 000 euros, et bien en fait, on peut avoir 35 investisseurs qui rentrent Ă 10 000 euros, et au lieu de collaborer avec notre marchande bien, avec 35 personnes, ce qui est un petit peu pĂ©nible, on va dire, lĂ , on ne communique avec notre interlocuteur qu’avec une seule personne morale qui reprĂ©sente les intĂ©rĂŞts de 35 investisseurs. Et donc, ça permet de simplifier Ă©normĂ©ment la gestion, les collaborations et les partenariats, avec du coup, en l’occurrence, des marchands bien. Donc, le modèle qu’on a, c’est que via notre club, donc l’Everage Club, et puis Ă©galement via notre rĂ©seau d’investisseurs, on donne la possibilitĂ© Ă nos investisseurs de mutualiser leurs tickets dans un seul et mĂŞme vĂ©hicule d’investissement, donc la holding d’investissement, le SPV. On prend des participations dans le projet du marchande bien partenaire, on lève la dette auprès de la banque, sachant qu’on a dĂ©jĂ 30% d’apport, on investit dans le projet Ă 1,2 million d’euros, on ressort Ă 9 mois, donc lĂ , pour ce projet-lĂ , de manière concrète, on sort Ă 9 mois avec notre plus-value, on partage les profits et on redistribue Ă nos investisseurs au pro rata de leur participation dans la holding d’investissement. VoilĂ , ça, du coup, c’est le projet qu’on a actuellement, et on va commencer, du coup, la levĂ©e de fond d’ici une semaine. L’idĂ©e, c’est de l’avoir finie pour la fin du mois, 350 000 euros, ça reste un ticket qui est consĂ©quent, mais qui ne prend pas non plus des mois structurĂ©s. Donc voilĂ , ça, c’est vraiment le projet sur lequel on travaille en ce moment.
D’accord, donc c’est lĂ oĂą on va voir comment tu en es arrivĂ© lĂ , jeune et s’attaquer Ă un projet avec un marchand de 1,2 million d’euros, ça ne tombe pas du ciel, et comment tu y es arrivĂ© et comment tu as fait pour ĂŞtre, aujourd’hui, apodyle malgrĂ© ton jeune âge.
Oui, tout Ă fait, tout Ă fait. Effectivement, c’est vrai qu’en dehors de l’âge, et ça, du coup, on pourra en parler juste après, parce qu’effectivement, ça fait un petit peu moins d’un an, du coup, je suis terminĂ© mes Ă©tudes, ce qui est surtout important de regarder, c’est l’expĂ©rience acquise dans un domaine. C’est-Ă -dire que tu peux avoir des personnes de 21 ans qui sont beaucoup plus expĂ©rimentĂ©es que, par exemple, une personne de 40 ans, parce qu’elles se sont formĂ©es pendant 5 ans sur un domaine, alors que la personne de 40 ans vient de dĂ©couvrir un domaine en particulier. LĂ , moi, Ă l’heure actuelle, j’ai 24 ans, et donc, ce qui est intĂ©ressant de regarder sur mon parcours, c’est effectivement Ă quel âge j’ai commencĂ© Ă investir, Ă m’intĂ©resser Ă ce sujet-lĂ , puisque Ă l’heure actuelle, je capitalise un petit peu plus de 6 annĂ©es d’expĂ©rience, du coup, dans le domaine de l’investissement, et donc notamment par le biais des formations que j’ai pu faire, mais puis surtout ma confrontation au marchĂ©, parce que j’estime que la meilleure formation, c’est d’investir, de se prendre des bâches, d’Ă©chouer, et puis ensuite de tirer des leçons de ces Ă©checs-lĂ . Donc, en 2017-2019, j’ai commencĂ© effectivement une formation banque-finance Ă l’IAE de Lyon. Je suis parti terminer ma licence aux États-Unis, donc lĂ , j’ai pu vraiment approfondir les parties finance de marchĂ© et finance d’entreprise. Dans le mĂŞme temps, j’avais pris la direction d’une association que j’avais fondĂ©e sur le business et sur l’investissement, et donc ça, c’est une association qui m’a permis quand mĂŞme relativement tĂ´t, je l’ai créée en 2018, mais j’en ai pris la prĂ©sidence qu’en 2020, qui m’a permis de rencontrer des traders, des experts comptables, des notaires, des agents immobiliers, des conseillers en gestion de patrimoine. Ça, c’est vraiment quelque chose qui a Ă©tĂ© extrĂŞmement formateur pour moi. Et du coup, Ă la fin de ma licence, j’ai donc fait un préétudiant pour acheter un appartement, tout simplement sur recommandation d’un des conseillers en gestion de patrimoine que j’avais rencontrĂ©s. Et donc, j’ai achetĂ© un appartement Ă Saint-Etienne avec ce préétudiant que je dĂ©tient toujours aujourd’hui, d’ailleurs, qui a Ă©tĂ© une super opĂ©ration. Et voilĂ , donc ça, ça m’a permis. J’avais 20 ans, 19 ans, 20 ans Ă l’Ă©poque, lorsque j’ai achetĂ© du coup ce premier bien. Et au final, il s’est avĂ©rĂ© super rentable. Par la suite, j’ai dĂ©cidĂ© d’approfondir. J’ai fait un master en gestion de patrimoine, en alternance pendant le Covid. Je me suis dit que ça me formerait bien. Donc lĂ , pour le coup, ça m’a vraiment bien formĂ©. Et ensuite, l’Ă©tape d’après, pour vraiment propulser le business, une fois que j’ai terminĂ© mon master en gestion de patrimoine, c’Ă©tait de rejoindre une Ă©cole de commerce. LĂ , en l’occurrence, ça a Ă©tĂ© le Anglion. Ă€ ce mĂŞme moment, j’ai créé mon activitĂ©, donc mon cabinet, qui dĂ©tient le club, du coup les vrais du club, avec justement tous mes associĂ©s. Et on a pu incuber le projet dans l’Ă©cole. Et lĂ , je reviens sur cette notion d’entourage. On a eu l’Ă©norme chance de pouvoir s’entourer de très, très, très bonnes personnes. J’en veux pour preuve. Aujourd’hui, personnellement, j’ai deux mentors. Donc un banquier d’affaires Ă Londres et un banquier privĂ© Ă Zurich. C’est des personnes avec qui je suis en Ă©change assez frĂ©quemment
sur la manière de gérer le business, la manière de gérer nos investissements.
T’es demandĂ© que tu les as rencontrĂ©s Ă l’EM Lyon, c’est ça ?
Exactement, exactement. Ils sont rencontrĂ©s Ă l’EM Lyon. Et donc, du coup, comment dire, de fil en aiguille avec toutes ces expĂ©riences, etc. Alors lĂ , je ne l’ai pas forcĂ©ment notĂ© non plus, mais en 2020, je suis devenu actionnaire de GreenBull avec un autre de mes associĂ©s. Et donc GreenBull, c’est l’entreprise que Yanda Nguyen, notamment Do Yanda Nguyen, est un petit peu l’Ă©tendard, puisque c’est la personne la plus connue qui est vraiment VP marketing de GreenBull. Et on a pu, Ă la fin de l’annĂ©e, on a pu commencer Ă s’intĂ©resser au club deal qui est structurĂ© avec MyClubDeal. Et c’est lĂ que j’ai pris la direction d’une holding d’investissement sur le projet. C’est pour ça, en 2020, j’ai eu vraiment ma première expĂ©rience avec le club deal de l’intĂ©rieur, mais Ă©galement en tant qu’investisseur, puisque j’avais posĂ© des capitaux dedans, dans ce club deal-lĂ . Donc mon expĂ©rience par rapport à ça, tu vois, au final, Ă l’heure actuelle, j’ai trois annĂ©es pleines, voire un peu plus, sur les club deals. Par contre, par rapport Ă l’investissement, c’est 6 Ă 7 ans que je cumule Ă l’heure actuelle. Et donc, un des points clĂ©s lĂ -dedans, ça a vraiment Ă©tĂ© le rĂ©seau. C’est-Ă -dire d’aller rencontrer un maximum de personnes. Ă€ l’heure actuelle, ce rĂ©seau-lĂ , je le monĂ©tise, je l’utilise notamment pour structurer nos club deals avec toute l’expĂ©rience qu’on a acquise, et le rĂ©seau d’investisseurs et de crĂ©ateurs de projets Ă©galement qu’on a.
D’accord, donc maintenant, on est au Leverage Club. Vous ĂŞtes quatre associĂ©s.
C’est ça. Tout Ă fait. Donc du coup, au niveau des associĂ©s, donc du coup, Samuel et moi-mĂŞme, on dirige la sociĂ©tĂ© qui dĂ©tient Leverage Club. On a Ă©galement, du coup, ThĂ©viny, qui est la personne qui gère la partie portfolio management en interne chez nous, et Adrien, qui lui, va plutĂ´t gĂ©rer la partie marketing et IT digital. Au niveau de l’Ă©quipe, si tu veux, on s’est rencontrĂ© tous pendant nos Ă©tudes, pendant la partie licence, au sein de l’association justement qu’on a créée. Donc ça, tu vois encore un exemple de plus qui nous a fait vraiment rĂ©aliser que la partie network, rĂ©seau, productive, a vraiment Ă©tĂ© utile puisqu’on s’est tous rencontrĂ© dans cette association-lĂ . Et qu’est-ce que je voulais dire ? Donc voilĂ , le premier projet sur lequel on a bossĂ© sur la partie club deal, donc c’Ă©tait avec Samuel, avec Green Bull, sur le projet du co-adjuvateur aux États-Unis. Et après, voilĂ , entre temps, on a regardĂ©, on a vu qu’on a apprĂ©ciĂ© bien bosser ensemble au niveau de l’association, au niveau du club deal. De coup, on est restĂ© extrĂŞmement proche et en contact. En fait, de fil en aigu, on s’est rendu compte qu’on avait vraiment la mĂŞme vision sur le business, sur l’investissement, et on a dĂ©cidĂ© de crĂ©er ensemble du coup une entreprise de tous les quatre. Donc c’est un petit peu comme ça qu’on en arrivait Ă se rencontrer, Ă structurer du coup Leverage Club et notre cabinet de conseil en gestion de patrimoine. Qu’est-ce que je voulais dire ? Au niveau d’un point qui a Ă©tĂ© extrĂŞmement important pour nous, en fait, il y en a deux, puisqu’on pourrait se demander pourquoi est-ce qu’on ne s’est pas associĂ© par exemple avec un avocat, pourquoi est-ce qu’on ne s’est pas associĂ© avec un investisseur fortunĂ© ou autre. On a fait le choix de s’associer tous les quatre pour deux raisons, parce qu’au fait, pour nous, il y a deux qualitĂ©s qui sont primordiales dans une association. Je veux dire, dans une association professionnelle, c’est la confiance qu’on peut avoir les uns envers les autres, ça qu’on a pu crĂ©er en fait au fil des annĂ©es, parce que ça fait plusieurs annĂ©es qu’on se connaĂ®t. Et la deuxième qualitĂ© qui a Ă©tĂ© extrĂŞmement importante dans le choix d’association ensemble, parce qu’Ă la base on Ă©tait un petit peu plus que quatre, c’est surtout la qualitĂ© de rĂ©silience. Et la qualitĂ© de rĂ©silience, c’est-Ă -dire que ce qui a Ă©tĂ© important pour nous, ce n’Ă©tait pas non plus de choisir la personne la plus avancĂ©e ou la plus riche, la personne qui connaissait le plus de choses, c’Ă©tait surtout de trouver l’Ă©quipe, qui quand ça va bien, quand tout tourne bien, OK, on est lĂ , on travaille bien, mais surtout quand ça ne va pas bien, on est capable de se regarder tous les quatre dans les Ĺ“ufs, de se dire OK les gars, lĂ il y a tel point, tel point, tel point qui ne va pas, et de se mettre au boulot et d’ĂŞtre rĂ©silients. Et pour nous, c’est vraiment une des compĂ©tences qui a Ă©tĂ© hyper importante au niveau du travail d’Ă©quipe, qu’on a fait tous les quatre ensemble jusqu’Ă maintenant. OK, donc voilĂ , si tu peux passer Ă la slide suivante. Oui, justement. OK, super.
En Ă©quipe. Le projet que vous…
Pardon, je n’Ă©tais pas bien entendu, c’est un petit peu coupĂ©.
Tu veux échanger sur celle-ci ou la prochaine ?
Oui, on peut Ă©changer sur la slide d’après, comme ça au moins on verra. Donc au niveau de la roadmap, lĂ j’avais juste rajoutĂ© les chiffres sur le projet prĂ©cĂ©dent. Donc le projet prĂ©cĂ©dent, donc la slide d’avant, c’est le projet actuel qu’on est en train de dĂ©velopper. LĂ oĂą c’est intĂ©ressant pour les investisseurs avec lesquels on travaille, tout simplement c’est qu’on met un ticket d’entrĂ©e du coup Ă 10 000 €, on va lever 350 000 € d’equity, donc de fonds propres qu’on va apporter dans le projet marchand de biens, et on lève du coup 850 000 € de dette. Donc en fait, on arrive Ă structurer comme ça nos 1,2 millions sur le projet. On lève 350 000 en fonds propres, et donc en rĂ©alitĂ© la rentabilitĂ© nette du projet, on va la calculer sur ces 350 000 € de fonds propres qui ont Ă©tĂ© apportĂ©s par les investisseurs. LĂ oĂą c’est intĂ©ressant, c’est qu’on a un leverage Ă un petit peu plus de x3, puisqu’en rĂ©alitĂ© on apporte 30 % de fonds propres, mais on rĂ©cupère les profits sur 100 % de l’opĂ©ration. Et donc lĂ en fait, on voit tout l’intĂ©rĂŞt du levier bancaire qui est vrai sur une partie location long terme, qui est plus dure d’aller gĂ©nĂ©rer du cash flow, lĂ on voit vraiment l’intĂ©rĂŞt du levier bancaire sur des pĂ©riodes de temps qui sont assez courtes. Puisque, je te prends l’exemple, le projet lĂ qu’on a du coup, si tu vois sur la roadmap dĂ©cembre, tac ici, structuration juridique, financement des deux projets SPV, et bien en fait, donc ça c’est les projets qu’on va faire actuellement, on est sur une rentabilitĂ© cible Ă 9 mois, donc on va faire un exit Ă 9 mois, donc le projet va ĂŞtre financĂ©, on a la laptop authentique qui est signĂ© le 15 janvier. Globalement, au 15 septembre, on a revendu le bien dans la projection. LĂ oĂą c’est intĂ©ressant, c’est que le scĂ©nario pessimiste, on est Ă 27 % d’estimation de plus-value Ă la revente au bout de 9 mois. Alors lĂ oĂą c’est intĂ©ressant, quand on regarde les chiffres, c’est qu’on achète 1,2 million. Si on revend Ă 27 % de plus-value, globalement on va chercher 1,530,000 € Ă la revente. Donc on fait 330,000 € de plus-value. Si on retire les intĂ©rĂŞts d’emprunt, les diffĂ©rentes charges, la commission qu’on va redistribuer aux marchands de biens, on est sur 330,000 € de plus-value. Imaginons qu’on prenne 100K qu’on retire, on est quand mĂŞme Ă 230,000 € de plus-value. Mais nous, en rĂ©alitĂ©, c’est 230,000 € de plus-value. On ne va pas les chercher sur 1,2 million. Il faut les comparer par rapport Ă l’apport que nous, on a apportĂ©. Et nous, on a apportĂ© 350,000 €. Donc lĂ , en fait, on voit que sur 350,000 € d’apport, on rĂ©cupère 230,000 €. Alors après, bien Ă©videmment, il y a de l’impĂ´t sur les sociĂ©tĂ©s qui s’appliquent. Mais cĂ´tĂ© investisseur, on a un rendement. Alors 230 sur 350, je n’ai pas le chiffre exact, mais on doit ĂŞtre aux alentours des 60 % de rendement brut sur 9 mois. Et ça, c’est exceptionnel parce que cĂ´tĂ© investisseur, c’est un investissement qui est 100 % passif. Nous, dessus, on se rĂ©munère Ă la surperformance. C’est-Ă -dire qu’on va appliquer 3 % de frais Ă l’entrĂ©e parce que pour structurer la holding d’investissement, on ne peut pas le faire Ă perte, donc on facture ça. Mais ce n’est pas lĂ -dessus qu’on mange. Mais en fait, notre vision et notre philosophie sur les placements qu’on structure nous-mĂŞmes, c’est de manger si on fait manger l’investissement. Et donc, sur ce type de projet-lĂ , on ne va facturer des frais que Ă la surperformance. Et notre seuil de surperformance, il est fixĂ© Ă 16 %. Et au-delĂ de ce seuil-lĂ , en fait, on va prendre une partie de la performance pour la prendre nous dans notre poche et redistribuer l’autre partie Ă l’investisseur. Et donc voilĂ , tu vois, au final, lĂ oĂą c’est intĂ©ressant, c’est que chaque point de pourcentage, tu vas pouvoir le multiplier, donc chaque point de pourcentage sur le projet global. Donc lĂ , on va chercher 27 % sur les 1,2 million. En rĂ©alitĂ©, la performance, tu vas la multiplier par un facteur de 3,3, puisque nous, en rĂ©alitĂ©, en fond propre, on n’a portĂ© que 30 %. Et lĂ , on peut vraiment voir la puissance du marchand de biens et l’intĂ©rĂŞt pour nous, en fait, de le rendre sous format participatif, puisque l’intĂ©rĂŞt de faire ça, c’est qu’on a aujourd’hui des personnes qui n’ont pas forcĂ©ment le cash pour faire un rapport Ă 1 million, ou lĂ , en l’occurrence, pour parler de ce projet Ă 350 000. Et de la mĂŞme manière, on a des personnes qui n’ont pas forcĂ©ment le savoir-faire pour gĂ©rer un projet, sourcer le projet, revendre le projet. Donc voilĂ , c’est aujourd’hui, il y a des gens qui n’ont ni le cash, ni le savoir-faire, ni le temps de gĂ©rer tout ça. Et nous, justement, on propose ça et on propose de le faire pour nos investisseurs. Les prochaines Ă©chĂ©ances, pardon ?
Oui, oui, non, c’est pouvoir faire rentabiliser son argent sans… … les rentabilitĂ©s qu’offre l’immobilier.
Tout Ă fait, exactement. En fait, l’idĂ©e, c’est de pouvoir apporter de manière presque de… de dĂ©velopper ça sous forme de placement financier, puisque pour l’investisseur, c’est des titres de participation dans une holding d’investissement, mais oĂą on va ĂŞtre indexĂ© sur de l’immobilier de luxe, en l’occurrence Ă Cannes, et de manière complètement passive. Et donc lĂ , en termes de rendement, nous, ce qu’on regarde, bien Ă©videmment, c’est les rendements nets d’inflation. Parce que voilĂ , enfin, t’as beaucoup de… Après, tout mon amour pour les banquiers, il y a peut-ĂŞtre des banquiers ce soir, mais beaucoup de banquiers ou beaucoup de conseillers en gestion de patrimoine vont parfois vendre que 6 Ă 7 % c’est des bons rendements. En rĂ©alitĂ©, quand on regarde nets d’inflation, ça permet juste d’Ă©viter de perdre de l’argent. Mais voilĂ , aujourd’hui, 7 %, c’est pas suffisant. Il faut pas se contenter de ça. Aujourd’hui, il faut aller chercher 10, 15 %, on rentre dans un nouveau marchĂ©, dans une nouvelle situation, les taux sont hauts, l’argent coĂ»te cher. Et voilĂ , il faut aller chercher plus de 10 %, plus de 15 % par an de rendement. N’en dĂ©plaise beaucoup de personnes qui vont essayer de vendre des placements Ă 6, 7, 8 % par an. En rĂ©alitĂ©, ce qu’il faut absolument regarder, c’est le rendement net d’inflation. Et nous voilĂ , c’est notre combat aujourd’hui, c’est de pouvoir proposer Ă nos investisseurs et aux personnes qui dĂ©cident de nous faire confiance des rendements en nets d’inflation et qui soient quand mĂŞme sĂ©curisants et en plus de ça, 100 % passifs. Nous, les KPI qu’on regarde sur cet investissement-lĂ , donc il y en a trois, il y a la liquiditĂ© du produit. On est sur un produit oĂą lĂ , sur ce projet-lĂ , on fait un exit Ă 9 mois. Le premier point, c’est la liquiditĂ©, on n’est pas bloquĂ© pendant x annĂ©es. Le deuxième point, c’est le risque et le troisième point, c’est le rendement. Ce ratio risque-rendement, on a essayĂ© de l’optimiser Ă fond. On est sur une classe d’actifs immobiliers, donc ce n’est pas la classe d’actifs la plus volatile, mĂŞme si Ă l’heure actuelle, elle est en crise. Ça, je vais revenir dessus juste après. On n’est pas sur du trading, oĂą lĂ le trading, clairement, on peut doubler son capital dans la journĂ©e, mais on peut aussi perdre 100 % en cinq minutes avec les jeux d’effet de levier, etc. Donc lĂ , nous, je pense qu’on a trouvĂ© d’une certaine manière la martingale oĂą on arrive Ă avoir ce bon ratio, liquiditĂ©, risque-rendement et le proposer de manière 100 % passive Ă nos investisseurs. Un petit point sur la partie immobilière, parce qu’il y a pas mal de gens justement qui aujourd’hui me posent la question de dire, voilĂ , mais on achète en immobilier, quel est le risque finalement d’acheter trop cher et de ne pas rĂ©ussir Ă vendre au prix dans neuf mois ? Parce qu’effectivement, c’est la grande question. Tout l’intĂ©rĂŞt du marchĂ© immobilier, contrairement par exemple au marchĂ© financier, le marchĂ© immobilier, c’est un marchĂ© de grĂ© Ă grĂ©. Et ça, je pense qu’en tant que marchande bien, tu peux en attester. La plus-value finalement, elle se fait Ă l’achat. C’est-Ă -dire que si tu nĂ©gocies bien ton achat, tu as dĂ©jĂ une grande partie du projet qui est sĂ©curisĂ©. Je ne sais pas si tu veux peut-ĂŞtre rebondir dessus, mais du coup, toi Albert, qui a aussi cette expĂ©rience-lĂ en marchande bien, je pense que tu peux en attester.
Effectivement, normalement, l’opĂ©ration se fait puisque le marchĂ© de l’immobilier Ă©volue doucement. C’est très bien. On sait qu’on peut pratiquement le revendre correctement dans quelques mois, puisque le marchĂ© est par deux en six mois.
Et au contraire,
il y a des gens qui ont besoin de liquiditĂ©s et c’est lĂ oĂą on peut encore mieux nĂ©gocier que d’habitude.
Exactement. Et nous, justement, c’est tout l’intĂ©rĂŞt des projets qu’on a. En fait, c’est qu’on achète un business is business, mais on achète Ă des personnes qui sont en besoin de trĂ©sorerie rapidement pour faire des achats très agressifs et très bien nĂ©gociĂ©s. Donc l’objectif lĂ , typiquement, sur les 1,2 million d’achats, on achète une surface de 215 m². Mais les 1,2 million englobe les frais de notaire et les travaux. C’est-Ă -dire qu’en moyenne, frais de notaire et travaux inclus, on est Ă 5 600 du mètre. Alors que le marchĂ© dĂ©jĂ Ă Cannes, hors notaire et hors travaux, on est Ă 6000 du mètre. Donc on sait qu’on a dĂ©jĂ une marge oĂą on achète quand mĂŞme bien en dessous du prix de marchĂ©, ce qui fait que mĂŞme si demain on a une baisse du prix du marchĂ© de 10%, bon, nous, dĂ©jĂ , on sait qu’avec les prestations de high standing qu’on rĂ©alise, on va se mettre dans la moyenne haute du marchĂ©. Donc on va revendre, mĂŞme si le marchĂ© a baissĂ©, on va revendre lĂ©gèrement au-dessus du prix de marchĂ©. Et il y a un deuxième point Ă prendre en compte, c’est Ă qui est-ce qu’on revend ? Parce qu’Ă qui on achète des personnes qui ont besoin de trĂ©sor pour rĂ©aliser des nĂ©gociations agressives ? Par contre, on revend Ă qui ? Ça, c’est tout l’autre sujet. Et c’est encore une fois l’intĂ©rĂŞt d’ĂŞtre sur un marchĂ© de grĂ© Ă grĂ©. Si demain je revends Ă un investisseur Ă©mirati, Ă un chef d’entreprise parisien qui revend sa boĂ®te, qui part Ă la retraite, un chef d’entreprise de Bordeaux, de Lyon, de n’importe oĂą, ou un entrepreneur amĂ©ricain ou japonais qui a un coup de cĹ“ur pour sa vie lĂ Ă Cannes et qui n’a pas les mĂŞmes problĂ©matiques de financement qu’un foyer mĂ©dian par exemple en France, qui va devoir aller se financer en banque. Si la personne Ă qui on revend, elle a le cash, elle a les capitaux et elle a le coup de cĹ“ur, et qu’elle achète au coup de cĹ“ur, nous derrière en fait on fait une très belle OP puisqu’on peut se permettre du coup de nĂ©gocier Ă l’achat et de revendre au coup de cĹ“ur. Donc on a un double avantage, et donc en fait ça nous permet d’ĂŞtre très bien Ă l’achat, très bien Ă la revente. Et en plus de ça, l’objectif encore une fois, nous avec le club et pas seulement sur l’immobilier, on a une approche par la valeur, c’est-Ă -dire qu’on priorise le value investi, aussi bien en bourse qu’en immobilier. Si on achète un bien de qualitĂ© ou une action de qualitĂ© et qu’on en prend soin et qu’on sait qu’on achète parce que fondamentalement on est sur quelque chose de qualitĂ©, et bien dans le cas de notre immobilier, si jamais on n’arrive pas Ă revendre au prix dans 9 mois, c’est pas comme si on avait achetĂ© un bien complètement nul dans une rĂ©gion dont personne ne veut. On sait qu’on est Ă Cannes, on sait qu’on a les JO qui arrivent en 2024 et que la France c’est quand mĂŞme bien visible au niveau de Paris, au niveau de Cannes, au festival de Cannes, etc. Donc on sait qu’on est quand mĂŞme dans une rĂ©gion qui est tendue, surtout en CĂ´te d’Azur, on sait que c’est très tendu au niveau des logements, qu’il y a une grosse demande sur la location saisonnière. Si on n’arrive pas Ă revendre au prix, on sait qu’on peut toujours mettre en location saisonnière en courte durĂ©e, gĂ©nĂ©rer du cashflow, et au moment de revente, peut-ĂŞtre qu’on aura perdu 3 mois Ă la revente. En revanche, derrière, on a accumulĂ© du cashflow pendant ces 3 mois, et au final, le temps qu’on a perdu, on a quand mĂŞme Ă©tĂ© rĂ©munĂ©rĂ© dessus. Donc dĂ©jĂ , ce risque-lĂ , on arrive Ă plutĂ´t bien le contrer, justement en achetant de la valeur dans une zone qu’on maĂ®trise et dans une zone oĂą il y a une demande qui est quand mĂŞme très forte. Ça, c’est quand mĂŞme un gros point. Et le deuxième point Ă©galement, et c’est lĂ tout l’intĂ©rĂŞt pour nous de s’ĂŞtre associĂ© Ă un marchand de bien qui connaĂ®t bien sa zone et qui fait ce qu’il fait depuis plusieurs annĂ©es, c’est qu’au niveau du rĂ©seau d’artisans, il a travaillĂ© avec eux sur, comme je le disais, quasiment une centaine d’opĂ©rations. Ă€ l’heure actuelle, il les connaĂ®t très bien, il bosse avec eux depuis un bon moment, et on sait que les prestations vont ĂŞtre de qualitĂ©. C’est vraiment tous ces Ă©lĂ©ments-lĂ , mis bout Ă bout, qui nous donnent la conviction que le boulot va ĂŞtre bien fait, les dĂ©lais vont ĂŞtre respectĂ©s, et qu’en termes de… Encore une fois, quand je reviens sur mes trois KPI, donc liquiditĂ©, risque, rendement, on est super intĂ©ressants. L’objectif, du coup, pour revenir sur le point de la roadmap, lĂ , on a deux projets qu’on finance d’ici la fin de l’annĂ©e, et l’objectif l’annĂ©e prochaine, c’est d’en financer cinq, donc deux d’ici le mois de mars, un en juin, un en septembre, un en dĂ©cembre, et ensuite d’enchaĂ®ner comme ça d’annĂ©e en annĂ©e. Et on a des contacts chez certains assureurs, donc on espère par la suite faire rĂ©fĂ©rencer notre fonds immobilier, crĂ©er un fonds immobilier, le faire rĂ©fĂ©rencer, et pourquoi pas l’avoir en unitĂ© de compte dans des assurances vivres. On a ce petit projet dans un point de la tĂŞte, alors Ă voir si ce sera en 2027, en 2028 ou plus tard, mais en tout cas, c’est sur le plan Ă grande Ă©chelle.
Ça, c’est une belle ambition. Du coup, sur l’ensemble, vous avez plus de six ans maintenant que t’Ă©tais dans, investisseur, etc. Qu’est-ce que tu le retiens ?
Oui, alors est-ce que tu peux juste rĂ©pĂ©ter la question s’il te plaĂ®t ? Encore une fois, c’est un petit peu boudier. Pas de soucis. Quel est le conseil le plus prĂ©cieux que tu as reçu
qui a vraiment transformé ta vie ?
Oui, alors, du coup, par rapport à ça, plusieurs choses. DĂ©jĂ , un gros tournant pour nous au niveau des activitĂ©s, ça a Ă©tĂ© notamment un Ă©change que j’ai eu avec plutĂ´t mon mentor cĂ´tĂ© suisse, donc Ă Zurich, oĂą si tu veux, moi, j’Ă©tais très focus, dĂ©veloppement du club, facture et des honoraires, etc. Et lui, avec vraiment la vision banquier privĂ©, lui, il travaille dans une très grande banque française Ă Zurich. Il m’a dit, tu sais, je pense que tu te trompes de KPI, donc d’indicateur clĂ© de performance. Il m’a dit, ton KPI, ça doit pas ĂŞtre le nombre d’investisseurs avec lequel tu travailles, le nombre d’honoraires que tu factures, mais plutĂ´t l’actif sous-gestion que tu gères. Et donc, tu vois, ça, par rapport à ça, ça nous a permis de dĂ©bloquer un paquet de choses, notamment, en fait, initialement, nous, on ne voulait travailler qu’avec des gens dans notre club d’investisseurs. Ce qui nous limitait pas mal, finalement, en termes de collaboration possible. Aujourd’hui, nous, ce qui drive vraiment nos activitĂ©s, c’est de pouvoir crĂ©er des projets, un maximum de projets, et donner accès Ă ces projets, Ă un maximum d’investisseurs. Et donc ça, ça nous a vraiment permis de voir d’une autre manière le business et de se dire, OK, si on fait un produit de qualitĂ©, l’objectif, c’est de le rendre accessible Ă un maximum de personnes et donner la prioritĂ© aux gens de notre club parce qu’ils nous font confiance, qu’ils travaillent avec nous de manière vraiment très proche. Mais pour autant, voilĂ , de viser non plus le nombre de personnes Ă qui on facture des zones ouvertes comme indicateurs de performance, mais surtout le nombre de projets qu’on arrive Ă structurer, le nombre de projets qu’on arrive Ă financer. Donc ça, c’est vraiment ce changement de vision-lĂ qui nous a permis de voir les choses en plus grand et de dĂ©velopper plus de projets, d’aller chercher plus de partenariats, plus d’associations et tout simplement de pouvoir proposer nos investissements Ă encore plus de personnes. Ă€ l’heure actuelle, par exemple, on va faire un live la semaine prochaine pour prĂ©senter notre projet, dès qu’on a tous les chiffres, les photos, les vidĂ©os. D’ailleurs, comme on en a parlĂ©, je t’ai dit, on allait faire une visite la semaine prochaine des biens, donc on pourra relayer sur nos rĂ©seaux Ă quoi est-ce qu’ils ressemblent. VoilĂ , on travaille avec les clients et les investisseurs de nos partenaires, juristes, avocats, notaires, experts comptables. On leur met Ă disposition aussi nos investissements, alors qu’avant, c’est quelque chose qu’on ne faisait pas. Donc ça, c’est vraiment la première chose. Maintenant, en termes vraiment plus de conseils gĂ©nĂ©ral, les deux grands points en tant qu’entrepreneur, je ne parle vraiment pas en termes de propre Ă l’industrie de la gestion de patrimoine, je parle vraiment en tant qu’entrepreneur, les deux plus gros conseils que je pourrais donner Ă quelqu’un, ce serait de se confronter au marchĂ©. Souvent, un entrepreneur, il peut avoir le risque de souffrir de ce qu’on appelle la myopie de l’entrepreneur, c’est-Ă -dire d’ĂŞtre dans sa chambre et de voir vraiment en vision tunnel et d’essayer de penser Ă la place d’un client et de se dire, voilĂ , je crĂ©e un produit, je suis amoureux de mon produit, tout le monde aime mon produit, alors qu’en rĂ©alitĂ©, il ne sert Ă rien le produit et que tout le monde s’en fout. Ça, malheureusement, c’est mieux se confronter au marchĂ©, prendre du feedback et se prendre des claques. C’est-Ă -dire que mon produit, il est alignĂ©. J’ai un produit market fit parce que j’ai un feedback, j’ai des retours et que je rĂ©ponds Ă un besoin. Ça, c’est vraiment quelque chose par le passĂ©, oĂą moi, pendant un certain moment, en tout cas, l’offre qu’on avait dĂ©veloppĂ©, l’offre que je dĂ©veloppais, n’Ă©tait pas du tout alignĂ©e parce que je ne la confrontais pas suffisamment au marchĂ©. Et le deuxième point qui m’a vraiment aidĂ© aussi, c’est la standardisation. LĂ -dessus, tu as une formation d’Ousama Amar qui s’appelle Anyone Can Scale et qui l’a fait avec The Family il y a quelques annĂ©es et qui est super intĂ©ressante justement sur la partie de scalabilitĂ© d’un business. Et vraiment, lĂ , pareil, deuxième claque, standardiser des process. Il y a beaucoup de personnes aussi qui perdent Ă©normĂ©ment de temps Ă faire des choses rĂ©pĂ©titives, alors qu’en rĂ©alitĂ©, on peut standardiser, automatiser beaucoup de choses. Encore une fois, d’ailleurs, ça peut ĂŞtre intĂ©ressant. Dans tes process de recherche, il y a peut-ĂŞtre des choses Ă l’heure actuelle qui sont rĂ©pĂ©titives. Je prends un exemple, l’envoi de dossier bancaire, je suis Ă peu près sĂ»r que c’est un process qui peut se standardiser pour financer un projet. L’idĂ©e, c’est vraiment d’aller chercher Ă gagner du temps et Ă nous, entrepreneurs, investisseurs, chefs d’entreprise, d’impliquer notre temps, qui est notre ressource la plus importante, que lĂ oĂą on peut avoir un levier qui est Ă©norme, typiquement nĂ©gocier un bien. Ça, c’est quelque chose qu’on ne peut pas forcĂ©ment standardiser. Excuse-moi, ta question, c’Ă©tait ? Oui, non, je disais du coup, par rapport Ă la standardisation, je disais, typiquement dans l’industrie marchande bien, je suis Ă peu près sĂ»r que l’envoi de dossier bancaire ou alors certains process de recherche d’un bien rentable, je suis Ă peu près sĂ»r qu’il y a des choses qui peuvent ĂŞtre standardisĂ©es. Et ça, moi, c’est vrai que la standardisation de l’envoi de dossier bancaire de mes process de travail, c’Ă©tait quelque chose qui m’a fait gagner un temps monstrueux et qui m’a permis de rassembler ma capacitĂ© de focus, ma bande passante sur les choses Ă forte valeur ajoutĂ©e. Alors que par le passĂ©, je peux te donner un exemple, je pouvais passer dix rendez-vous dans la semaine et dix fois trois heures Ă Ă©tablir un bilan patrimonial. Donc aujourd’hui, c’est tout standardisĂ© dans des logiciels. Et voilĂ , on rentre les infos une fois, il y a des questionnaires et des choses. Et c’est des choses qu’il nous faut gagner un temps monstrueux. VoilĂ un petit peu sur les conseils que moi, en tout cas, personnellement, je trouve pertinents et que j’ai pu, voilĂ , des choses que j’ai pu me rendre compte au fur et Ă mesure des annĂ©es.
Merci beaucoup. Alors maintenant, on va passer au moment. Le premier, c’est tous ceux qui vont, dans ceux qui vont commenter dans les commandes de la prise immobilière 2023. Il y en aura un qui sera sĂ©lectionnĂ© pour recevoir une carte cadeau de 50 euros. Et donc le concours prend fin le dimanche 5 novembre. 3 heures 59. VoilĂ , donc celui qui commente, enfin dans. On n’a pas de questions actuellement, mais on y reviendra au cas oĂą. Pour ceux qui viennent pour cette vidĂ©o sur le club deal. Donc, si vous souhaitez faire du marchand de biens tout en patrimoine de manière gratuite, sur vivreimmo.fr, vous avez la formation, le biais. Et le club, comment tu peux les accompagner?
Oui, alors.
Je ne sais pas très bien la fin de ta phrase, mais bon, en tout cas, oui, effectivement, sur le sur la partie du coup, les clubs. Donc, alors il me semble que je t’ai envoyĂ© un lien de prise de rendez-vous. Ce sera sĂ»rement le plus simple. Nous, en fait, on comment dire? Maintenant, comme je te disais, la vision collaboration, on l’a pas mal Ă©largie. On ne travaille plus qu’exclusivement avec les gens du club. Alors, on a un rapport privilĂ©giĂ© avec les gens qui sont dans notre club. Maintenant, on travaille avec tout type d’investisseurs in club et hors club. Et donc, Ă mon sens, le plus intĂ©ressant, si jamais ce type de club deal vous intĂ©resse, si jamais l’idĂ©e d’investir sur des projets marchand de biens immobiliers ou alors mĂŞme la vision que je parlais de privates et de trading Ă l’avenir. L’idĂ©e d’aller chercher des projets de luxe avec une Ă©quipe solide, ça vous intĂ©resse d’aller chercher de la performance vraiment intĂ©ressante tout en ayant un gros acte sĂ©curitĂ©. Moi, ce que je vous invite, c’est pas forcĂ©ment Ă rejoindre le club directement, mais peut ĂŞtre plus Ă prendre un rendez-vous soit directement avec moi, soit avec quelqu’un de l’Ă©quipe pour qu’on puisse Ă©changer sur votre projet d’investissement, si vous en avez un, sur votre situation. Moi, ce que je recommande habituellement, c’est toujours de… LĂ , il y a pas mal d’investisseurs qu’on a rencontrĂ©s rĂ©cemment. Avant de leur dire de rejoindre le club directement, ce que je leur recommande, c’est dĂ©jĂ de nous tester sur un ticket d’entrĂ©e Ă 10 000, Ă 15 000 €, Ă 20 000 €, voir un peu comment ça se passe sur l’investissement, voir au niveau du suivi. Et une fois que la confiance est créée, dire OK, Ă ce moment-lĂ , on va travailler ensemble de manière plus proactive et plus proche. Donc, normalement, je crois que je t’avais envoyĂ© un lien de prise de rendez-vous. Donc voilĂ , moi, ce que je peux vous inviter Ă faire, c’est de prendre rendez-vous avec quelqu’un de l’Ă©quipe. On discute ensemble de votre projet. Si vous voulez rentrer dans le club directement, c’est possible. Il y a pas mal d’avantages, il y a plus de proximitĂ©, plus de suivi. Maintenant, ce que je recommande toujours, c’est d’abord de nous tester sur un projet, voir comment ça se passe. Et puis, si la confiance et la satisfaction sont lĂ , les choses se font naturellement, on travaille en bonne intelligence. Après, on pourra tout Ă fait vous faire intĂ©grer le club sans souci.
Merci. Effectivement, il y a une prise de rendez-vous directe avec Bastien.
Semaine prochaine,
Semaine prochaine, 9 novembre, je reçois FrĂ©dĂ©rico dans le sud de l’Espagne. Et donc, il va vous expliquer tout ça. Merci Ă©normĂ©ment, Bastien, pour ton temps.
Merci Ă toi.
Bonne soirée.
Merci à toi, très bonne soirée à tout le monde.
Au revoir.