Catégorieactualité immobilière

Résidence services : des beaux atouts pour l’investissement locatif !

Une résidence touristique

Une résidence de tourisme est un ensemble d’appartements loués meublés, qui sont gérés de manière permanente ou saisonnière. Elle offre des services communs tels que l’accueil, le ménage, le petit-déjeuner et la fourniture de linge. Les logements sont équipés d’une cuisine ou d’une kitchenette, avec la possibilité de services supplémentaires à la carte. En investissant dans ce type de bien immobilier neuf situé en zone touristique, vous pouvez combiner l’utile à l’agréable en bénéficiant également de périodes d’occupation.

Une maison de retraite

Les résidences pour seniors offrent un cadre de vie privilégié, sécurisé et convivial, avec la possibilité de profiter de divers services. Les normes environnementales y sont respectées, incluant des technologies modernes comme la domotique. Investir dans une résidence pour seniors permet de se constituer un patrimoine et préparer sa retraite.

Un logement pour étudiants

Les résidences étudiantes offrent des logements pratiques et des services adaptés, situées dans les grandes villes universitaires. Les appartements vont du Studio aux trois pièces, meublés ou équipés, comprenant divers espaces. Leur emplacement en centre-ville et leurs équipements assurent un investissement locatif pérenne.

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Norme HQE – label Haute Qualité Environnementale : Plan Immobilier

En France, la démarche HQE a donné lieu à une marque déposée. Des organismes ont créé un système de certification pour obtenir le certificat d’utilisation de la marque « NF » Bâtiments Tertiaires – Démarche HQE ». Deux entités contribuent à structurer et promouvoir cette démarche : l’Association HQE et le Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB), un établissement public français relevant du Ministère de l’Écologie.

Les principaux buts de la norme HQE

Contrôler les répercussions sur l’environnement extérieur

Pour limiter l’impact sur la nature, on utilise des techniques de construction et de gestion respectueuses de l’environnement. Cela implique de concevoir les bâtiments en tenant compte de leur environnement, d’utiliser des matériaux et des méthodes de construction écologiques, et de minimiser les nuisances pendant les travaux. La gestion environnementale englobe la maîtrise de l’énergie, de l’eau, des déchets produits, ainsi que l’entretien des bâtiments.

Créer un espace intérieur agréable

La norme HQE vise également à rendre l’intérieur confortable en assurant une bonne isolation, en gérant la température, en améliorant l’isolation acoustique, visuelle et olfactive. De plus, la qualité sanitaire des espaces, de l’air et de l’eau contribue à la santé des habitants.

Les 14 objectifs de l’approche HQE

Objectifs de construction écologique

Le bâtiment s’intègre bien dans son environnement.
On choisit des matériaux de construction respectueux de l’environnement.
Le chantier a un faible impact sur l’environnement.

Objectifs de gestion écologique

Gestion de l’énergie
Gestion de l’eau
Gestion des déchets d’activités
Maintenance – Durabilité des performances environnementales.

Objectifs de bien-être

Norme HQE – label Haute Qualité Environnementale : Plan Immobilier

Le confort hygrothermique, acoustique, visuel et olfactif sont des éléments importants à prendre en compte lors de la construction d’un bâtiment selon la norme HQE. Ces critères garantissent un environnement intérieur sain et agréable pour les occupants. Lors de l’élaboration d’un plan immobilier, il est essentiel de veiller à respecter ces normes pour offrir un cadre de vie optimal.

Objectifs de bien-être

Norme HQE – Label Haute Qualité Environnementale : Plan Immobilier.

Comment suivre la démarche HQE

Chaque objectif est évalué sur une échelle de 0 à N points. Pour être certifié HQE, le constructeur doit obtenir au moins 30 points sur un total de 110 répartis entre les 14 objectifs. Il doit également marquer au minimum 19 points sur les trois critères suivants : Chantier à faibles nuisances, Gestion de l’énergie et Gestion de l’eau. Ensuite, il choisit les autres critères sur lesquels concentrer ses efforts en fonction des besoins du client.

Les différents degrés de performance

Il y a trois niveaux de performance :
– Niveau de base : le minimum requis par la réglementation.
– Niveau performant.
– Niveau très performant.

Les critères

Le bâtiment doit respecter au moins :
3 objectifs de haut niveau
4 objectifs de niveau moyen
7 objectifs de base.

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Matériaux pour construction écologique, les matériaux verts

Le parpaing, indémodable

Le parpaing est un bloc de béton fabriqué à partir majoritairement d’agrégats de sable et de gravier, avec une petite quantité de ciment. Sa fabrication est simple, rapide et peu énergivore. Les matériaux nécessaires sont facilement disponibles en France, ce qui le rend abordable. Cependant, le parpaing seul ne fournit pas une bonne isolation thermique ou phonique ; il doit être combiné avec un matériau isolant pour obtenir de bonnes performances dans ces domaines.

Les avantages du béton cellulaire

Le béton cellulaire, aussi appelé Thermopierre, est largement utilisé dans la construction. Chaque année en Europe, environ 600 000 maisons individuelles sont construites avec ce matériau. C’est un mélange de sable fin, de ciment, de chaux de qualité, d’eau et d’un peu d’aluminium. Contrairement au béton traditionnel qui nécessite une cuisson, le béton cellulaire doit seulement reposer après avoir été placé dans un moule. Sa fabrication respectueuse de l’environnement est certifiée ISO 14001. Grâce à sa légèreté (350 à 800 kg/m3 contre 2 400 kg pour le béton ordinaire), il est facile à manipuler et utilise la technique du joint mince qui réduit considérablement l’utilisation de mortier.

Ce matériau ne rejette aucun solvant, fibre ou COV dans l’air. Il offre une bonne isolation thermique et acoustique sans nécessiter d’isolants supplémentaires. De plus, il permet d’appliquer directement des finitions comme de la peinture ou du carrelage après avoir enduit les surfaces.

La brique en monomur

Les briques ont beaucoup évolué ces dernières années, avec l’émergence de nouvelles versions comme les briques monomur. Ces nouveaux modèles sont très différents des anciennes briques en termes de couleur et de composition. Les briques actuelles agissent comme une barrière contre l’humidité grâce à leurs alvéoles qui emprisonnent l’air, ce qui empêche la formation de moisissures et réduit les risques d’allergies.
De plus, le système de joint mince utilisé pour les assembler permet d’économiser beaucoup d’eau, ce qui est bénéfique pour l’environnement. Cependant, la fabrication des briques nécessite une cuisson à haute température (1000°) pendant plusieurs heures, ce qui a un impact sur leur bilan écologique car seuls la terre et l’eau sont utilisés comme matières premières.

Le bois: un matériau naturel et écologique pour la construction

Le bois est de plus en plus populaire pour la construction, car il est naturel, écologique et offre une bonne isolation. Il nécessite peu d’énergie pour être transformé et permet des économies d’énergie grâce à son isolation efficace. De plus, le bois crée un environnement intérieur confortable en régulant l’humidité. Son poids léger réduit le besoin de fondations coûteuses et une fois traité, il peut durer plusieurs siècles avec peu d’entretien.

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Maison BBC : la Norme Bâtiment Basse Consommation pour la Construction

Les maisons BBC permettent d’anticiper l’avenir, de respecter une norme pour les constructions immobilières et de vivre confortablement en toutes saisons.
Pour obtenir le label BBC, il faut respecter un seuil maximal de consommation énergétique et d’émission de gaz à effet de serre, ainsi qu’utiliser des matériaux peu polluants.
La norme BBC encourage les propriétaires à opter pour des constructions écologiques. Cela implique des travaux d’isolation et l’utilisation de matériaux respectueux de l’environnement comme le bois, le chanvre, la paille ou la terre crue.
En 2012, il était obligatoire que toute nouvelle maison soit basse consommation. En 2020, cette obligation sera étendue aux maisons à énergie positive (qui produisent plus d’énergie qu’elles n’en consomment).
De plus en plus de constructeurs proposent des maisons BBC afin de répondre à une demande croissante pour des habitations écologiques offrant économies d’énergie et confort accru.
Faire construire une maison neuve BBC garantit un grand confort toute l’année… tout en réduisant au maximum la facture énergétique !

Explication

Une maison BBC est une habitation économe en énergie. Sa consommation annuelle d’énergie doit être inférieure à 50 kWh par mètre carré pour les maisons neuves, ajustée en fonction de l’altitude et du climat, soit entre 40 et 75 kWh par an. Les critères incluent le chauffage, l’eau chaude, la ventilation, l’éclairage et si nécessaire la climatisation. En comparaison, une maison traditionnelle consomme généralement entre 150 et 270 kWh par an et par mètre carré.
Le label est régi par l’arrêté du 8 mai 2007.

But de la maison BBC

La consommation d’énergie varie entre 40 et 75 kWh par mètre carré par an selon la région et l’altitude.

Caractéristiques d’une maison BBC

Une maison labellisée BBC offre un confort de vie optimal grâce à une isolation thermique et acoustique de qualité, une ventilation contrôlée, une gestion efficace de l’énergie pour le chauffage, la climatisation et l’eau chaude, ainsi qu’une qualité d’air intérieur supérieure. De plus, elle utilise des sources d’énergie renouvelables pour réduire son impact environnemental.

Les bénéfices de la maison BBC

Une maison BBC respecte l’environnement.
Si vous achetez votre première résidence principale, vous pourriez bénéficier du Prêt à Taux Zéro pour faciliter vos remboursements.
Vivre dans une maison BBC signifie des factures énergétiques modérées et sous contrôle.
Le label BBC est un avantage lors de la revente : une faible empreinte carbone valorise le bien immobilier.
Les loyers pour une location d’un logement BBC sont généralement plus élevés que ceux d’un logement non labellisé.
En optant pour une maison BBC, vous anticipez les futures réglementations en matière de construction.

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Construction de Maison Individuelle en 2023 : ce qu’il faut savoir !

Engager un constructeur de maisons individuelles

Le contrat de construction de maison individuelle est une formule confortable, intéressante financièrement et sécurisée. En signant ce contrat, vous bénéficiez de garanties renforcées par la législation. Le contrat doit contenir des informations telles que l’adresse du terrain, la description de la maison, les délais et coûts de construction, ainsi que les garanties du constructeur. Vous avez le choix entre un contrat avec plan où le constructeur se charge de tout ou un contrat sans plan qui offre moins de réglementation.

Construire sa propre maison avec ses propres moyens

Vous pouvez confier la construction de votre maison à une seule entreprise pour tout gérer, ou bien diviser les travaux entre différents artisans. Si vous choisissez la deuxième option, vous signerez un contrat global avec l’entreprise principale et des contrats spécifiques avec chaque artisan. Cette méthode demande plus de temps et de compétences, car vous devrez comparer plusieurs devis et superviser les travaux.
Si vous décidez de faire appel à un architecte pour concevoir les plans de votre maison, assurez-vous que sa rémunération soit incluse dans le contrat, en respectant un barème minimal. Les frais d’architecte sont généralement divisés en deux parties : 2/3 pour la conception du projet et 1/3 pour la surveillance du chantier. En moyenne, cela représente entre 5% et 8% du montant total des dépenses estimées.

Assurance de construction

Toute personne impliquée dans la garantie décennale doit avoir une assurance « dommages-ouvrage ». Cela concerne l’architecte, le constructeur, l’entrepreneur travaillant pour le maître d’ouvrage (celui qui décide de faire construire), ainsi que le promoteur, le vendeur d’immeubles à construire et même le particulier faisant construire sa maison via un contrat avec une entreprise ou un architecte. Cette assurance couvre les frais de réparation des dommages relevant de la garantie décennale causés pendant la construction. En cas de problème, elle finance les travaux nécessaires sans attendre de déterminer les responsabilités. Ainsi, le maître d’ouvrage ou son successeur peut obtenir rapidement la réparation des sinistres survenus dans les 10 ans suivant la construction. L’assurance doit être souscrite au début du chantier et couvrir obligatoirement la responsabilité du constructeur pendant 10 ans.

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Trouver le Terrain à bâtir pour votre Maison Neuve – le Plan Immobilier

Le Plan Immobilier sélectionne pour vous des terrains à bâtir sans constructeur ou dans des lotissements, proposés par des professionnels de l’immobilier pour vous accompagner dans votre projet.
Il est essentiel d’avoir établi un plan financier afin de connaître le budget nécessaire pour acheter le terrain.
Les caractéristiques du terrain auront un impact majeur sur la réalisation de votre projet, même si vous avez déjà une idée précise de la maison que vous souhaitez construire.

Trouver le Terrain Idéal pour sa Maison Neuve

Pour trouver le terrain idéal pour votre future maison, commencez par bien définir vos besoins et contraintes. Préférez-vous la tranquillité à la campagne ou l’animation en ville? Renseignez-vous sur les projets d’urbanisme de la commune. Évaluez la taille du terrain nécessaire et vérifiez les réglementations en vigueur concernant la construction. Pensez à l’exposition du terrain, sa nature, son inclinaison et les risques éventuels (incendies, inondations).

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Loueur Meublé Professionnel ou Non Professionnel : comparaison et avantages

Comparaison des conditions entre LMNP et LMP

Lorsque vous louez un logement meublé, l’administration fiscale regarde deux choses pour déterminer si vous êtes professionnel ou non.
1. Le montant annuel que vous gagnez avec la location meublée : moins ou plus de 23 000 euros (taxes incluses).
2. La part de ces revenus par rapport à vos revenus totaux : plus ou moins de la moitié.
Si vous gagnez moins de 23 000 euros par an avec la location meublée, et/ou si cette somme représente moins de la moitié de vos revenus, vous êtes considéré comme Loueur Meublé Non Professionnel (LMNP). Si les deux critères sont remplis, vous êtes automatiquement Loueur Meublé Professionnel (LMP).

À retenir : qu’est-ce qu’un logement meublé ?
Un logement meublé est un endroit où l’on peut vivre équipé avec tout le nécessaire : salle de bain, cuisine, mobilier, vaisselle.

Le statut de Loueur Meublé Non Professionnel (LMNP)

Le statut LMNP permet à un investisseur immobilier de réduire ses impôts sur les revenus locatifs. Le logement peut être neuf ou ancien et situé dans différents types de résidences. Les loyers perçus sont déclarés en tant que bénéfices industriels et commerciaux. Deux régimes fiscaux sont possibles : micro-BIC ou réel selon le montant des recettes annuelles. Les revenus LMNP entrent dans le calcul de l’IFI et les déficits sont déductibles et reportables pendant dix ans.

Le statut de Loueur Meublé Professionnel (LMP)

Le statut de Loueur Meublé Professionnel offre des avantages fiscaux intéressants. Pas besoin de s’inscrire au registre du commerce et pas de TVA à payer si aucune prestation de service n’est proposée. Les revenus locatifs doivent être déclarés selon différentes options et permettent de déduire certaines charges comme les frais d’entretien ou les intérêts d’emprunt. De plus, la vente du bien immobilier peut bénéficier d’un amortissement en fonction de sa durée de détention.
En cas de cession, une exonération des plus-values est possible si les revenus sont inférieurs à certains seuils et que l’activité a débuté depuis au moins 5 ans. Les biens loués en tant que LMP ne rentrent pas dans le calcul de l’IFI car ils sont considérés comme professionnels.

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Censi-bouvard – tout savoir sur la loi Censi-bouvard

La réduction d’impôt Censi-Bouvard a été prolongée jusqu’au 31 décembre 2022, puis s’est terminée avec le vote de la loi de finance 2023.

Tout sur la loi Censi-Bouvard: ce qu’il faut savoir

Avantages fiscaux

Ce dispositif de défiscalisation vous donne droit à une réduction d’impôts de 11% du montant total investi dans l’immobilier locatif, étalée sur 9 ans. La loi Censi-Bouvard s’applique jusqu’à un plafond de 300 000 € investis, y compris les frais de notaire. Si la réduction d’impôts dépasse le montant de l’impôt sur le revenu annuel, il est possible de reporter ce surplus sur les 6 années suivantes.

Statut de Loueur en Meublé Non Professionnel

Grâce à l’investissement en Censi-Bouvard, le futur acheteur devient aussi Loueur en Meublé Non Professionnel (LMNP). Pour obtenir ce statut fiscal, les revenus locatifs annuels ne doivent pas dépasser 23 000 € et doivent être déclarés sous le régime micro BIC (bénéfices industriels et commerciaux).

Déduction forfaitaire

Avec le statut LMNP, l’investisseur bénéficie d’une réduction de 50 % sur les impôts liés aux revenus locatifs. Ce régime permet aussi de récupérer la TVA à 19,6 % incluse dans le prix d’achat de l’immobilier. Les Résidences Services éligibles sont les résidences seniors, étudiantes et de tourisme.

Quelles sont les conditions pour profiter de la défiscalisation Censi-Bouvard ?

Pour bénéficier des avantages de la loi Censi-Bouvard, le futur acheteur doit choisir un bien immobilier neuf dans une résidence étudiante, une résidence seniors ou une résidence de tourisme avec des logements meublés. Il doit s’engager à louer pour au moins 9 ans en signant un bail commercial avec le gestionnaire de la résidence, ce qui assure une certaine sécurité. La loi Censi-Bouvard offre des avantages significatifs et s’applique sur tout le territoire français sans imposer de plafond sur les loyers pratiqués.

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Comment investir dans l’immobilier en 2023 ? L’investissement locatif

Les avantages et les gains d’un investissement immobilier

En choisissant de louer un bien immobilier neuf ou en état futur d’achèvement (VEFA), un propriétaire pourra :
– Faire un investissement durable
– Profiter de réductions d’impôt avantageuses
– Prévoir sa retraite en générant des revenus supplémentaires
– Protéger sa famille et diversifier son patrimoine
De plus, l’achat est facilité car les loyers perçus et les économies d’impôts sont pris en compte dans le remboursement du crédit immobilier.

Investir dans la location : Quel régime fiscal privilégier ?

Il y a différents avantages fiscaux pour investir dans l’immobilier neuf et augmenter la rentabilité de son investissement. Chaque avantage a ses propres conditions et ils ne peuvent pas tous être cumulés. Il faut choisir celui qui est le plus avantageux en fonction de sa situation financière et de ses objectifs à long terme.

Le régime Pinel

Vous voulez acheter un appartement neuf vide pour le louer ? Le dispositif Pinel offre une réduction d’impôt sur le revenu pouvant aller jusqu’à 18% du montant de l’investissement, étalée sur 9 ans. Pour en bénéficier, des conditions sur le loyer maximum, les ressources du locataire, la zone géographique (A, A bis et B1 uniquement) et le type de logement doivent être respectées.

Le régime Censi-Bouvard

Si vous achetez un appartement neuf meublé dans une résidence services (pour personnes âgées, étudiants, touristes…) pour le louer, le dispositif de défiscalisation Censi-Bouvard peut vous aider à réduire vos impôts. Ce dispositif a été prolongé jusqu’au 31 décembre 2021 et permet une réduction d’impôt sur le revenu équivalente à 11 % de votre investissement, étalée sur neuf ans. De plus, sous certaines conditions, il est possible de récupérer la TVA (19,6 %) du montant investi.

Comparé à la loi Pinel, le Censi-Bouvard offre certains avantages tels que l’absence de contrainte géographique spécifique et l’absence de plafond de ressources pour les locataires. De plus, l’avantage fiscal n’est pas lié à l’occupation effective du bien : le propriétaire signe un bail commercial avec le gestionnaire de la résidence qui se charge ensuite d’exploiter l’appartement.

Le statut de Loueur Meublé Professionnel (LMP ou LMNP)

Vous avez acheté un nouvel appartement meublé pour le louer ? Si vos revenus locatifs ne dépassent pas 70 000 € par an, vous êtes automatiquement considéré comme loueur en meublé non professionnel (LMNP). Ce statut appelé « micro-BIC » vous permet de bénéficier d’un abattement forfaitaire de 50 % sur vos loyers.

Comment se préparer à investir dans la location immobilière

Acheter un bien pour le louer demande une bonne préparation. Il faut penser au financement, définir le projet, chercher des dispositifs de défiscalisation. Pour réussir son investissement locatif, il y a 7 étapes à suivre. Découvrez-les dans cette infographie : les 7 étapes pour investir dans la location immobilière.

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TVA dans l’immobilier neuf : TVA à taux réduit entre 5,5%

La TVA à taux réduit

La TVA réduite dans l’immobilier neuf vise à faciliter l’accession à la propriété en baissant le taux de TVA de 20% à 5,5%. Cette mesure concerne les logements neufs situés dans des zones spécifiques comme les ANRU ou les QPV, dans un rayon de 300 mètres. Entre 2012 et 2013, un taux de TVA de 7% était appliqué pour des logements dans un périmètre plus large, entre 300 et 500 mètres autour des zones ANRU.

Une zone ANRU est une zone identifiée par l’Agence Nationale de Rénovation Urbaine pour un projet de rénovation urbaine incluant la construction ou la rénovation de logements, d’équipements publics etc. L’objectif est de revitaliser ces quartiers et rendre plus accessible l’accession à la propriété grâce à une TVA réduite lors de l’achat d’un bien immobilier dans ces secteurs.

Conditions pour bénéficier de la TVA réduite

L’État a créé une réduction de TVA pour encourager la construction dans des zones négligées. Pour en profiter, l’acheteur doit être un particulier.

Une maison principale

L’immobilier acheté avec TVA réduite doit être la maison principale de l’acheteur. Il doit y vivre au moins 8 mois par an, sauf cas spéciaux.

La situation géographique

Le logement acheté avec la TVA réduite doit être situé dans une zone ANRU ou QPV.

Les revenus maximums

Les acheteurs doivent respecter un plafond de revenus fixé par l’État en fonction de leur situation familiale et géographique. Les chiffres varient selon le nombre de personnes dans le ménage et la localisation du logement, ainsi que les ressources déclarées dans l’avis d’imposition de l’année N-2 précédant la signature du contrat.

Depuis le 1er janvier 2020, voici les plafonds applicables :

– Personne seule :
– Paris: 34 641 €
– Ile-de-France (hors Paris) : 34 641 €
– Province : 30 115 €

– Couple :
– Paris: 51 770 €
– Ile-de-France (hors Paris) : 51 770 €
– Province :40 216 €

– Ménage de trois personnes :
– Paris:67 865€,
– Ile-de-France (hors Paris):62 232€,
– Province:48 364€,

– Ménage de quatre personnes :
– Paris:81 028€,
– Ile-de-France (hors Paris):74 544€,
– Province:58 387€,

– Ménage de cinq personnes:
Paris 96 406 euros
Francilien hors paris 88 245 euros
province 68 686 euros

Ménages composés par six ou plus:
paris Francilien province
108 480 euros
99 303 eur
77 408 eur personne supplémentaire.

Le coût de l’habitation

Le prix d’un logement neuf doit respecter un plafond fixé par mètre carré, en fonction de la zone géographique. Depuis le 1er janvier 2020, voici les prix maximums par zone :

Zone A bis (Paris et petite couronne) : 4 886 €
Zone A (Île-de-France, Côte d’Azur, partie française de l’agglomération genevoise) : 3 702 €
Zone B1 (villes de plus de 250 000 habitants, grande couronne parisienne, certaines villes comme Bayonne ou La Rochelle) : 2 965 €
Zone B2 (villes de plus de 50 000 habitants) : 2 588 €
Zone C (reste de la France) : 2 263 €.

Le temps de revente

L’acheteur d’un bien immobilier avec TVA réduite doit le garder au moins 10 ans. S’il veut le revendre avant, il doit rembourser la différence de TVA (14,5 %). Il y a des exceptions pour ne pas rembourser cette différence (décès, divorce, mutation…).

Comment profiter de la TVA à taux réduit ?

L’acheteur d’un logement neuf peut demander la TVA réduite s’il remplit les conditions, en remplissant un formulaire H1 pour une maison neuve ou un formulaire H2 pour un appartement neuf dans les 3 mois suivant la livraison. Certains promoteurs peuvent s’occuper de ces formalités à la place des acheteurs. Il est possible de combiner la TVA réduite avec le Prêt à Taux Zéro (PTZ) pour financer l’achat d’un logement neuf.

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Conditions pour bénéficier du prêt à taux zéro – Le Plan Immobilier

Qui est éligible au Prêt à Taux Zéro ?

L’acheteur qui veut obtenir un Prêt à Taux Zéro doit être primo-accédant. Cela signifie qu’il s’agit d’une personne ou d’un ménage effectuant son premier achat immobilier ou n’ayant pas été propriétaire de sa résidence principale au cours des deux dernières années. Cependant, il existe des exceptions à cette règle, notamment pour les personnes titulaires d’une carte d’invalidité, bénéficiaires d’une allocation handicapé ou ayant subi une catastrophe naturelle rendant leur logement inhabitable.

Un seuil de revenus pour l’acheteur

Le prêt à taux zéro permet aux familles modestes d’acheter une maison, mais il faut respecter un certain niveau de revenus. Ce plafond dépend de la zone géographique et du nombre de personnes dans le foyer.

Le PTZ : limite de revenus

Les ressources comprennent les revenus fiscaux des occupants du logement. Les revenus de l’année N-2 sont pris en compte.

Quel type de logement est éligible au PTZ ?

Pour avoir le Prêt à Taux Zéro, l’acheteur doit remplir les conditions pour le logement.

Une maison principale

Il y a deux conditions pour qu’un logement soit considéré comme résidence principale : c’est là où l’acheteur et sa famille vivent au quotidien, et où se trouvent leurs intérêts professionnels et matériels. Pour être une résidence principale, le logement doit être occupé au moins 8 mois par an. Cependant, il y a des exceptions : le logement peut devenir une résidence principale un an après la fin des travaux, à l’achat du bien ou à la retraite (pas plus de 6 ans après).

Incapacité de louer

Le Prêt à Taux Zéro vise à aider les ménages à devenir propriétaires. Avant d’avoir remboursé intégralement le PTZ, il n’est pas possible de louer le logement acheté grâce à ce prêt. Cependant, dans certaines situations comme le chômage, une mutation professionnelle, un divorce ou une invalidité, le propriétaire peut mettre en location son bien immobilier.

Le genre de propriété immobilière

Le prêt à taux zéro peut aider à financer différents types de projets immobiliers, tels que la construction d’un logement, l’achat d’un terrain pour construire une maison neuve, l’acquisition d’un bien immobilier neuf ou social, l’achat d’une maison ancienne nécessitant des travaux (représentant au moins 25% du coût total et devant être effectués dans les 3 ans), la transformation d’un local en logement ou le financement de certains travaux de rénovation.

Limite de dépenses pour l’opération

Le montant maximum de l’achat d’une maison pour pouvoir bénéficier du Prêt à Taux Zéro dépend de la localisation du bien immobilier et du nombre de personnes qui vont y vivre.

Où acheter avec le Prêt à Taux Zéro ?

Le gouvernement a créé des zones pour le prêt à taux zéro (PTZ) afin de diviser la France en différentes parties, allant des villes avec un marché immobilier tendu (zone A) aux villes moins concernées (zone C). Il y a cinq zones actuellement :
– Zone A bis : Paris et communes limitrophes
– Zone A : Île-de-France, partie française de l’agglomération genevoise et Côte d’Azur
– Zone B1 : agglomérations de plus de 250 000 habitants, grande couronne parisienne et certaines villes comme Annecy, Bayonne ou La Rochelle
– Zone B2 : communes de plus de 50 000 habitants
– Zone C : reste du territoire français.

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Les avantages de l’immobilier neuf

Les avantages de l’achat dans le neuf

Choisir entre un logement neuf et un ancien dépend de plusieurs éléments comme le confort, le budget, l’emplacement et la date d’emménagement souhaitée. Le gouvernement encourage les gens à investir dans du neuf en offrant diverses aides et dispositifs.

Un logement moderne et conforme aux normes actuelles

Un logement neuf bénéficie des normes de construction les plus récentes imposées par le gouvernement. Cela comprend les exigences du Grenelle de l’Environnement et la construction de Bâtiments Basse Consommation (BBC et RT 2012).
Dans un logement neuf, les charges courantes sont moins élevées et mieux contrôlées grâce aux technologies énergétiques modernes, à une isolation efficace, à une ventilation adaptée et à une conception orientée pour maximiser la chaleur naturelle.
Le respect des normes actuelles en matière de construction garantit également un niveau de confort élevé et une meilleure qualité de vie pour le propriétaire. Les programmes immobiliers neufs offrent souvent des équipements collectifs tels que des ascenseurs, un parking, des espaces verts ou encore une piscine commune.

Les multiples bénéfices financiers et fiscaux

En achetant un bien immobilier neuf, les frais de notaire sont moins élevés (entre 2,5 % et 3 %) que dans l’ancien (7 à 8 %) car la TVA est incluse dans le prix. Le gouvernement offre des aides comme le prêt à taux zéro (PTZ) pour faciliter l’achat d’une première résidence neuve. Les investisseurs peuvent aussi bénéficier de dispositifs de défiscalisation comme la loi Pinel qui permet une réduction d’impôts jusqu’à 18 %. Pour cela, il faut respecter certaines conditions liées au loyer et aux revenus du locataire.

Une diversité de choix étendue et des garanties renforcées

En achetant un appartement neuf, on a beaucoup de choix. Les nouveaux bâtiments sont conçus pour satisfaire les besoins des habitants et offrent différents types d’appartements dans le même immeuble. De plus, ils sont généralement proches des commerces et services pour faciliter la vie quotidienne.
L’acheteur peut choisir les matériaux et équipements pour son logement neuf. Il peut personnaliser son espace en fonction de ses goûts, budget et besoins, dans les limites du permis de construire.
Acheter dans le neuf offre une protection juridique solide grâce à trois garanties : parfait achèvement, biennale et décennale. Dans certaines communes, l’achat d’un logement neuf en tant que résidence principale ou secondaire permet aussi de bénéficier de la suppression de la taxe foncière.

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Le Label BBC Eco Logement, c’est Quoi ? La Définition !

Le Label BBC Eco Logement, c’est Quoi ? La Définition !

Le Label BBC Eco Logement désigne un logement économe en énergie, avec une consommation maximale de 50 kWh/an/m². Ce chiffre peut varier selon l’altitude et les régions. Un logement BBC consomme beaucoup moins qu’un autre non labellisé, environ deux à trois fois moins.
Les économies d’énergie concernent le chauffage, l’éclairage, la climatisation, l’eau chaude et la ventilation. Pour obtenir ce label, il faut respecter les critères du référentiel de l’association Effinergie et passer par le label BBC-Effinergie.
Ce label offre de nombreux avantages comme le respect de l’environnement, des économies d’énergie, un confort thermique optimal, des aides financières et la valorisation du bien immobilier.

Le Label BBC Eco Logement : une norme améliorée pour les nouveaux bâtiments

Depuis octobre 2021, il est possible d’obtenir le label BBC Rénovation pour les nouvelles constructions en demandant une certification. Ce label remplace celui d’Effinergie créé il y a quelques années. Il vise à limiter la consommation d’énergie à 80 kWhEP/m²/an pour les bâtiments construits après janvier 1948. Cette limitation varie selon la localisation géographique et l’altitude. Pour économiser de l’énergie, il est recommandé d’utiliser des systèmes efficaces afin de réduire les factures en évitant le gaspillage énergétique.

Comment obtenir le label BBC ?

Pour obtenir un label BBC, le propriétaire ou l’acheteur doit suivre une démarche de certification. Cela inclut des étapes comme une étude thermique avant de soumettre le projet au certificateur. Si le projet est accepté, les travaux peuvent commencer. Le label BBC concerne les nouvelles constructions et vise à réduire la consommation énergétique grâce à des mesures telles que l’isolation, l’exposition solaire, l’étanchéité à l’air et la ventilation. Depuis la mise en place de la norme RT 2012 (aujourd’hui remplacée par la RE 2020), cette réglementation s’applique à tous les nouveaux bâtiments et est considérée comme la référence pour les constructions neuves en matière d’économie d’énergie.

Les bénéfices d’un logement neuf BBC

Acheter un nouveau logement labellisé BBC offre plusieurs avantages à l’acheteur. Il peut profiter du PTZ pour financer une partie de l’achat, ce qui augmente sa capacité d’emprunt. En vivant dans ce logement, le propriétaire réduit ses factures énergétiques par rapport aux anciens logements, jusqu’à 3 fois moins élevées. Au quotidien, le confort de vie est optimal grâce au chauffage, à l’isolation intérieure et extérieure, ainsi qu’aux détecteurs de présence associés à des ampoules basse consommation. De plus, le bien immobilier a une forte valeur patrimoniale car le respect de la norme BBC valorise le bien et permet une plus-value lors de la revente.

Les bénéfices à retenir du Label BBC

Le Label BBC garantit une bonne performance énergétique en favorisant l’ensoleillement, l’étanchéité à l’air, la ventilation et l’utilisation d’énergies renouvelables dans les logements.

Les aides pour investir dans un logement BBC

Le dispositif Pinel

Le dispositif Pinel permet de réduire ses impôts en investissant dans la location d’un bien immobilier neuf labellisé BBC ou conforme à la norme RT 2012. On peut économiser jusqu’à 21% d’impôt sur les 12 ans de location.

Le Prêt à Taux Zéro -> Le PTZ

Le Prêt à Taux Zéro ou PTZ est destiné aux personnes qui achètent leur premier logement. C’est un prêt gratuit.

Les catégories LMP et LMNP

Lorsque vous achetez un appartement neuf meublé pour le louer, vous pouvez bénéficier d’une réduction de 50% sur les revenus de la location.

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Construction Maison individuelle : les 5 avantages (Travaux & Impôts)

Un projet qui correspond à ses moyens financiers

Faire construire sa maison permet de bien contrôler les coûts dès le début. En définissant un plan de financement avec l’aide du constructeur, l’acheteur peut concevoir une maison qui lui correspond vraiment : taille, nombre de pièces, étages, extérieurs, matériaux… Tous ces détails peuvent impacter le prix final. Il est donc essentiel d’y penser en amont et de bien communiquer avec le constructeur.
Avec un contrat de construction de maisons individuelles (CCMI), le constructeur s’engage à respecter à la fois les délais et le budget établi au départ.

Une maison sur mesure

Construire sa maison permet d’avoir un logement personnalisé qui correspond à ses besoins et à son style de vie. On peut choisir la superficie, le design extérieur, l’agencement intérieur, le nombre d’étages, de pièces, avoir un garage, une terrasse ou décider des types d’ouvertures.
Dès le début du projet, on peut ajouter une suite parentale, une cuisine américaine, un dressing ou une salle d’eau supplémentaire.
Ainsi, on emménage dans un bien qui nous convient sans devoir faire des travaux.

En parlant de VEFA (Vente en Etat Futur d’Achèvement), il s’agit quand le constructeur propose à la vente une maison neuve avec un terrain associé.

Un accord et des assurances du constructeur

L’acheteur et le constructeur signent un contrat appelé Contrat de Construction de Maisons Individuelles (CCMI). Ce contrat contient toutes les informations sur la future maison : plan, matériaux, surface, prix, dates du chantier et de livraison… En le signant, le professionnel s’engage à livrer un logement conforme. Les assurances construction sont une responsabilité partagée entre les constructeurs et les maîtres d’ouvrage. Certaines sont obligatoires avant même le début des travaux tandis que d’autres ne sont que recommandées.

De nombreuses aides financières disponibles

La construction d’une maison nécessite souvent un budget important que l’apport personnel ne couvre pas toujours entièrement. Pour financer ce projet, il est possible de bénéficier de différentes aides financières telles que le Prêt Action Logement, le Prêt épargne logement, ou encore des prêts spécifiques pour les fonctionnaires. Ces aides prennent la forme de prêts à des taux avantageux proposés par des banques ou établissements financiers ayant passé un accord avec l’État.
De plus, dans certaines conditions, l’acheteur peut être totalement ou partiellement exempté de taxe foncière pendant une période de 2 ans.

Une maison économique

Les nouvelles maisons respectent les règles en vigueur, utilisent des matériaux modernes et économes en énergie. Elles sont conçues pour être respectueuses de l’environnement, avec une bonne qualité de l’air et des peintures écologiques qui améliorent la vie quotidienne.

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Guide d’achat immobilier neuf en France avec Plan Immobilier

L’achat d’un appartement ou d’une maison neuve est un projet important qui peut susciter du stress et des interrogations. Pour vous aider, Plan Immobilier a créé un guide complet sur l’achat dans le neuf. Vous y trouverez toutes les infos pour réaliser votre achat sereinement, de la préparation jusqu’à la recherche de votre bien idéal.

L’achat d’un bien immobilier neuf

Un achat immobilier est souvent un projet de toute une vie. Posséder sa propre maison est un objectif pour la plupart des Français. Cela représente un gros investissement et peut impliquer toute la famille.

Dans notre guide, vous trouverez des conseils pour construire votre projet ainsi que toutes les questions essentielles à se poser avant de commencer vos recherches : quel type de bien choisir, quels critères étudier avant d’acheter, explication des différentes étapes de l’achat.

Les spécificités de l’achat en VEFA

Acheter un bien sur plan signifie acquérir un logement qui n’est pas encore construit au moment de la signature du contrat. Contrairement à l’achat d’un bien ancien, il n’est pas possible de visiter le logement avant l’achat. Cependant, des plans détaillés et des modélisations 3D permettent de se projeter.
La vente en l’état futur d’achèvement (VEFA) est strictement encadrée par la loi pour protéger les acheteurs. Dans cette rubrique, vous trouverez les étapes à suivre pour emménager dans un logement neuf, ainsi que des informations sur pourquoi et comment acheter sur plan, accompagnées d’une vidéo explicative sur la VEFA.

Le coût de l’immobilier neuf

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Rénovation énergétique : changer ses fenêtres pour une meilleure isolation

L’importance des fenêtres dans un projet de rénovation énergétique

Les fenêtres mal isolées sont responsables de 10 à 15% des pertes d’énergie. En plus de faire augmenter les factures, elles provoquent une sensation de froid et parfois de l’humidité qui peut abîmer les murs.
Que vous soyez propriétaire ou locataire, changer les fenêtres est une priorité lors de travaux de rénovation pour améliorer l’efficacité énergétique. C’est pourquoi il existe différentes aides publiques pour encourager ce type de projet.

Quels types de vitrages et de châssis choisir pour une isolation thermique optimale?

Seuls les doubles ou triples vitrages sont vendus maintenant, mais il existe des châssis en différents matériaux. Un châssis en bois est recyclable, durable et facile à entretenir. Une fenêtre en PVC sur mesure est également performante avec un coût plus bas et pas besoin d’entretien spécifique. Les châssis en aluminium ont une durée de vie plus longue, viennent dans diverses formes et finitions mais sont plus coûteux.
Quel que soit le matériau choisi, les châssis performants éliminent les ponts thermiques qui augmentent la consommation d’énergie et provoquent une sensation de froid.

Rénovation énergétique : améliorer l’isolation avec des fenêtres performantes

Pour vendre ou louer un bien immobilier, le propriétaire doit d’abord faire réaliser un diagnostic de performance énergétique (DPE) pour identifier les pertes d’énergie du logement. Ainsi, il est essentiel de remplacer les fenêtres si nécessaire pour optimiser la vente ou la location de son appartement ou sa maison. Il faut également tenir compte du Plan Local d’Urbanisme et des règles de copropriété qui peuvent imposer certaines contraintes, notamment en ce qui concerne le choix des châssis.

Aides financières, subventions et allégements fiscaux

Différentes aides sont disponibles pour financer les travaux de rénovation énergétique, comme la prime énergie (prime Effy), qui peut atteindre plusieurs milliers d’euros en fonction des économies d’énergie réalisées et est déductible fiscalement. Pour en bénéficier, le logement doit avoir plus de 2 ans.
La prime MaPrimeRénov’ est cumulable avec la prime précédente et dépend des revenus du demandeur.
L’éco prêt à taux zéro (éco PTZ) concerne également la rénovation thermique et peut être utilisé pour changer les châssis dans certaines conditions. La TVA réduite à 5,5% est un avantage pour les travaux de rénovation énergétique, y compris le remplacement des fenêtres.
Ces aides nécessitent que les travaux soient effectués par un artisan certifié RGE (reconnu garant de l’environnement) par l’État, garantissant ses compétences techniques dans ce domaine.

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Capacité d’emprunt : jusqu’à 35% d’endettement pour la plupart des ménages

La capacité d’emprunt permet de savoir combien on peut emprunter pour acheter un bien immobilier en fonction de ce que l’on peut rembourser chaque mois et du taux d’intérêt. Cela, ajouté à l’apport personnel, définit le budget total pour l’achat.

Pourquoi fixer une limite au pourcentage d’endettement ?

Les banques limitent le montant des prêts pour s’assurer que les emprunteurs disposent encore de revenus suffisants après avoir remboursé leur crédit immobilier. En général, le taux d’endettement ne doit pas dépasser 33%. Avant de chercher un bien immobilier, il est possible de simuler un prêt sur le site de la Banque Postale.

La recommandation du HCSF devrait être reformulée comme suit : Les conseils du HCSF

Le marché immobilier s’est emballé ces dernières années, avec des prix en hausse et des prêts sur une durée plus longue. La Banque de France, via le Haut Conseil de stabilité financière (HCSF), surveille ce secteur. En 2019, le HCSF a recommandé de ne pas dépasser un taux d’endettement de 33 % pour des prêts ne dépassant pas 25 ans. Cette recommandation est devenue une décision contraignante par la suite.

Passer de la recommandation à l’obligation

Le marché immobilier est très actif en ce moment, avec un nombre record de ventes en 2021. Cependant, il y a un risque que les prix augmentent trop rapidement et que les prêts deviennent plus longs. Pour éviter cela, le HCSF a décidé de rendre obligatoires certaines règles pour les banques à partir du 1er janvier 2022 :

– Les personnes qui empruntent ne doivent pas consacrer plus de 35 % de leurs revenus au remboursement du prêt ;
– La durée maximale d’un prêt est de 25 ans, sauf pour l’achat sur plan où il est possible de différer le remboursement pendant deux ans après la livraison du bien.

Les banques doivent respecter ces règles sous peine d’être blâmées ou sanctionnées financièrement.

Des restrictions accompagnées de certaines flexibilités

Les banques peuvent accorder des prêts sur une durée de remboursement allant jusqu’à 2 ans de plus en cas d’achat dans le cadre d’une vente en l’état futur d’achèvement. De plus, elles ont la possibilité de déroger aux règles du Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF) avec une marge de flexibilité pouvant atteindre 20% des nouveaux crédits accordés chaque trimestre. Cependant, cette souplesse est encadrée : au moins 80% doivent être utilisés pour financer l’achat de résidences principales, dont au moins 30% destinés à des foyers réalisant leur premier achat immobilier. Les 20% restants (soit environ 4% par trimestre) peuvent être utilisés librement.
L’objectif du HCSF est de protéger les consommateurs tout en laissant aux banques une certaine flexibilité. Néanmoins, il est légitime de se demander si cette mesure, adaptée aux années précédentes (2019-2021), sera appropriée face à un marché immobilier en constante évolution en 2022.

Notre recommandation :

Il vaut mieux opter pour le régime réel ou microfoncier pour les revenus locatifs ?
Changer ses fenêtres pour une meilleure isolation thermique
Les 6 avantages qui font du dispositif Pinel une option intéressante.

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À Paris, des loyers de plus en plus chers ?

Le dispositif d’encadrement des loyers à Paris a été testé entre 2015 et 2017 pour stopper la hausse de 50 % enregistrée entre 2005 et 2015. Depuis le 1er juillet 2019, il est à nouveau en vigueur grâce à la loi Elan. Toutes les locations sont concernées sauf les HLM. Les nouveaux loyers de référence ont été publiés le 1er juin 2022 pour fixer les loyers dans les quartiers parisiens.

Ces derniers mois, on observe une stagnation voire une baisse des loyers, notamment due à l’impact prolongé de la Covid-19 sur la demande de logements parisienne. Certaines zones voient leurs loyers diminuer tandis que d’autres continuent d’augmenter malgré la crise.

Le marché de la location meublée haut de gamme reprend également avec des hausses significatives depuis début 2020, stimulé par le retour des touristes. Cette tendance devrait se poursuivre avec l’inflation, permettant aux bailleurs de réviser annuellement les loyers en se basant sur l’indice de référence des loyers.

Selon Le Parisien, Paris compte un taux élevé (62 %) de locataires payant des loyers bien plus élevés (167 %) qu’en province.

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Groupe immobilier Duval, Pichet, Galia… ces géants qui sont restés familiaux

Le groupe Duval est un acteur majeur du secteur immobilier. Son fondateur, Éric Duval, a débuté sa carrière dans l’entreprise familiale de construction en 1978. Depuis les années 2000, il a diversifié ses activités et étendu sa présence géographique, réalisant un chiffre d’affaires de 740 millions d’euros en 2021.
En plus des promotions immobilières et de la gestion via Odalys, le groupe investit en Afrique avec l’objectif d’atteindre 200 millions de chiffre d’affaires sur le continent à court terme. Sa croissance repose aussi sur des acquisitions stratégiques et des partenariats durables.
Quant au groupe Pichet, fondé par Patrice Pichet à Bordeaux en 1990, il est désormais le quatrième promoteur national. Avec cinq branches d’activités différentes comme la gestion immobilière ou l’hôtellerie, il a généré 1,5 milliard d’euros de volume d’activité en 2021.
Pichet se distingue par son engagement pour le développement durable et l’innovation dans ses projets immobiliers. Son ambition est de combiner qualité et performance pour offrir une vision globale à chaque projet.
Enfin, le groupe Galia fondé dans les années 1980 par Julia Gad est une entreprise familiale spécialisée dans la restructuration immobilière à Paris et en région parisienne. Contrairement à d’autres acteurs du marché qui revendent leurs biens rapidement, Galia préfère conserver ses propriétés sur le long terme pour créer de la valeur ajoutée.

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Comment traiter avec les locataires difficiles ?

Louer un appartement signifie signer un contrat entre le propriétaire et le locataire. Respecter ce contrat est essentiel pour une relation harmonieuse. Parfois, des tensions surviennent entre les deux parties. Certains locataires peuvent être compliqués à gérer : ils négligent leurs responsabilités, provoquent des conflits ou signalent de faux problèmes. Dans ces cas, le propriétaire doit s’investir pleinement dans la gestion de ces locataires difficiles. Comment faire face à cette situation ?

Demander un soutien juridique pour résoudre la situation

Les conflits entre propriétaires et locataires peuvent être variés. Cela peut concerner le bail, l’état du logement, le dépôt de garantie, les charges, etc. Quand les deux parties connaissent bien la loi, les problèmes se résolvent plus facilement.
Un propriétaire peut rencontrer des difficultés avec un locataire malhonnête ou ignorant des règles. Dans ce cas, il est important de recourir à une aide juridique pour éclairer le locataire et faire le lien entre eux. Internet permet de trouver rapidement un huissier près de chez soi pour régler un conflit lié à la location.
Des plateformes offrent la possibilité d’être mis en relation avec des professionnels du droit (huissiers, avocats, notaires) pour obtenir des conseils. Les comptables référencés aident également dans la gestion financière des locations. Propriétaires et locataires peuvent aussi faire appel à un conciliateur de justice qui propose bénévolement des solutions pour régler les litiges par rapport à un médiateur neutre dans ces situations difficiles.

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Mettre en place dès le départ des règles et des attentes claires pour les locataires

Pour bien s’entendre avec ses locataires, il est essentiel que le propriétaire établisse clairement les règles et obligations dès le début de la relation. Cela se fait à travers le contrat de bail, un document crucial qui nécessite une rédaction sérieuse. Faire appel à un professionnel du droit peut s’avérer très utile dans cette démarche.
En ayant une connaissance précise du cadre légal en matière de location immobilière, un huissier est capable d’inclure des clauses conformes à la réglementation dans le contrat. Des règles bien définies permettent de prévenir les conflits dus à des malentendus. Les locataires peuvent parfois poser problème lorsqu’ils perçoivent un manque de transparence de la part des propriétaires. Établir des règles claires dès le départ aide à éviter ces situations.
De cette manière, il devient plus difficile pour le locataire de contester ce qui lui est demandé. Dans le cas d’une location en copropriété, élaborer un règlement garantit une cohabitation harmonieuse entre les occupants. Il est primordial que toutes les parties impliquées comprennent et respectent les règles établies par le propriétaire.

Documenter les actions et événements -> Enregistrer les actions et événements

La gestion d’une location immobilière peut être compliquée pour le propriétaire. Il est important de bien noter toutes les actions et informations relatives à la location dans un document officiel pour avoir des preuves en cas de besoin. Cela concerne notamment les règles liées à la location, les problèmes signalés par le locataire, les réparations effectuées, etc.
En cas de litige avec un locataire difficile, ces documents peuvent être utiles pour prouver sa position et résoudre le conflit. Ils permettent également au propriétaire d’avoir plus de poids devant la justice si le différend devait être porté devant elle.

Maintenir une communication transparente

Le propriétaire doit maintenir une bonne relation avec ses locataires pour éviter les conflits. Il doit être prêt à écouter leurs plaintes et à les résoudre rapidement. La communication entre le propriétaire et les locataires est essentielle pour prévenir les problèmes liés au logement ou au voisinage.

Il est important de se rappeler que le propriétaire a l’obligation de fournir un logement décent et de régler les différends entre voisins. Si un locataire signale un problème qui concerne le propriétaire, celui-ci doit s’en occuper immédiatement afin d’éviter toute frustration. En maintenant une communication ouverte, le propriétaire offre au locataire la possibilité d’exprimer ses préoccupations en temps réel.

Lorsque le propriétaire est responsable d’un problème, il doit le résoudre rapidement et discuter des solutions avec le locataire. Une bonne communication peut également aider un locataire difficile à prendre conscience de ses erreurs ou négligences.

Garder son calme et rester professionnel

Lorsqu’il y a un problème avec un locataire difficile, il est essentiel de rester calme et professionnel. Cela permet d’éviter les conflits et de gérer la situation correctement. Parfois, il peut être nécessaire de faire appel à des experts juridiques pour résoudre le litige conformément à la loi en vigueur. Par exemple, l’intervention d’un huissier peut faciliter la résolution amiable de situations complexes liées à la location.

Voici ce que nous vous recommandons :

Les grands groupes immobiliers comme Duval, Pichet, Galia sont restés familiaux.
Faut-il opter pour le microfoncier ou le régime réel pour les revenus locatifs ?
Le crédit reste abordable malgré la hausse des taux, mais les conditions se durcissent.

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Verrière, combles… Les solutions pour agrandir son intérieur

Agrandir son espace en installant une verrière de style atelier améliore la qualité de vie à la maison. Cela permet d’ajouter une nouvelle pièce en utilisant un peu d’espace dans une pièce existante, ou d’apporter de la luminosité à une zone sombre. La verrière, grâce à sa structure en acier, aluminium ou bois, s’adapte à tous les styles architecturaux et peut être rapidement installée, limitant ainsi les travaux nécessaires.

Elle offre également des avantages économiques car elle constitue une bonne isolation thermique lorsqu’elle est équipée d’un double vitrage dans une véranda, ce qui limite les pertes de chaleur en hiver. Cependant, son principal inconvénient réside dans le manque d’intimité qu’elle procure en raison de sa transparence.

Pour les maisons disposant de combles ou d’un grenier, transformer ces espaces représente une solution idéale pour agrandir l’intérieur et créer de nouvelles pièces telles que des chambres supplémentaires, un bureau ou même une salle de jeu. L’aménagement des combles renforce également l’isolation de la maison et permet des économies d’énergie grâce à l’installation d’une meilleure isolation thermique.

Cependant, il faut noter que ces travaux peuvent être conséquents et nécessiter des investissements importants selon le type de charpente existante. Le coût varie entre 500 euros/m2 et plus de 1000 euros/m2 selon le type de charpente choisi. Il convient donc d’évaluer attentivement son budget avant de se lancer dans ce type d’aménagement.

En ce qui concerne l’installation d’une verrière type atelier pour agrandir votre espace intérieur, les prix varient entre 200 et 500 euros par m2 pour un style contemporain jusqu’à 1200-4000 euros par m2 pour un modèle véranda plus sophistiqué avec extension extérieure requérant parfois un permis de construire municipal.

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Évaluation immobilière ou expertise : que choisir ?

L’évaluation immobilière détermine une fourchette de prix d’un bien pour des transactions courantes. Elle relève des compétences d’un notaire ou agent immobilier et se concentre sur les caractéristiques du bien et son marché local. Une visite terrain est effectuée pour observer l’état global, les installations, la qualité du foncier, etc. L’agent tient compte du marché et consulte divers documents pour proposer un avis de valeur informatif.

L’expertise immobilière est une estimation d’un actif immobilier selon une charte spécifique établie par des experts en France. Cette procédure vise à déterminer la valeur vénale dans différents contextes comme une vente, un prêt relais, une succession, etc. Contrairement à l’évaluation qui est courante, l’expertise intervient dans des cas exceptionnels nécessitant une expertise juridique.

En résumé, l’évaluation sert aux opérations habituelles tandis que l’expertise est réservée aux situations plus complexes nécessitant un expert immobilier.

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Où investir en loi Pinel à la rentrée ?

L’avantage fiscal diminuera à partir de 2023

La loi Pinel, qui permet de réduire ses impôts en investissant dans l’immobilier, va bientôt changer. Après décembre 2022, les conditions seront plus strictes et les avantages fiscaux moins importants. La rentrée prochaine devrait donc être propice aux achats immobiliers pour profiter des avantages actuels. Il est cependant essentiel de bien choisir sa ville d’investissement pour que le projet soit rentable. Voici 4 grandes villes à considérer : Bordeaux, Toulouse, Montpellier et Nantes.

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Investir à Nantes en loi Pinel à la rentrée : une opportunité à saisir

Nantes est en zone B1 pour la loi Pinel. Le loyer maximum autorisé est de 10,55 euros par mètre carré. Il est un peu plus élevé que la moyenne pour les petits appartements, mais similaire pour les logements avec 3 ou 4 pièces. Investir dans un appartement avec 2 chambres peut être une bonne idée, à condition de ne pas payer trop cher.
Il peut être intéressant d’acheter dans les villes voisines comme Orvault ou Saint-Herblain qui sont aussi en zone B1.

Où investir en loi Pinel à la rentrée ? Lille

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La ville du Nord est en zone A, avec un loyer maximum de 13,09 € par m2. Ce montant est similaire au prix habituel du loyer. Le coût d’achat reste abordable et permet de rendre l’investissement rentable. Les investisseurs peuvent également se tourner vers des villes avoisinantes comme Marcq-en-Barœul ou Wasquehal qui appartiennent à la même zone mais offrent des prix au mètre carré plus bas.

Investir à Rennes en loi Pinel à la rentrée

Rennes, une ville étudiante en zone B1, a des loyers plafonnés à 10,55 € par mètre carré. Certains quartiers offrent un bon rendement grâce à des prix d’achat abordables, surtout pour les appartements de type T3 et T4.

La Ville Rose

Toulouse est une ville très dynamique dans le Sud-Ouest, tout comme Bordeaux. Cependant, à la différence de Bordeaux où les prix ont beaucoup augmenté, il est encore possible d’acheter un logement locatif à un prix abordable à Toulouse. Cette ville, située en zone B1, offre une rentabilité intéressante pour les logements à partir du T2. Les investisseurs peuvent également envisager d’explorer les communes avoisinantes pour optimiser leur investissement immobilier.

Des petits points à prendre en compte

Chaque endroit a ses avantages et inconvénients. La moyenne d’une ville ne garantit pas le succès d’un investissement futur. Avant d’acheter, il est essentiel de bien étudier la propriété : emplacement, marché local, prix au mètre carré… Les détails font souvent toute la différence.

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Immobilier neuf : à quoi s’attendre pour la fin d’année ?

Les Français continuent d’être intéressés par l’achat de logements neufs partout en France. Cette rentrée ne devrait pas faire exception. Certains acheteurs, comme les primo-accédants, cherchent des logements conformes aux normes écologiques pour économiser sur leurs factures énergétiques. Avec la hausse des températures cet été et l’augmentation du coût de l’électricité et du gaz, certains préfèrent investir dans un logement plus cher à l’achat mais plus économique sur le long terme.
Pour ceux voulant investir dans la location, le dispositif Pinel est encore avantageux jusqu’à la fin de l’année avant un durcissement des conditions en 2023. On s’attend à une forte demande pour ce type de biens immobiliers défiscalisants cet automne.
Cependant, les prix dans le secteur de l’immobilier neuf continuent d’augmenter en raison de divers facteurs tels que la rareté et la cherté des matériaux, le manque de terrains constructibles et les normes strictes. Il devient donc plus compliqué pour les promoteurs immobiliers de répondre à la demande croissante.
Après une période favorable avec des taux d’emprunt historiquement bas, le marché pourrait souffrir d’une hausse des coûts financiers et d’une contraction des critères d’emprunt imposés par les banques. Cela impacte particulièrement les primo-accédants ayant peu d’apport financier ainsi que les investisseurs limités par leur taux d’endettement maximum.
Ces changements conjoncturels combinés à une inflation croissante auront probablement un impact sur le marché immobilier neuf à court ou moyen terme. La production insuffisante de logements risque également d’être affectée par ces évolutions économiques.
Certaines régions restent attractives pour l’immobilier neuf comme c’est le cas du Grand Paris où plusieurs villes voient leur popularité augmenter grâce aux futurs développements du réseau métropolitain prévus dans les prochaines années.

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Transactions dans l’immobilier résidentiel : après l’envolée, l’atterrissage ?

L’année 2021 a été exceptionnelle pour le marché immobilier résidentiel. Le nombre de transactions a atteint un niveau record de 1,2 million selon les notaires, enregistrant une augmentation d’environ 15 % par rapport aux années précédentes. Les prix au mètre carré continuent également leur progression pour la sixième année consécutive pour les maisons et la septième année consécutive pour les appartements. De nouveaux records ont également été établis en termes de durées de crédit (21,1 ans) et de part de financement obtenue par emprunt (81,8 %).

La crise sanitaire, les confinements et l’avènement du télétravail ont poussé plus de 18 % des Français à déménager en 2021, un changement majeur selon Boris Vienne du Conseil supérieur du notariat. Ce phénomène s’explique par le besoin accru d’espace et d’une meilleure qualité de vie accentué par des taux d’emprunt historiquement bas facilitant la concrétisation des projets.

Dans ce contexte particulier, les villes moyennes sont très prisées ainsi que les logements individuels avec jardin ou les appartements dotés d’une terrasse ou d’un balcon. La possibilité d’aménager un espace bureau séparé est désormais essentielle tout comme la qualité de la connexion internet. Ce sont notamment les villes moyennes bien connectées et dynamiques qui tirent leur épingle du jeu comme certaines grandes banlieues (notamment en Île-de-France) ou encore celles desservies par le TGV.

L’essor des investisseurs

Les investisseurs jouent un rôle clé sur le marché immobilier. Depuis 2014, la part des achats effectués dans le but de louer ne cesse d’augmenter. Elle est passée de 17 % à 30 % en sept ans, atteignant ainsi un nouveau record pour la quatrième année consécutive. Les investisseurs institutionnels, les fonds d’investissement et les gestionnaires d’actifs renforcent leur présence sur le marché du logement. Rien qu’au premier trimestre de 2022, les investisseurs institutionnels ont investi 3,1 milliards d’euros dans le secteur résidentiel, ce qui laisse envisager un volume record pour l’année selon BNP Paribas RE.

En 2021, environ 7,4 milliards d’euros ont été investis dans l’immobilier résidentiel en France. Les dix premières transactions ont totalisé 3,2 milliards d’euros. Stéphane Imowicz, PDG d’Ikory, souligne que cette année-là a été marquée par une cinquantaine de possibilités d’investissement dépassant chacune les 10 millions d’euros. Ces opérations représentaient au total près de 4 milliards d’euros dont presque 15 unités valant plus de 50 millions chacune. En région parisienne seulement se concentrent environ 70 % des montants mis en vente.

D’après CFNews Immo, environ 5 milliards d’euros ont été investis dans le logement en France en 2021. Powerhouse Habitat a réalisé deux des quatre plus importantes transactions cette même année : l’une portant sur l’acquisition de majeure partie (85%)d’un ensemble immobilier comprenant seize immeubles auprès du groupe EDF évalués à hauteur de €218M ; cela comprend aussi trois cent quatre-vingts logements répartis en trente et un mille mètres carrées habitables; tandis que la seconde transaction concernait l’achat de trente-et-un immeubles résidentiels auprès du SCPI Domivalor IV géré par Immovalor Gestion , une filiale du groupe Allianz négociée directement pour une valeur totale s’élevant à €207M ; cet acquisition comporte huit cent soixante-quatorze logements avec tous une surface totale habitable estimée à cinquante-mille mètres carrées repartie entre moitié région parisienne et autre moitié grandes métropoles régionales.Daniel Rigny président TwentyTwo Real Estate souligne « ces acquisitions s’intègrent pleinement dans notre volonté visant à accroitre notre patrimoine afin diversifier notre offre locative avec prix abordable dotés haut niveau service et confort.

L’essor des grandes villes en province

A Paris, les prix de l’immobilier ne montent plus comme avant, et même baissent dans certains quartiers. Le marché immobilier est désormais plus dynamique en province à cause de la crise sanitaire et du télétravail. TwentyTwo Real Estate utilise différents critères pour repérer les zones avec un fort potentiel d’investissement, comme l’accès à internet haut débit, la proximité des transports en commun, des espaces verts ou des grands espaces extérieurs. Ces critères correspondent aux attentes d’une population urbaine cherchant à se déconnecter tout en restant connectée. Par exemple, l’entreprise réalise actuellement la rénovation d’un ensemble de 200 logements construits en 1974 à Marseille. Cette rénovation vise à respecter le caractère initial des lieux tout en s’adaptant aux besoins actuels, incluant une meilleure isolation thermique, un confort de vie accru et une vie collective améliorée.

Une montée en flèche des prix à l’échelle générale

Après l’envolée des prix dans les grandes villes, on observe un intérêt croissant pour les villes de sous-préfectures proches des métropoles comme Melun et Bergerac. Les maisons sont particulièrement populaires auprès des ménages cherchant à s’éloigner des grandes agglomérations ou à vivre à la campagne. Ainsi, selon les notaires, c’est dans la région rennaise que les prix ont le plus augmenté sur un an (+13,1% au 3e trimestre 2021), suivie par Montpellier, Toulon, Nice, Bordeaux, Marseille, Nantes, Lille, Lyon et Saint-Etienne.

Quant aux appartements, les hausses les plus importantes concernent Orléans (+10,4%) et Reims (+10,2%), deux villes recherchées pour leur proximité avec Paris. Rennes se classe également parmi les premiers en raison de la LGV Paris-Rennes (1h30). Viennent ensuite Saint-Etienne, Dijon , Toulon , Le Havre , Lille , Nantes et Marseille.

Le CREDOC souligne aussi l’attrait croissant pour les petites villes ainsi que le succès des villes moyennes et des zones périphériques. Selon Thomas Lefebvre de Meilleurs Agents, »l’époque où Paris et les 10 plus grandes métropoles françaises dominaient le marché est révolue ». Un phénomène de relocalisation vers des petites et moyennes villes est observé par les notaires. Par exemple autour de Lyon , on constate une tendance à s’installer dans des communes de moins de 3 500 habitants situées dans des départements voisins (Isère,Ain Loire) offrant davantage d’espace vert et une accessibilité financière accrue.

La même dynamique est observée à Toulouse avec l’intra-muros ainsi que dans sa métropole; Poitiers voit ses prix médians augmenter de 15 % en un an,Troyes +12 % ou encore Nîmes +6 %. Une étude du réseau Century 21 met également en avant l’essor des maisons en périphérie urbaine: « Les ménages privilégient désormais ces villes moyennes gravitant autour des grandes métropoles.

Transactions dans l’immobilier résidentiel : vers un atterrissage en 2022 ?

Après une forte croissance en 2021, le marché immobilier montre des signes de ralentissement depuis avril 2022. Les prix dans les grandes villes françaises commencent à stagner, et cette tendance s’observe également dans les zones rurales où la hausse est moins marquée que l’an dernier. À l’échelle nationale, les prix ont augmenté de 1,7% au premier semestre 2022, contre 3,8% à la même période en 2021.

Ce phénomène de stabilisation devrait se maintenir au second semestre en raison de plusieurs facteurs. L’augmentation historique des taux d’intérêt décidée par la BCE en juillet va impacter les conditions d’obtention des crédits immobiliers. Les experts prévoient ainsi une possible hausse des taux d’emprunt vers les 2% d’ici la fin de l’année.

Les critères plus stricts imposés par le Haut conseil de stabilité financière depuis janvier contribuent déjà à un nombre croissant de refus de prêts pour les particuliers.

Les acteurs majeurs du secteur immobilier confirment cette tendance : la FNAIM estime que la hausse des prix devrait plafonner à 3% cette année alors que le volume des ventes pourrait reculer entre 8 et 10%.

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Marseille : des prix au plus haut

Des prix en forte augmentation, mais toujours en dessous de la moyenne départementale

Les prix de l’immobilier à Marseille ont atteint des sommets en septembre 2022, avec une hausse moyenne de 3305 euros par mètre carré. Cette progression est constante : sur 3 mois, le marché a augmenté de 2 % et sur un an, de plus de 7,3 %. En trois ans, la croissance culmine à 23 %. Les propriétaires pourraient profiter de cette embellie, notamment pour les maisons qui se vendent en moyenne à 5200 euros par mètre carré. Les pavillons de trois pièces sont les plus prisés et atteignent jusqu’à 5500 euros par mètre carré. En revanche, les appartements restent abordables avec un prix moyen inférieur à 3000 euros par mètre carré. Il est intéressant de noter que les grands logements affichent les prix au mètre carré les plus bas.

Malgré sa taille importante, Marseille propose des prix immobiliers plus abordables comparés à la moyenne du département des Bouches-du-Rhône. En effet, un écart d’environ 8 % existe entre la capitale phocéenne et le reste du département selon la FNAIM.

Le moment idéal pour vendre ?

Les prix immobiliers à Marseille sont-ils sur le point de battre des records ? C’est la question qui préoccupe de nombreux agents immobiliers en ce moment. Après une période favorable aux acheteurs, marquée par des taux d’emprunt bas et des durées de crédit allongées, la situation économique évolue. L’inflation galopante entraîne une hausse inéluctable des taux d’intérêt. Le taux d’emprunt moyen a presque doublé en un an, passant de 1 % en septembre 2021 à 1,90 % en septembre 2022. Cette tendance pourrait se poursuivre avec l’annonce par la Banque Centrale Européenne d’une hausse de ses taux directeurs pour contenir l’inflation.
Cette augmentation des taux risque de réduire le pouvoir d’achat immobilier des ménages et donc ralentir les transactions. Les recommandations du HCSF ont déjà durci les conditions d’octroi de crédit, rendant les banques plus sélectives, même envers les emprunteurs ayant de solides capacités financières. Parallèlement, le taux d’usure limite également l’accès au crédit.
Le marché immobilier marseillais se trouve à un tournant incertain. Personne ne peut prédire l’évolution à venir dans les prochaines semaines et mois. Pour ceux envisageant de vendre un bien, l’automne 2022 pourrait offrir une opportunité avant une éventuelle stagnation voire baisse des prix.

Comment procéder à la vente de son bien immobilier ?

Les propriétaires qui veulent vendre leur logement peuvent faire estimer le prix par un agent immobilier, gratuitement et sans engagement envers l’agence. Pour choisir le bon professionnel, il est important de privilégier une agence efficace capable de bien argumenter. En ce qui concerne les frais, certaines agences prennent un pourcentage sur le prix de vente tandis que d’autres demandent une commission fixe. Il est crucial de bien comprendre ces détails pour éviter les surprises. Méfiez-vous des mandats exclusifs qui limitent vos options avec d’autres agences immobilières et assurez-vous que les honoraires ne sont payables qu’après la vente chez le notaire.

Si vous vendez une résidence secondaire ou un bien d’une valeur supérieure à 15 000 €, vous pourriez être soumis à une taxation sur la plus-value à hauteur de 19% pour l’impôt sur le revenu et de 17,2% pour les prélèvements sociaux. Cependant, il existe des abattements en fonction de la durée de détention du bien, permettant une exonération totale au bout de certaines années (22 ans pour l’impôt sur le revenu et 30 ans pour les prélèvements sociaux).

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La division immobilière, solution de rentabilité en investissement locatif

La division immobilière consiste à acheter un bien, comme un appartement ou une maison, pour le diviser en plusieurs parties distinctes et les louer individuellement. Au lieu de gagner de l’argent avec un seul bien, vous pouvez gagner des revenus provenant de chaque unité séparée. La division peut être officielle ou non officielle.
La division officielle implique la séparation réelle du bien en différentes parties indépendantes avec leurs propres entrées, compteurs, salles de bains… Cela nécessite l’intervention d’un géomètre et d‘un notaire pour redéfinir les superficies habitables.
Quant à la division non officielle, elle concerne l’aménagement du bien initial afin de créer plusieurs espaces locatifs distincts sans modifier juridiquement la structure existante.
Pour réaliser une division immobilière, il est important de respecter une taille minimale par lot (14m²) ou un volume habitable minimum (33m³). Dans le cas d’une division officielle, il faut équiper chaque logement des équipements nécessaires à la location.

Il est essentiel de consulter le règlement de copropriété pour vérifier si toute forme de division est autorisée. Si aucune interdiction n’est mentionnée dans le règlement :
– La division non officielle ne modifie pas les parties communes et ne demande aucune démarche auprès de la copropriété.
– En revanche, une modification des parties communes lors d’une division officielle doit être approuvée en assemblée générale.

Une fois divisé en plusieurs lots distincts, prévenir la copropriété permettra une nouvelle répartition des charges communes. Cette étape engendre des coûts liés à l’organisation d’une assemblée générale exceptionnelle ainsi que les honoraires du géomètre et du notaire pour recalculer ces charges.
Investir dans des petites surfaces telles que les studios ou T2 adaptés aux locations étudiantes peut offrir moins de concurrence par rapport à l’achat d’un grand bien à diviser.

Regrouper toutes les démarches liées à un projet unique plutôt que sur différents projets accroît efficacité dans la gestion financière et administrative. De même pour les travaux qui peuvent être réalisés plus simplement avec un suivi centralisé plutôt qu’éparpillé sur plusieurs chantiers simultanés.

L’investissement dans plusieurs biens locatifs génère souvent davantage de revenus qu’un seul bien grâce à une meilleure rentabilité au mètre carré. En cas de revente ultérieure, vendre séparément chaque lot peut s’avérer plus lucratif qu’un bien unique dont le prix au m² serait moindre.

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Amiens : les atouts de l’investissement locatif

Amiens est une ville avec de nombreux atouts économiques, démographiques, géographiques et culturels. En 1875, Jules Verne l’avait déjà qualifiée de « ville idéale ». Avec sa population de 135 598 habitants en 2021 et plus de 340 000 pour l’agglomération du grand Amiénois, la ville attire également environ 31 500 étudiants grâce à ses excellents pôles universitaires, notamment la faculté de médecine. Cette jeunesse est souvent en transit et recherche des logements pour des durées allant d’une à huit ans.
En termes d’économie, Amiens compte environ 9 506 entreprises actives en 2021, ce qui en fait un centre économique important dans les Hauts-de-France, le deuxième plus grand pôle urbain et économique de la région. Sa localisation stratégique entre Paris, Bruxelles et Londres ainsi que les liaisons rapides avec ces villes font d’Amiens une option attrayante pour les jeunes cadres souhaitant s’éloigner des grandes métropoles.
La région bénéficie également du soutien financier européen via le FEDER. Les investissements locatifs à Amiens se divisent en deux catégories : l’investissement patrimonial visant à conserver un bien sur le long terme afin d’en augmenter la valeur intrinsèque progressivement ; et l’investissement locatif défiscalisant qui consiste à acheter un bien immobilier pour profiter d’avantages fiscaux temporaires sans obligation de conservation à long terme.
Dans tous les cas, Amiens offre des opportunités intéressantes grâce à son attractivité croissante ces dernières années.

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Location meublée : pensez à louer à une entreprise

Les gens peuvent louer leur maison à des entreprises pour que leurs employés y habitent. Cela peut apporter plusieurs avantages.

Certaines sociétés cherchent des hébergements pour leurs employés en déplacement

De nos jours, de nombreux salariés sont mutés rapidement et ont besoin d’un logement meublé pour une durée courte. Les employeurs peuvent faire appel à des agences spécialisées en gestion locative pour mettre en relation des propriétaires avec des entreprises cherchant à louer des logements sur le long terme.
Ainsi, les propriétaires peuvent proposer leur bien directement à une entreprise qui logera ses employés. Le bail est alors signé avec l’entreprise, ce qui diffère du contrat imposé par la loi de 1989 ou des baux de location meublée classiques. En louant à une entreprise, le bailleur a plus de liberté pour définir la durée, la période de préavis, la caution et les modalités de paiement des charges.
Cette forme de location est courante dans les zones économiquement dynamiques.

Aucune limitation des loyers ou des charges liées à la location

Louer à une entreprise présente de nombreux avantages pour un propriétaire, tels que :
– Le loyer peut être fixé librement entre les parties, sans être soumis aux règles sur les loyers imposées aux locations pour particuliers.
– Avec une entreprise comme locataire, les risques d’impayés sont réduits et le logement est mieux entretenu.
– C’est l’entreprise qui se charge de trouver des occupants, nettoyer et remettre le logement en état. Les problèmes potentiels avec des locataires particuliers sont généralement évités avec des entreprises.
Cependant, il est important de vérifier la solidité financière de l’entreprise pour assurer la pérennité du contrat.

Comment louer à une entreprise ? devient : Comment louer un logement meublé à une entreprise ?

Il y a des agences immobilières qui se concentrent sur la location de logements aux entreprises. Vous pouvez aussi trouver des sites spécialisés dans ce type de location.
Pour louer à une entreprise, il faut juste avoir un logement conforme aux réglementations en vigueur et fournir les diagnostics requis tels que l’ENRT (État des Risques Naturels et Technologiques) ou le DPE (Diagnostic de Performance Énergétique).

La location meublée avec le bail mobilité devient une option intéressante

Les propriétaires peuvent louer leur logement meublé à des personnes en déplacement pour le travail ou les études.
Depuis l’adoption de la loi ÉLAN en 2018, un nouveau type de contrat de location appelé « bail mobilité » a été instauré. Ce bail est destiné aux locataires qui sont mutés par leur entreprise ou qui suivent une formation professionnelle après le baccalauréat, tels que l’apprentissage, un stage ou encore un service civique. La durée du bail peut aller jusqu’à 10 mois.

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Le bail mobilité : une solution flexible pour les propriétaires et les locataires.

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Garantme : une caution solidaire pour réussir votre investissement locatif

L’achat d’un bien à louer est une option prisée par de nombreux particuliers pour générer un revenu complémentaire, notamment en prévision de la retraite. Cependant, le risque d’impayés et les problèmes qui en découlent peuvent susciter des doutes quant à l’intérêt d’investir dans ce domaine.
Un propriétaire bailleur peut rapidement se retrouver en difficulté financière si les mensualités de son prêt continuent à courir alors que le locataire ne paie plus son loyer. De plus, la procédure d’expulsion peut s’avérer longue avant d’être effective.
D’autre part, certains candidats locataires peuvent avoir un dossier complet mais ne répondent pas aux critères des garanties classiques contre les loyers impayés et n’ont pas de garant. Ce manque peut refroidir les propriétaires ou les mettre en danger. Garantme propose une caution solidaire pour sécuriser les revenus des propriétaires bailleurs tout en facilitant l’accès au logement pour ces locataires.
Grâce à cette solution, étudiants, jeunes actifs, travailleurs indépendants ou expatriés peuvent inspirer suffisamment confiance aux propriétaires bailleurs pour signer un contrat de location. En général, les propriétaires souhaitant bénéficier d’une garantie fiable exigent que le garant potentiel du locataire ait un emploi stable avec des revenus nets trois fois supérieurs au loyer. Le garant traditionnel doit également résider en France et idéalement être membre de la famille du locataire. Cela limite fortement les opportunités pour certains locataires.
La recherche de logement devient ainsi plus longue et complexe car l’évaluation du dossier par l’assurance du propriétaire est souvent la dernière étape. Un refus retarde la signature du bail tant pour le locataire que pour le bailleur.
Une particularité notable de cette caution solidaire est que le locataire peut présenter son dossier à l’assureur avant même d’amorcer ses démarches. Il peut fournir le « certificat » délivré par Garantme lorsqu’il dépose son dossier. De même, le propriétaire peut inviter le candidat à la location à déposer son dossier sur la plateforme de l’assureur. L’examen est rapide et le certificat de garantie peut être obtenu dans la journée.

Découvrez dès maintenant la solution Garantme.

La caution solidaire proposée par Garantme assure une protection des revenus locatifs allant jusqu’à 90 000 euros pour les travailleurs actifs et 36 000 euros pour les étudiants pendant toute la durée du bail. Contrairement à beaucoup d’autres Garanties Loyers Impayés (GLI) disponibles sur le marché, ce contrat n’impose ni période sans couverture ni franchise.

En outre, elle offre une couverture possible aux colocataires et côté coût, elle est gratuite pour le bailleur.
Dans le cas où un locataire cesse de payer son loyer, il est possible pour le propriétaire de faire appel à la caution solidaire qui prendra en charge non seulement les loyers impayés mais aussi toutes dépenses liées au contentieux (frais juridiques…). Le bailleur devra avancer certains frais comme ceux relatifs au commandement de payer émis par un huissier mais ceux-ci lui seront remboursés si jamais une procédure judiciaire doit être entamée faute régularisation du paiement par le locataire.
Ce dernier restera néanmoins redevable des sommes dues mais celles-ci seront remboursées via l’assurance.
Des frais engendrés suite à une procédure administrative liée à l’éviction devront également être réglés par ledit locataire.

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Location : l’électricité de votre logement nécessite-t-elle une mise aux normes ?

Louer un logement avec une installation électrique non conforme est-il possible ?

La loi exige que les logements mis en location respectent des normes de décence, notamment pour assurer la sécurité du locataire. Si l’installation électrique a plus de 15 ans, un diagnostic électricité est obligatoire avant toute location. Ce diagnostic doit être effectué par un professionnel certifié et permet d’évaluer la conformité de l’installation (tableau électrique, mise à la terre, disjoncteurs) ainsi que les risques potentiels en termes de sécurité.
En se basant sur ce rapport, le propriétaire peut décider s’il doit rénover son installation électrique pour garantir la sécurité du locataire ou si le logement peut être loué tel quel. Le diagnostic électricité est valable pendant six ans et représente un coût d’environ cent euros. Il fait partie des documents techniques remis au locataire lors de la signature du bail.

Quelles normes s’appliquent à la rénovation électrique d’une habitation actuellement ?

La norme actuelle pour la réfection électrique d’un logement est la NFC 15-100. Celle-ci s’applique à tous les bâtiments d’habitation en France, qu’il s’agisse de logements collectifs ou de maisons individuelles. La dernière version de cette norme date de 2015 et comprend plusieurs exigences telles que la présence d’une mise à la terre, d’interrupteurs différentiels 30mA, ainsi qu’un nombre minimal d’équipements par pièce. Par exemple, il doit y avoir un certain nombre de points lumineux, prises de courant, une prise RJ45 dans le séjour et chaque chambre, une prise TV dans le séjour et des circuits dédiés pour les appareils électroménagers en cuisine avec un ampérage adapté.

Cette norme définit également une liste d’appareils nécessitant un circuit spécialisé tels que les radiateurs électriques, VMC, électroménager, chaudière, pompe à chaleur ou encore une alarme. En ce qui concerne les salles de bains considérées comme des pièces plus exposées aux risques électriques, il est obligatoire de mettre en place une liaison équipotentielle supplémentaire afin de relier toutes les canalisations, masses et éclairages à la terre.

Comment remplacer un tableau électrique ?

Le tableau électrique doit être facilement accessible et installé près du disjoncteur général s’il ne l’est pas déjà. En général, il se trouve sous le disjoncteur principal. Il ne doit y avoir aucune source de chaleur à proximité immédiate.
La hauteur maximum des composants est fixée par la norme et est plus basse pour les logements adaptés aux personnes à mobilité réduite. Le tableau électrique regroupe tous les circuits électriques de la maison, répartis sur plusieurs rangées où chaque rangée possède un disjoncteur différentiel 30 mA en tête pour protéger les habitants d’une éventuelle fuite de courant.
Chaque rangée est alimentée par ce disjoncteur principal et comporte plusieurs autres disjoncteurs, chacun étant relié à l’appareil ou aux appareils qu’ils protègent avec un ampérage spécifique en fonction du type d’appareil (20 ampères pour les appareils de cuisine tels que four, réfrigérateur ; 10 ampères pour une lampe dans la salle de bain…). Les fils utilisés dépendent de cet ampérage et des appareils connectés. Les disjoncteurs sont identifiés grâce à des schémas clairs représentant l’appareil protégé. Le nombre de rangées dépend de la taille du logement, avec généralement quelques emplacements libres à la fin pour des connexions futures (au moins 6 dans un immeuble collectif, sinon 20%).

Quel est le budget nécessaire pour mettre en conformité l’installation électrique d’un logement ?

Le coût des travaux pour mettre aux normes l’électricité d’un logement dépend de divers éléments tels que la taille du logement, l’état actuel de l’installation et les tarifs des professionnels. En général, cela varie entre 150 et 200 € par mètre carré pour une maison standard, mais les prix peuvent différer d’un électricien à un autre.

Il est possible de réduire les coûts en optant pour une mise en sécurité plutôt qu’une remise aux normes complète. Cela peut diviser le coût par deux ou par trois. Changer uniquement certains éléments comme le tableau électrique ou les disjoncteurs peut également diminuer les dépenses.

Pour les propriétaires occupants, il existe des aides financières de l’ANAH appelées Habiter Mieux ou Habiter Serein, selon leurs revenus. Ces subventions peuvent couvrir jusqu’à la moitié du montant total des travaux (hors taxes), avec un plafond variant selon les ressources : 10 000 € maximum pour les ménages modestes et 25 000 € pour les très modestes.

Les propriétaires bailleurs peuvent aussi bénéficier d’une aide de l’ANAH représentant jusqu’à 35% du coût total des travaux de remise en état électrique dans le cadre du dispositif Loc’Avantages. Cependant, cette subvention est soumise à des conditions telles qu’un plafond sur le loyer et une exigence de performance énergétique minimale après travaux (étiquette D). En respectant ces critères, le bailleur peut obtenir une réduction d’impôt grâce à ce dispositif mis en place en 2022.

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Le groupe de Patrice Pichet a signé l’achat du terrain pour son nouveau siège parisien

Le groupe de Patrice Pichet a acheté un terrain dans le 13e arrondissement de Paris pour construire son nouveau siège, nommé « Le Cercle ». Ce bâtiment de 8 étages abritera des bureaux modulables, un restaurant et une grande surface végétale. Il mettra l’accent sur la durabilité et sera certifié par plusieurs labels environnementaux.
Le projet inclura des espaces innovants comme le coworking, le fablab et l’agriculture urbaine pour créer un lieu de vie dynamique ouvert sur le quartier. Situé stratégiquement près du périphérique et des transports en commun, Le Cercle renforcera l’attrait de la région.
Les travaux commenceront en début d’année prochaine pour une livraison prévue en 2025.

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Investir dans l’immobilier locatif : intérêt et démarches

Qu’est-ce que l’investissement dans la location immobilière ?

Investir dans l’immobilier locatif, c’est acheter un bien pour le louer et ainsi se constituer un patrimoine tout en touchant des loyers et en bénéficiant d’avantages fiscaux.
Le bien peut être neuf ou ancien, comme une maison, un appartement, un parking ou un local professionnel. Il est possible que le bien soit déjà loué à un locataire, assurant ainsi une rentabilité immédiate.

Les bénéfices de l’investissement immobilier locatif

Investir dans l’immobilier locatif peut être avantageux. De plus en plus d’investisseurs choisissent cette option pour diversifier leurs placements et obtenir des bénéfices intéressants. Nous allons voir dans cet article les avantages de l’investissement locatif et pourquoi il est judicieux de le considérer comme une possibilité d’investissement.

Découvrez comment maximiser vos gains avec l’investissement locatif

Investir dans l’immobilier locatif est très populaire. C’est une bonne option si vous voulez un bon retour sur investissement à long terme. En faisant des recherches et en comprenant bien le marché, vous pouvez profiter des avantages de ce type d’investissement.
Le principal avantage de l’immobilier locatif, c’est que vous pouvez gagner beaucoup d’argent. Les prix de l’immobilier augmentent, tout comme les loyers perçus. Vous pouvez aussi récupérer une partie de votre argent en revendant votre bien immobilier plus cher. Il est également possible d’avoir encore plus de gains avec des locations saisonnières ou à court terme.

Profitez des avantages fiscaux de l’investissement dans la location immobilière

Investir dans l’immobilier locatif présente des avantages fiscaux attrayants. Les investisseurs peuvent profiter de réductions d’impôts sur les loyers perçus, les frais notariés et la gestion locative. De plus, cet investissement permet de diminuer le montant d’impôt à payer grâce à des déductions fiscales comme l’amortissement.
Par ailleurs, il offre une protection contre les pertes éventuelles. En souscrivant à une assurance loyer impayé, les investisseurs sont couverts en cas de dommages causés par les locataires ou de vacance locative prolongée. Cela garantit une certaine sécurité financière même s’il est difficile de trouver un locataire pour le bien immobilier.

Découvrez comment optimiser votre investissement locatif pour générer des retours sur investissement importants

Pour optimiser la rentabilité de votre investissement immobilier locatif, il est crucial de bien sélectionner le bien à acquérir. Il est recommandé de privilégier les biens avec des loyers élevés et une forte demande locative. Il faut aussi tenir compte de la valeur de revente du bien ainsi que de son potentiel en location saisonnière ou courte durée. En plus du choix du bien, il est essentiel d’assurer un bon entretien et une gestion rigoureuse.
Pour obtenir des bénéfices significatifs, il est primordial de trouver des locataires fiables. Il convient donc de vérifier leurs antécédents, récolter des références et des garanties. Des mesures doivent être prises pour sécuriser le bien et réduire les risques liés aux éventuels dommages.
En résumé, l’investissement dans l’immobilier locatif offre divers avantages à condition d’étudier attentivement le marché immobilier et choisir judicieusement son acquisition. Cela peut générer des profits intéressants, permettre de profiter d’avantages fiscaux et optimiser l’investissement grâce à diverses stratégies complémentaires. Enfin, il est indispensable de prendre soin d’assurer la sécurité et la pérennité de son investissement.

2. Les désavantages de l’investissement locatif

Investir dans l’immobilier locatif peut rapporter de l’argent, mais il y a aussi des risques à prendre en compte. Certains propriétaires et investisseurs ne se rendent pas toujours compte des conséquences possibles de mauvais choix ou d’investissements mal avisés. Cet article vous aidera à mieux comprendre les dangers financiers, les surprises désagréables liées à l’achat d’un bien immobilier et les problèmes administratifs et fiscaux liés à l’investissement locatif.

Appréhender les dangers financiers associés à l’investissement dans l’immobilier locatif

Investir dans l’immobilier locatif peut rapporter de l’argent, mais il faut être prudent. Il y a des risques financiers à considérer. Par exemple, les loyers impayés ou les locataires qui ne respectent pas leurs engagements sont des problèmes fréquents. De plus, si le marché immobilier baisse, la valeur du bien diminue aussi. Il est important de penser aux dépenses liées à la gestion du logement comme les taxes et les réparations.

Éviter les désagréables surprises lors de l’achat immobilier

Lorsqu’on investit dans l’immobilier, il faut bien réfléchir avant de prendre une décision. Il est essentiel d’étudier le marché immobilier et de s’assurer que le bien choisi répond à nos attentes. Il faut aussi vérifier les contrats et documents liés à l’investissement pour bien comprendre toutes les conditions. Enfin, il est crucial se renseigner sur l’emplacement du bien, le quartier et l’environnement environnant.

Comprendre les défis administratifs et fiscaux de l’investissement locatif

Investir dans l’immobilier locatif peut être complexe sur le plan administratif et fiscal. Il est essentiel de bien connaître les lois et règlements en vigueur, ainsi que ses droits et obligations en tant que propriétaire ou locataire. De même, il convient de comprendre les divers impôts et taxes associés à ce type d’investissement, comment les régler et les déclarer, mais aussi comment en bénéficier fiscalement. En outre, il est primordial d’être informé des différentes modalités de financement disponibles.

Même si l’investissement locatif peut s’avérer lucratif, il comporte des risques et inconvénients qu’il ne faut pas négliger. Avant de se lancer, il est donc crucial de mener une étude approfondie du marché immobilier pour prendre la meilleure décision. Enfin, une bonne connaissance des lois régissant cette pratique ainsi que des taxes afférentes est indispensable pour éviter tout problème éventuel.

3. L’importance de consulter un notaire pour un investissement locatif

Lorsque vous achetez un bien immobilier, le notaire est très important. Il est le seul spécialiste qualifié pour préparer les documents nécessaires à la vente et pour authentifier les contrats. Il est essentiel de bien choisir votre notaire pour gérer votre transaction immobilière.

Le rôle du notaire: explications et missions

Le notaire doit aider et guider les personnes qui investissent dans l’immobilier ou gèrent leur patrimoine. Il vérifie les documents et s’assure que toutes les étapes de la transaction sont garanties. Seul le notaire, en tant que professionnel assermenté, peut certifier la validité des actes liés à une vente immobilière.

Choisir son notaire : les critères à prendre en compte

Pour que votre notaire soit efficace dans la gestion de votre investissement locatif, il est important de tenir compte de certains critères.
– Expertise du notaire
Les notaires ont des spécialités différentes. Il est essentiel de choisir celui qui convient le mieux à votre opération et à votre situation. Vous pouvez obtenir les coordonnées des notaires compétents auprès de la chambre des notaires.
– Proximité géographique et disponibilité
Les notaires peuvent intervenir sur tout le territoire français grâce à la signature électronique. Cependant, il est préférable pour vous d’avoir un contact en face à face avec votre notaire quand nécessaire, sans avoir à faire de longs trajets. Assurez-vous également que le notaire est disponible pour répondre rapidement à vos besoins lors des différentes démarches.

Qui devrait choisir le notaire

Le vendeur peut utiliser son propre notaire pour la transaction, tandis que l’acheteur est conseillé de choisir son propre notaire. Le choix du notaire devrait être basé sur les critères mentionnés précédemment.

Investir dans l’immobilier locatif : avantages et étapes à suivre

Il est nécessaire d’avoir un notaire pour officialiser un achat immobilier. Le notaire doit être neutre et impartial.
Parfois, il peut y avoir deux notaires impliqués dans la même transaction. L’investisseur peut aussi choisir son propre notaire pour être bien conseillé et protéger ses intérêts spécifiques.

Lorsque l’intervention du notaire est obligatoire ou facultative

Investir dans l’immobilier locatif : intérêt et démarches.

L’intervention du notaire n’est pas toujours obligatoire lors de votre transaction, mais elle peut être très utile.
– Recherche et financement de l’investissement:
Dès le début de votre projet, vous pouvez faire appel à votre notaire pour bénéficier de ses conseils et de son expertise en gestion patrimoniale.
– Signature du compromis de vente ou avant contrat:
Même si ce n’est pas obligatoire, il est recommandé d’avoir un notaire à vos côtés pour éviter tout problème au moment de la signature du contrat. Sa présence garantira l’exactitude des informations nécessaires à la transaction.
– Signature de l’acte définitif de la vente:
À cette étape, l’intervention du notaire est indispensable pour rendre la vente immobilière valide. Il établira l’acte authentique qui officialise le transfert de propriété.

En résumé, investir dans l’immobilier locatif comporte des avantages et des inconvénients. Faire appel à un notaire est essentiel pour maximiser les avantages et limiter les risques liés à cet investissement.

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Prix de l’immobilier en baisse : vers le point de rupture ?

La diminution constante des taux pendant 20 ans a entraîné une hausse des prix

Le marché immobilier pourrait-il changer de direction ? Après des années à augmenter, les prix pourraient maintenant baisser.
Les taux d’emprunt ont une forte influence sur les prix de l’immobilier. En 2001, le taux moyen était d’environ 7% pour un prêt sur 20 ans. Vingt ans plus tard, il n’était plus que de 1,03% selon Crédexia et l’Observatoire Crédit Logement / CSA.
La baisse des taux a considérablement augmenté le pouvoir d’achat. Par exemple, en 2001 un ménage pouvait emprunter 221.000 € sur 20 ans (taux de 7%), contre 371.500 € en 2021 (taux de 1,03%). Cela a entraîné une forte demande et une envolée des prix immobiliers dans plusieurs villes.
En 2022, les taux ont commencé à remonter. En octobre, ils avaient doublé pour atteindre 2,06% par an sur 20 ans. Cette diminution réelle de la capacité d’emprunt ne peut pas être ignorée par le marché immobilier.

Un marché immobilier à deux vitesses

Le nombre de biens vendus en France en 2022 a baissé de près de 8%, mais le prix au mètre carré a augmenté de presque 5%. Cependant, cette tendance s’est inversée en fin d’année. Les prix ont commencé à baisser dans certaines grandes villes comme Paris, Lyon et Bordeaux. Bordeaux affiche la plus forte baisse avec -3,1% sur un an. Certaines villes continuent à voir les prix augmenter fortement, tandis que d’autres se stabilisent ou connaissent une baisse significative.

Un mouvement vers les villes de taille moyenne ?

En 2020, après les confinements, beaucoup de gens ont quitté les villes pour s’installer à la campagne. Les prix des maisons avec jardin ont augmenté, surtout en bordure des villes moyennes. Mais cette tendance ralentit maintenant.
Les prix des maisons augmentent moins vite qu’avant (+5,3% en un an, seulement +0,7% le dernier trimestre). Le retour au travail au bureau quelques jours par semaine, l’augmentation du prix des billets de train et des énergies (essence, gaz, électricité) y sont sûrement pour quelque chose. Certains ménages pourraient même revenir vers les villes moyennes pour réduire leurs dépenses.

Vers une baisse des prix de l’immobilier : vers le point de rupture ?

Le marché immobilier est influencé par les taux d’intérêt et l’économie. La hausse des taux pourrait réduire les ventes, mais on ne sait pas si les prix vont baisser. Certains propriétaires préfèrent peut-être attendre pour vendre à perte. Cela pourrait limiter l’offre et maintenir les prix stables. De plus, la construction de logements en France est insuffisante pour répondre à la demande. Certains changements réglementaires peuvent stimuler la demande pour des biens énergétiquement performants, tandis que d’autres facteurs peuvent pousser certains propriétaires à vendre, ce qui pourrait diviser le marché entre biens valorisés et ceux perdant de la valeur.

Des éléments comme l’augmentation de la taxe foncière peuvent également pousser à la vente et impacter les prix immobiliers. Avec tous ces facteurs en jeu (choc énergétique, hausse des taux, régulation climatique, augmentation des impôts fonciers), le marché immobilier risque de se fragmenter.

La Coupe du monde au Qatar affiche des chiffres impressionnants : salaires des joueurs, organisation événementielle, publicités… Une compétition riche en données hors normes.

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La signature électronique est une des technologies qui influencent le plus la décision des acquéreurs

Une étude de Software Advice de janvier 2023 révèle que la signature électronique gagne du terrain dans le secteur immobilier. Environ 60 % des personnes interrogées ont déjà utilisé ce mode pour des documents immobiliers, tel qu’un acte d’achat ou un bail, tandis que seules 8% ont refusé d’y avoir recours.
La signature numérique est devenue très courante pour la plupart des contrats en ligne, et de plus en plus d’entreprises l’utilisent régulièrement pour éviter les délais postaux et le gaspillage de papier. Dans l’immobilier, cette pratique est désormais courante pour la location ainsi que pour les ventes et achats, dans certaines conditions.
Les notaires adoptent également de plus en plus la signature électronique, leur permettant de faire signer à distance certains actes comme les procurations ou les compromis de vente. La législation reconnaît désormais une valeur juridique équivalente à une signature manuscrite aux signatures électroniques qualifiées réalisées selon le règlement européen eIADS applicable depuis 2016.
Pour être valable, une telle signature doit être effectuée par un prestataire agréé « eIADS » au sein de l’Union européenne tel que Yousign et correspondre au niveau requis selon le type d’acte signé : simple, avancée ou qualifiée.

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Baisse du marché immobilier : quels dommages collatéraux ?

– Baisse de 0,2% des prix en un an et ralentissement des ventes

Les prix de l’immobilier ont diminué de 0,2% depuis le début de l’année selon MeilleursAgents. Le volume des ventes pourrait baisser de 10% dans l’ancien et de 5% dans le neuf, d’après Xerfi.
Cette baisse s’explique en grande partie par la hausse des taux de crédit qui a réduit le pouvoir d’achat des ménages. Les conditions d’accès plus strictes imposées par le HCSF ont également eu un impact significatif.
Les grandes villes affichent en moyenne une baisse de 0,7%, à l’exception de Nice et Bordeaux qui résistent. Les communes rurales subissent aussi une diminution des prix après avoir connu une hausse post-Covid due au télétravail.
Les biens avec une mauvaise performance énergétique (étiquette G ou F) sont actuellement en surplus, car ils seront interdits à la location respectivement en 2025 et 2028. Cela pousse les propriétaires à les vendre faute de pouvoir les rénover.
Enfin, à partir de 2034, les biens classés « E » seront également interdits à la location.

Dans le marché de l’immobilier neuf, les réservations chutent tandis que les prix continuent d’augmenter

Malgré ses bonnes performances énergétiques, le marché immobilier neuf est également impacté négativement. D’une part, les acheteurs ont du mal à obtenir des prêts en raison du resserrement des conditions de crédit. D’autre part, les prix, déjà plus élevés que dans l’ancien, continuent d’augmenter en raison de la hausse des coûts de construction (normes strictes, pénuries de matériaux…) et des terrains constructibles toujours chers.
Un autre facteur limitant est le durcissement des critères pour bénéficier de la loi Pinel, ce qui décourage les investissements locatifs. Or, ces investisseurs représentent environ la moitié des ventes.
En un an, le nombre de réservations a chuté d’environ 25%. Selon la Fédération des Promoteurs Immobiliers (FPI), le taux d’annulation a également explosé : 50% des clients se rétractent contre 15% normalement. Les ventes en gros aux bailleurs sociaux et fonds immobiliers sont en baisse sans compenser ces pertes. Face à ces indicateurs négatifs, il est probable que certaines opérations soient annulées et accusent un retard conséquent.

Le marché immobilier démontre une fois de plus son caractère cyclique : 1982, 1992, 2008, 2013… Environ tous les dix ans une baisse survient due à divers facteurs. L’année 2023 semble être propice à une nouvelle phase de repli.
Il faut cependant garder à l’esprit qu’en trente ans, les prix immobiliers ont presque triplé grâce à des taux de crédit divisés par sept ou huit. À moins qu’une inflation significative et durable ne survienne, les prix resteront bien au-dessus de ceux observés dans les années 2000. Cela s’explique notamment par l’évolution des contextes juridiques et économiques ainsi que par l’introduction de nouvelles normes énergétiques perturbantes pour le secteur immobilier.

Quelle est l’impact du crowdfunding immobilier et des SCPI ?

Le ralentissement du marché immobilier ne réjouit personne. Ni les acheteurs incapables d’obtenir un prêt, ni les vendeurs dont la vente est compromise, ni les professionnels liés au secteur.
Les sociétés immobilières sont parmi les premières à s’inquiéter : agences, promoteurs et entreprises de construction. Les sociétés bien établies avec des réserves financières pourront faire face à une crise prolongée, mais les plus fragiles seront davantage pénalisées.
Les plateformes de financement participatif immobilier devront être plus sélectives dans leurs projets. Avec le risque accru de défauts de paiement, elles pourraient envisager de facturer des frais aux investisseurs pour assurer leur rentabilité. Les investisseurs doivent également être vigilants et n’investir que ce qu’ils peuvent se permettre de perdre.
En revanche, les SCPI et foncières pourraient bénéficier à long terme d’une baisse des prix immobiliers en saisissant l’opportunité d’acquérir de nouveaux biens à moindre coût grâce à leur trésorerie importante.
Quelle que soit la situation, il est crucial pour les particuliers de prendre des décisions financières prudentes dans ce contexte incertain.

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Immobilier : le DPE devient un levier de négociation du prix

La performance énergétique : un élément clé dans l’évaluation des biens immobiliers

La loi Climat et Résilience, votée le 22 août 2021, va bientôt impacter les prix de l’immobilier. L’un des aspects clés concerne les Diagnostics de Performances Énergétiques (DPE) qui évaluent la consommation d’énergie des logements. Ces diagnostics vont jouer un rôle important dans la fixation des loyers pour les propriétaires et seront bientôt essentiels pour la mise en location.

L’évaluation des biens immobiliers devient ainsi plus technique avec l’importance croissante du DPE. Pour estimer au mieux le prix d’un bien immobilier, il est recommandé de comparer avec des biens similaires récemment vendus dans le quartier. Il est également possible de faire évaluer son logement par des professionnels gratuitement, sans engagement contractuel obligatoire.

Des logements énergivores à rénover pour pouvoir les louer

Le DPE sert à repérer les logements énergivores. De nouvelles règles peuvent être imposées en fonction du classement obtenu, car l’efficacité énergétique est désormais un critère important.
Depuis le 1er janvier 2023, il est interdit de louer des logements classés « G+ » consommant plus de 450 kilowattheures par mètre carré et par an. Ceux classés G seront également concernés à partir de 2025. Ensuite, ce sera au tour des logements F et E respectivement en 2028 et 2034. Les propriétaires de biens classés F ou G ne peuvent plus augmenter leur loyer pour le moment.
Selon une réglementation européenne datant de mars 2023, certains vendeurs pourraient être obligés de rénover leur bien dans les dix prochaines années s’ils ne veulent pas subir une baisse du prix.
Face à ces nouvelles contraintes, certains propriétaires vendent leurs logements énergivores sans possibilité de rénovation. Pour les acheteurs, la performance énergétique devient un levier important lors des négociations afin de faire baisser le prix en vue des travaux nécessaires. Cette stratégie est renforcée par la diminution du nombre d’acheteurs liée à l’augmentation des taux d’intérêt.

Un diagnostic de performance énergétique parfois remis en question

Un mauvais classement F ou G au DPE peut faire baisser la valeur d’un bien. Aujourd’hui, les prix de l’immobilier reposent en partie sur les diagnostiqueurs.
Cependant, les méthodes de calcul ne font pas consensus et suscitent des critiques parmi les professionnels du bâtiment et de l’immobilier. En 2022, l’UFC – Que Choisir a dénoncé des résultats confus. Après avoir réalisé entre 4 et 5 DPE pour 7 maisons différentes, il est apparu que 6 d’entre elles n’ont pas obtenu la même classe énergétique. Une maison s’est même vu attribuer une classe allant de B à E alors qu’elle est basse consommation !
Cette situation pose problème car le DPE va gagner en importance dans les années à venir. Actuellement, certains professionnels de l’immobilier regrettent le manque de formation chez certains diagnostiqueurs. Il est donc essentiel pour les propriétaires de vérifier que la personne engagée possède bien la certification officielle du gouvernement.

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La solution pour déterminer le vrai rendement locatif de votre investissement immobilier

Déterminer le coût d’achat réel : tenir compte de tous les paramètres

Il n’est pas toujours facile de savoir si un investissement immobilier sera rentable. Pour calculer le rendement, il faut prendre en compte tous les coûts liés à l’achat et à la location du bien. Le premier élément à considérer est le prix d’achat, incluant les frais et taxes. Il faut aussi penser aux éventuels travaux avant la mise en location, aux frais de notaire et d’agence.

En intégrant tous ces coûts, on obtient le prix total d’acquisition. Par exemple, pour un appartement acheté 100 000 € avec des frais d’agence inclus, il faudra ajouter environ 8,7% de frais de notaire ainsi que les dépenses pour la rénovation ou la peinture.

Prix du logement : 100 000 € (frais d’agence inclus)
Frais de notaire : 8 700 €
Frais de peinture (rénovation légère) : 1 500 € TTC
Coût total d’acquisition : 110 200 €.

Déterminer le revenu locatif net

Pour obtenir le vrai rendement de votre investissement immobilier, il est essentiel d’évaluer les loyers réellement perçus, en déduisant les frais associés à la location tels que les frais d’agence et de gestion. Il ne faut pas oublier les éventuelles garanties comme la GLI. En soustrayant ces charges du loyer perçu, vous obtiendrez le revenu net lié à la location du bien. Par exemple : Loyer annuel : 6000 € Frais de mise en location (étalés sur 4 ans) : 125 € par an Frais de gestion : 360 € par an Assurance loyer impayé : 180 € par an Total annuel net : 5335 € charges comprises.

Première évaluation du rendement effectif

Une fois que vous connaissez le prix d’achat et les loyers perçus, vous pouvez estimer un premier taux de rentabilité brute. Il suffit de diviser le montant annuel des loyers par le prix total d’acquisition du bien.
Dans notre exemple :
Prix d’achat total : 110 200 €
Revenu locatif annuel : 5 335 €
Rentabilité brute : 5 335 / 110 200 = 4,84% par an.

Calculer les dépenses effectives

La première étape pour calculer le vrai rendement locatif d’un investissement immobilier ne se limite pas au taux de rentabilité brut. Il faut également prendre en compte les charges supportées par le propriétaire bailleur telles que les charges de copropriété, les impôts fonciers, les intérêts d’emprunt et autres frais liés à la gestion du bien. En ajoutant tous ces éléments, on peut estimer précisément combien coûte réellement la location du logement chaque année au propriétaire. Cela permet d’avoir une vision plus claire et approfondie de la rentabilité effective de l’investissement immobilier.

Déterminer le véritable rendement locatif de votre investissement immobilier

Une fois que vous avez le prix total d’achat, les loyers et les charges, vous pouvez calculer le rendement réel de votre investissement locatif. Pour ce faire, soustrayez les charges annuelles des loyers pour obtenir le revenu net. Divisez ensuite ce montant par le prix d’achat total et multipliez le résultat par 100 pour obtenir la rentabilité annuelle.

Prix d’acquisition total : 110 200 €
Loyer annuel : 5 335 €
Charges annuelles : 1 300 €
Revenu net (loyer – charges) : 4 035 €
Rendement : 4 035 / 110 200 = 3,66% par an

Il est important de noter que ce calcul ne prend pas en compte la fiscalité. Cependant, l’impact sur votre patrimoine peut varier considérablement selon le dispositif fiscal choisi, comme la défiscalisation en loi Pinel, Denormandie ou Malraux.

Enfin, pour déterminer le rendement final de votre investissement immobilier locatif, il faut prendre en compte le prix de revente du bien. Ce montant n’est connu qu’une fois la transaction réalisée. En intégrant ce prix de cession comme un flux positif dans vos calculs, vous obtiendrez ainsi le taux de rendement interne (TRI) global prenant en considération la valorisation du bien au fil des années de détention.

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Le durcissement du marché ravive l’intérêt des particuliers pour les chasseurs immobiliers

Le métier de chasseur immobilier est mis en avant grâce à l’émission « Chasseurs d’appart' ». Les particuliers font de plus en plus appel à ces professionnels pour trouver un logement répondant à leurs critères. Contrairement aux agents immobiliers traditionnels, les chasseurs immobiliers travaillent pour les acheteurs. Ils recherchent des biens correspondant aux besoins de leurs clients et négocient au meilleur prix.
Avec le durcissement du marché immobilier, les particuliers sont plus intéressés par les services des chasseurs immobiliers. En effet, la hausse des taux ralentit le rythme des ventes et donne plus de pouvoir de négociation aux acquéreurs. Cependant, tous les vendeurs ne sont pas prêts à baisser leur prix malgré la situation actuelle.
Un autre aspect important est la valorisation croissante des biens énergétiquement performants, tandis que ceux classés comme passoires énergétiques perdent de leur attrait sauf en cas de forte baisse de prix.
Dans ce contexte évolutif, l’activité des chasseurs immobiliers reste prometteuse et indispensable pour accompagner efficacement les particuliers dans leurs recherches.

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10 villes rentables où investir à moins de 100.000€

La ville d’Angoulême

Angoulême est une ville appréciée par les fans de bandes dessinées. Elle offre un cadre de vie agréable, avec de nombreux petits commerces et une importante communauté étudiante. Desservie par le TGV, elle se trouve à 35 minutes de Bordeaux.

Le prix moyen au mètre carré pour un appartement à Angoulême est d’environ 1720 €, avec un loyer moyen de 10,7 €. Les investisseurs peuvent espérer obtenir un rendement annuel supérieur à 5%, s’ils choisissent bien l’emplacement.

Il est important de noter que ces rendements sont calculés sur la base de 70% des loyers bruts constatés dans chaque ville.

Une ville rentable où investir à moins de 100.000€ : Agen

Avec un peu plus de 100.000 habitants, Agen est considérée comme une ville agréable grâce à son centre historique et aux berges du canal du midi. Sa proximité avec Toulouse et l’arrivée prochaine d’une gare LGV la rendent de plus en plus attractive, car elle sera bientôt à seulement 30 minutes de Bordeaux et de Toulouse. En ce qui concerne les étudiants, il y a des antennes de l’université de Bordeaux dans la région.
Le prix moyen au mètre carré pour un appartement est d’environ 1700 € et le loyer moyen s’élève à 10,4 €, ce qui peut offrir un rendement locatif annuel allant jusqu’à 5 %.

10 villes rentables où investir à moins de 100.000€: Le Mans

Le Mans est une grande ville de l’ouest de la France, bien équipée en universités et avec une économie dynamique. Sa position sur la ligne de TGV entre Paris et Nantes la rend attractive.
Pour acheter un appartement, le prix est d’environ 1900€ par m2. Avec un loyer moyen de 10,6€, on peut espérer un rendement net annuel supérieur à 4,5%.

Troyes: Une ville pleine de charme à découvrir

La ville de l’Aube est dynamique grâce aux écoles d’ingénieurs et à une école de commerce. On y trouve des équipements sportifs et de nombreux commerces. Proche de l’Île-de-France, les prix restent abordables et la rentabilité potentielle est intéressante. Le prix moyen au mètre carré pour un appartement est inférieur à 2000€, avec un loyer brut moyen de 12€ permettant d’atteindre jusqu’à 5% de rentabilité annuelle, voire plus dans les meilleurs quartiers.

Clermont-Ferrand

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Avec environ 150.000 habitants, Clermont Ferrand est la plus grande ville d’Auvergne. Très animée, elle compte environ 35.000 étudiants chaque année grâce à ses nombreuses formations universitaires et écoles de commerce et d’ingénieurs. C’est aussi l’une des principales zones d’emploi de la région Auvergne Rhône-Alpes.
Le prix moyen pour un appartement est en dessous de 2200€ par mètre carré et le loyer tourne autour de 11,50 €/m2 en moyenne. On peut y trouver des studios à moins de 100.000€ offrant une rentabilité potentielle dépassant les 5% par an, à condition qu’ils soient bien situés.
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Nancy: Une ville rentable pour investir à moins de 100.000€

Nancy est une ville agréable connue pour sa place Stanislas. Elle offre de bonnes opportunités d’investissement immobilier grâce à son dynamisme économique. Avec de nombreuses universités et sa proximité avec le Luxembourg, l’Allemagne et la Belgique, elle est au cœur de l’Europe.
En moyenne, le prix des appartements tourne autour de 2470€/m2 à Nancy. Les studios ou petits appartements bien situés peuvent rapporter environ 5% de rendement par an.

Nîmes: La ville aux multiples attraits

Avec ses 150.000 habitants, Nîmes est une ville à taille humaine par rapport à Montpellier. Malgré sa taille modeste, elle attire grâce à sa vie étudiante animée, son patrimoine antique et ses transports efficaces. Dans le Gard, on peut trouver des biens locatifs à moins de 100.000€ avec un rendement annuel potentiel dépassant les 4,5% en centre-ville.

Investir au Havre: une opportunité à ne pas manquer

Le Havre est une ville portuaire ouverte sur la mer, bien desservie par les transports en commun et propice aux déplacements à vélo. Elle offre un accès rapide à la nature et possède une vie étudiante riche avec son université et ses 8 grandes écoles. Pour investir dans un appartement locatif, le prix moyen au mètre carré est d’environ 2000€. Avec un budget inférieur à 100.000€, il est possible de viser un rendement net supérieur à 4,5% dans des emplacements stratégiques.

Investir à moins de 100.000€ à Rouen

Rouen, inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO, est une ville historique avec des quartiers charmants remplis de maisons à colombages. Très appréciée des étudiants (40 000 s’y inscrivent chaque année), elle dispose d’un bon système de santé. Les prix immobiliers tournent autour de 2700€ le mètre carré pour un appartement, et le rendement peut dépasser les 4% annuels.

Mulhouse devient une destination de plus en plus attractive pour les investisseurs immobiliers

Mulhouse est la ville avec le meilleur potentiel de rentabilité dans ce classement. Il faut bien choisir l’emplacement pour profiter pleinement de cette opportunité. En moyenne, il faut compter 1370€ par mètre carré pour acheter un appartement, avec un loyer moyen de 12,3 € par mètre carré. Sur les bons emplacements, il est possible d’atteindre un rendement annuel de 6 à 7%. Mulhouse bénéficie d’une bonne dynamique économique en partie grâce à sa proximité avec la Suisse et possède un bon réseau de transports en commun. Cependant, il faut faire attention aux différences entre les quartiers qui peuvent avoir une influence significative sur le potentiel locatif.

L’importance de sélectionner le bon emplacement et logement

Investir dans l’immobilier peut varier selon plusieurs critères.
– En plus du choix de la ville, il est essentiel de vérifier que l’emplacement du bien au sein du quartier présente un potentiel. Pour le savoir, il faut faire une étude de marché et se rendre régulièrement sur place.
– En général, les biens qui ont le plus de potentiel en termes de location sont ceux situés en centre-ville, à proximité des transports, des commerces ou des attractions qui facilitent la vie des habitants (lieux d’emploi, zone étudiante…).
– Une nouveauté dans l’investissement locatif concerne les diagnostics de performance énergétique (DPE). La loi va progressivement interdire la location des logements énergivores. Les investisseurs qui ne veulent pas entreprendre des travaux doivent se concentrer uniquement sur les catégories A à D.

Sources : MeilleursAgents.com, mai 2023.

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Investir dans l’immobilier professionnel : les avantages des bureaux

Investir dans des bureaux destinés aux professionnels peut être plus rentable que dans les logements locatifs. Les locataires sont généralement stables, ce qui réduit le risque d’impayés grâce au bail 3-6-9 engageant le locataire pour 9 ans. Le choix du locataire se base sur sa solvabilité et la qualité des locaux est essentielle pour répondre aux besoins des entreprises.

Il est crucial de viser des emplacements attractifs et adaptés aux demandes du marché. Les travaux de rénovation peuvent s’avérer coûteux si les bureaux ne sont pas conformes aux normes actuelles en termes d’équipements et d’isolation énergétique.

Il est important de noter que tous les biens ne peuvent pas être loués comme bureaux sans autorisation préalable des autorités locales. Investir dans des parkings peut également être intéressant, avec peu d’entretien, mais il faut choisir un emplacement stratégique en tenant compte des projets urbains à venir.

En conclusion, investir dans l’immobilier professionnel offre divers avantages sous réserve de bien choisir l’emplacement, les locataires et de respecter les normes en vigueur.

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Immobilier : quand les investisseurs misent sur le coworking

Le coworking est une solution flexible et abordable pour les besoins en bureaux, de plus en plus populaire grâce à la crise du covid et l’essor du télétravail. Les espaces de coworking permettent aux travailleurs indépendants de partager un bureau, rompant ainsi leur isolement. Ces lieux offrent un espace de travail partagé et équipé, louable à la carte pour s’adapter aux besoins des utilisateurs.
Au-delà des avantages pratiques, le coworking favorise les échanges professionnels et la création de réseaux entre entrepreneurs. Certains cherchent spécifiquement à y rencontrer de nouveaux clients ou partenaires, ou à développer leurs idées en côtoyant d’autres personnes du même secteur.
Depuis quelques années, le marché du coworking a connu une croissance significative en France. De nombreux acteurs se partagent ce marché lucratif où la demande ne cesse d’augmenter. Plusieurs types d’investisseurs sont présents dans ce secteur : certains détiennent à la fois les murs et le fonds de commerce des espaces de coworking, tandis que d’autres investissent dans ces biens pour diversifier leur portefeuille immobilier.
Les investisseurs immobiliers traditionnels tels que les foncières ou les SCPI voient également dans le coworking une opportunité pour maximiser leur rentabilité en louant ces espaces à des exploitants professionnels qui gèrent ensuite la location des bureaux selon leur politique commerciale.
Selon une étude récente réalisée par Ubiq Data en 2023, le marché du coworking continue sa progression avec près de 3500 sites disponibles en France cette année.

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Réforme de l’immobilier : « les bailleurs particuliers attendent une clarté dans la fiscalité »

Pendant la construction : des intérêts divergents

Le Gouvernement veut développer de nouveaux projets immobiliers tout en préservant les terrains existants. Il met l’accent sur les zones à réaménager (friches, zones industrielles et commerciales mixtes) pour éviter la consommation excessive de terres. Elisabeth Borne soutient le Fonds Friche et continue de vendre des terrains publics pour permettre la création de nouveaux programmes. Elle souhaite favoriser les méthodes de construction efficaces comme la construction préfabriquée. Les propriétaires bailleurs attendent des emplacements de meilleure qualité pour ces projets, plus proches des centres-villes, avec des coûts de construction raisonnables, contrairement aux projets lancés ces cinq dernières années.

Lors de l’achat : les investisseurs impactés par l’évolution incertaine de la fiscalité

Le marché immobilier est divisé entre le neuf et l’ancien, avec 20 % des transactions pour le neuf et 80 % pour l’ancien. Le gouvernement prend des mesures pour aider à vendre les logements neufs invendus en impliquant la CDC et Action Logement. Cependant, les investisseurs sont moins intéressés par les programmes neufs sans avantages fiscaux. Dans l’ancien, les difficultés d’accès au crédit et le coût croissant freinent les acquisitions. La fiscalité instable décourage de nombreux investisseurs, bloquant ainsi le marché immobilier. Une correction des prix pourrait être bénéfique si elle s’accompagne d’une stabilité fiscale.

Lors de la mise en location : l’augmentation du nombre de villes avec des loyers plafonnés

Les plans d’Olivier Klein visent à étendre les zones où la demande de logement est forte et à introduire des nouveautés concernant les contrats de location.
Le ministre du logement souhaite élargir ces zones vers de nouveaux endroits. Cela signifie que les propriétaires privés verront davantage de villes et régions où les loyers sont plafonnés et encadrés. La réduction du préavis avant de quitter un logement n’aura pas d’impact significatif, mais la taxe sur les logements vacants, gérée par les autorités locales, poussera les investisseurs à se concentrer sur certaines communes plus attrayantes pour eux. Si ces mesures ne s’appliquent qu’aux locations traditionnelles, elles risquent d’être aussi inefficaces que celles antérieures (telles que le diagnostic de performance énergétique ou le plafonnement) et pourraient inciter davantage de bailleurs à opter pour la location saisonnière qui manque encore d’un cadre juridique clair. Les centres-villes continueront donc de souffrir du manque d’offres locatives adaptées tant que le législateur n’interviendra pas sur la location saisonnière.
En ce qui concerne des concepts comme le Bail Réel Solidaire ou le Locatif Intermédiaire réservés aux grands bailleurs, on constate que le Bail Solidaire, bien que séduisant, a du mal à décoller.
Du côté des innovations, l’extension des bénéficiaires potentiels de la garantie Visale est une bonne nouvelle pour les propriétaires privés. En effet, cette garantie leur assure un paiement sûr des loyers et facilite ainsi l’accueil de profils plus fragiles.

Lors de la déclaration fiscale annuelle : un doute persistant demeure toujours

Les bailleurs particuliers attendent une clarté dans la fiscalité immobilière. La fin de l’avantage fiscal Pinel et les ajustements du Prêt à Taux Zéro sont notables, mais le report de la question cruciale sur le cadre fiscal des revenus locatifs crée de l’incertitude. Les bailleurs particuliers, qui logent un quart des foyers en France, se retrouvent bloqués par ce manque de lisibilité. L’attente d’une cohérence entre les locations vides et meublées est légitime, mais le report des décisions risque de freiner durablement les investissements. Pour assurer un environnement fiscal équitable et stable, il est essentiel de clarifier dès que possible les règles concernant les revenus locatifs et les plus-values immobilières. Sans cela, chacun cherchera à maximiser ses gains à court terme au détriment d’une vision plus pérenne pour son patrimoine immobilier.

À l’étape de la rénovation énergétique : en attente de simplifications

Le CNR se concentre sur la rénovation énergétique, en soutenant la transition vers des emplois durables. Il propose le « Prêt Avance Rénovation » pour aider au financement des travaux. Les aides seront simplifiées pour atteindre 200 000 rénovations d’ici 2024. Les bailleurs particuliers attendent-ils à juste titre une simplification fiscale ?

Lors de la revente : quel est le régime de la plus-value ?

Les bailleurs particuliers attendent avec impatience la clarté fiscale avant de savoir quelle taxe ils paieront lors de la revente d’un bien immobilier. Les investisseurs espèrent que le projet de loi de finances 2023 clarifiera la situation, notamment en ce qui concerne les plus-values et les transmissions. Actuellement, la fiscalité des plus-values et des loyers dépend du type de location (nue ou meublée) et du mode de détention (en direct ou via une société), ce qui crée une complexité réservée aux experts comptables.

Par ailleurs, Elisabeth Borne souligne l’importance d’une meilleure utilisation des données sur le logement pour établir un pacte fiscal durable et éthique. En se basant sur les données d’Etalab, du CSTB, des Notaires et de Qlower, il est possible de créer un cadre fiscal stable après cette refonte, essentielle à la planification à long terme dans le secteur immobilier.

Le Conseil National de la Refondation (CNR) œuvre à simplifier l’accès au logement pour tous les Français à travers quatre principaux objectifs : favoriser l’accession à la propriété et à la location, soutenir la production et rénovation des logements sociaux, relancer la construction et intensifier la rénovation énergétique du parc privé.

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Pourquoi Dubaï attire les investisseurs immobiliers

Dubaï attire de nombreux investisseurs immobiliers pour diverses raisons. La ville est devenue une destination incontournable en raison de son développement rapide et spectaculaire, mais aussi grâce à son économie prospère et à son marché du travail dynamique. De plus, Dubaï offre un environnement favorable aux affaires avec des avantages fiscaux attrayants pour les investisseurs étrangers. La sécurité, la stabilité politique et les perspectives de croissance continue renforcent l’attrait de la ville.

Les médias et les réseaux sociaux véhiculent une image positive de Dubaï, mettant en avant ses paysages impressionnants mêlant architecture moderne et nature luxuriante. L’immobilier y connaît un essor remarquable depuis quelques années, notamment dans le secteur locatif qui attire un grand nombre d’expatriés européens.

L’industrie touristique en plein essor contribue également à rendre Dubaï attractif pour les investissements immobiliers, notamment dans le domaine hôtelier. La diversification de l’économie locale a ouvert de nouvelles opportunités d’investissement dans des secteurs variés tels que la santé, l’éducation et les services.

Cependant, avant d’investir à Dubaï, il est crucial de bien se renseigner sur le marché immobilier local et sur les règles en vigueur concernant la propriété. Le choix de l’emplacement et du type de bien immobilier revêt une importance particulière compte tenu de la diversité des offres disponibles. Les investisseurs français peuvent également rencontrer des difficultés liées aux contrats rédigés dans une langue étrangère ; il est donc conseillé de se faire accompagner par des professionnels francophones implantés localement pour garantir un investissement réussi à Dubaï.

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Que se passe-t-il sur le marché immobilier au Québec ?

La hausse des taux imposée par la Banque Royale du Canada en 2022 a eu un impact sur le marché immobilier au Québec. Les taux sont passés de près de zéro à 4,25% en un an, ce qui a bloqué le marché et compliqué la recherche des meilleurs taux hypothécaires.

En janvier 2023, le nombre de biens vendus au Québec a chuté de manière significative. En mai, les ventes ont diminué de 25,7% par rapport à l’année précédente selon les statistiques gouvernementales. À Montréal, les ventes ont baissé de 8%, avec une chute impressionnante de 90% du nombre de transactions sur l’île depuis janvier 2022 d’après une étude.

Les prix des maisons avaient fortement augmenté ces dernières années, atteignant plus de 815.000 dollars en moyenne en 2022 (en hausse de plus de 20% en un an et près de 50% depuis 2020). Ils ont ensuite chuté pour le troisième trimestre consécutif (-15%), restant toutefois supérieurs aux niveaux pré-pandémie. Certains analystes estiment que les prix pourraient baisser jusqu’à environ -9% cette année avant une reprise prévue en 2024 (+2%) et en 2025 (+4%).

Le marché immobilier semble se rétablir avec l’arrivée d’étrangers s’installant au Québec et la pénurie persistante de logements. Dans certaines régions comme Québec, l’équilibre entre offre et demande revient progressivement.

Cependant, le nombre de prêts hypothécaires est en baisse avec une diminution notable du volume au premier trimestre 2023 par rapport à l’an dernier (-40%). Au Québec, contracter un prêt hypothécaire est courant pour acquérir un bien immobilier. Il implique généralement un apport initial minimum (10 à 20%) ainsi que des preuves concernant la solvabilité et la capacité à rembourser. Un apport plus élevé augmente les chances d’obtenir le prêt. En cas d’apport inférieur à 20%, une assurance devra être souscrite auprès d’un organisme spécialisé tel que la SCHL ou Sagen Moyennant paiement d’une prime supplémentaire.

Une fois ces conditions remplies, les emprunteurs qualifiés peuvent obtenir leur financement pour réaliser leur achat immobilier.

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Piscine naturelle : prix, installation, problèmes

Les bénéfices pour l’environnement

Une piscine naturelle fonctionne avec un système de lagunage. Elle est enterrée et se divise en deux parties : la zone de baignade et la zone de filtration biologique avec des plantes et minéraux. Contrairement à une piscine traditionnelle traitée chimiquement, la piscine naturelle crée un écosystème pour purifier l’eau. Des plantes et micro-organismes présents dans le bassin éliminent les impuretés. La conception peut être originale avec des plantes, du sable, des rochers ou des cascades. L’aspect d’une piscine biologique diffère considérablement d’une piscine classique par sa forme, la couleur de l’eau et la végétation autour du bassin. Le résultat peut être très esthétique et s’intégrer parfaitement dans son environnement, ressemblant à un étang artificiel ou à un petit lagon selon les préférences.

Certains bénéfices pour l’environnement et une eau plus saine

La piscine naturelle fonctionne grâce à la filtration de l’eau entre le bassin et la zone de régénération. Cela permet d’avoir une eau plus saine sans produits chimiques, ce qui est meilleur pour l’environnement. Ces piscines créent un écosystème naturel, favorisant la biodiversité. Elles peuvent aussi aider à économiser de l’eau car elles n’ont pas besoin d’être vidangées en hiver. De plus, beaucoup les trouvent agréables car elles ne sont pas irritantes pour la peau et les yeux comme les piscines traditionnelles.

Les piscines naturelles offrent des avantages fiscaux, étant exemptées de taxe d’habitation et taxe foncière contrairement aux piscines classiques. Il est important de spécifier qu’il s’agit d’une piscine naturelle lors du dépôt du permis de construire pour bénéficier de ces avantages. Même si ce n’est pas obligatoire par la loi, il est recommandé d’installer un dispositif anti-noyade, surtout en présence d’enfants.

Un coût plus élevé de 20 à 25% par rapport à une piscine traditionnelle

La construction d’une piscine naturelle diffère de celle d’une piscine traditionnelle. Il y a plus de choix pour les particuliers, que ce soit pour le bassin, les matériaux ou les plantes utilisées. Par contre, une piscine naturelle nécessite plus d’espace à cause de la zone de filtration, ce qui peut la rendre 20 à 25% plus chère qu’une piscine classique de taille similaire. Environ 35 000 euros sont nécessaires pour une installation sur une surface d’environ 100m2. Le terrassement peut coûter plusieurs centaines d’euros selon la taille du bassin. Le coût total varie entre 25 000 et 40 000 euros en fonction du design et des matériaux choisis. Concernant les plantes, prévoyez quelques centaines d’euros supplémentaires pour l’écosystème. Certains bricoleurs peuvent se lancer dans l’autoconstruction pour réduire les coûts mais la création de la zone de filtration demande des connaissances spécifiques. Une fois installée, comptez entre 400 et 600 euros par an pour l’entretien des plantes et de l’eau, ainsi que des rajouts réguliers d’eau due à l’évaporation naturelle comme dans une piscine traditionnelle.

L’entretien d’une piscine naturelle : une priorité absolue

La zone de régénération d’une piscine naturelle est délicate et demande un entretien constant. Il faut surveiller régulièrement la qualité de l’eau (phosphate, nitrate, pH…) et agir rapidement en cas de déséquilibre. Les plantes, la faune et les micro-organismes travaillent ensemble pour maintenir l’équilibre de l’écosystème aquatique. Il est essentiel d’inspecter fréquemment l’eau pour garantir sa propreté. Le nettoyage du bassin et du système de filtration est crucial : utiliser un robot aspirateur, brosser les parois et enlever les impuretés au fond sont des étapes importantes. Ajouter une filtration mécanique en complément peut être nécessaire malgré certaines réticences, car cela assure la durabilité de la piscine naturelle. L’entretien des plantes est primordial car elles contribuent activement à la purification de l’eau. La mise en place d’un tel écosystème prend du temps, il faut donc s’armer de patience avant de pouvoir pleinement profiter de sa baignade dans une eau propre et saine.

Les défis et soucis des piscines naturelles

Une piscine naturelle peut sembler attrayante, mais peut vite tourner au cauchemar. Outre les coûts et l’entretien nécessaires, il faut veiller à maintenir un équilibre délicat. Un problème fréquent est la prolifération d’algues qui rendent l’eau impropre à la baignade, appelé eutrophisation. Cela se produit quand le bassin accumule trop de débris organiques, réduisant l’oxygène et empêchant la filtration par les organismes présents. Les bactéries peuvent alors proliférer, posant des risques pour la santé des baigneurs. L’eutrophisation survient souvent en été lorsque l’eau est trop chaude. Choisir un endroit ombragé dans le jardin pour installer sa piscine naturelle s’avère crucial pour éviter ce phénomène.

Il est également essentiel de maintenir une bonne propreté du bassin et de contrôler régulièrement les niveaux de nitrate et de phosphate dans l’eau afin d’éviter ces problèmes d’eutrophisation.

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Comment assurer sa location saisonnière ?

Les propriétaires peuvent assurer leur location saisonnière en choisissant une assurance habitation complète. Celle-ci protège le logement et les tiers des risques potentiels.

Avec l’essor de AirBnB et d’autres plateformes, de nombreux propriétaires mettent en location leur résidence principale ou secondaire pour les vacances.

Il est important de se rappeler qu’il n’y a pas d’obligation légale d’assurance pour les locations saisonnières. Cependant, louer sans assurance signifie que tous les frais en cas de dommage seront à la charge du propriétaire.

Il est recommandé d’avoir une assurance adaptée, car les dommages causés aux tiers peuvent aussi revenir au propriétaire. Parfois, il peut demander au locataire de souscrire à une garantie supplémentaire, mais cela ne couvrira pas tous les types de dommages.

La location saisonnière peut être incluse dans un contrat multirisque habitation déjà souscrit par le propriétaire.

Pour trouver une assurance adaptée à la location saisonnière, il est conseillé de comparer différentes offres sur Internet ou consulter son assureur actuel pour ajuster sa couverture si nécessaire.

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Achat immobilier : comment boucler son budget pour acheter

Devenir propriétaire est un rêve pour beaucoup de gens. Cela permet d’avoir un logement sûr et de commencer à se constituer un patrimoine. Que ce soit pour acheter sa maison principale ou investir dans l’immobilier, la première étape est de connaître son budget disponible. Cela aide à cibler les types de biens envisageables (appartement, maison, neuf, à rénover…) et les zones géographiques.La capacité d’achat dépend principalement de deux éléments : l’apport personnel et la capacité d’emprunt. Cette dernière dépend des revenus mensuels, du taux d’endettement actuel et du taux des prêts immobiliers.En effectuant une simulation de capacité d’emprunt immobilier, on peut évaluer son pouvoir d’achat en matière de logement. Ce calcul permet de fixer un budget comme point de départ pour les recherches concrètes.La capacité d’emprunt prend en compte les revenus mensuels du foyer, le taux d’endettement actuel réglementé par le HCSF (35% maximum) et la durée du remboursement plafonnée à 25 ans. Pour un projet locatif, les futurs loyers entrent également en jeu.Certaines aides financières comme le prêt à taux zéro (PTZ) peuvent augmenter la capacité d’emprunt en offrant des conditions avantageuses.Des différences existent entre les banques concernant leurs offres de crédit immobilier. Elles doivent respecter le taux légal maximal mais restent libres entre leur propre taux et ce plafond légal.Il est recommandé aujourd’hui aux particuliers de comparer les offres des différentes banques pour trouver la meilleure proposition possible grâce notamment aux courtiers en prêts immobiliers qui ont une vision globale du marché financier.

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Patrimoine immobilier : dans quels biens investir ?

L’immobilier est un bon moyen de constituer un patrimoine. Mais il faut bien choisir le type de bien dans lequel investir pour réussir. Que ce soit un appartement en ville ou une maison à la campagne, chaque option a ses avantages et inconvénients. Voici quelques critères à considérer pour faire le bon choix.

Explorer divers types d’investissements immobiliers

Investir dans l’immobilier peut se faire de différentes manières. On peut acheter des biens résidentiels, comme des maisons ou des appartements, pour percevoir des loyers et espérer une hausse de la valeur à long terme. L’immobilier commercial est une autre option avec des locaux commerciaux qui offrent généralement plus de stabilité grâce à des contrats de location plus longs. Les fonds d’investissement immobilier, appelés REIT, permettent d’investir de manière diversifiée sans gérer directement les propriétés.

Le LMNP (Loueur Meublé Non Professionnel) consiste à acheter, meubler et louer un bien immobilier pour bénéficier d’avantages fiscaux et de revenus réguliers. L’immobilier industriel, tel que les entrepôts ou les usines, peut aussi être rentable malgré son image moins attrayante. Enfin, l’immobilier à usage spécial comme les hôtels ou les écoles offre des opportunités uniques mais comporte également ses propres risques et défis.

Prendre en considération l’emplacement d’un bien immobilier avant d’investir

Investir dans l’immobilier, c’est important de choisir le bon emplacement. La proximité des magasins, écoles, hôpitaux et transports en commun est un atout pour attirer les locataires ou les acheteurs potentiels. Il faut aussi regarder si la zone a un potentiel de croissance grâce à des projets d’aménagement urbain par exemple. Vivre dans un quartier calme et sûr est préférable à une zone bruyante ou avec beaucoup de criminalité. Les espaces verts à proximité sont généralement appréciés. Il faut étudier le marché immobilier local pour connaître les prix, le taux de logements vacants et la demande en location. Certains biens peuvent valoir plus cher s’ils ont une belle vue ou s’ils sont situés dans un quartier prisé. Enfin, il faut prendre en compte les risques naturels comme les inondations ou les tremblements de terre qui peuvent impacter la valeur d’un bien immobilier.

Étudier les marchés de la location

Avant d’investir dans l’immobilier, il est crucial d’étudier le marché pour évaluer la rentabilité et les risques. Il faut se pencher sur le taux d’occupation des logements dans la zone visée. Un taux élevé signifie une forte demande et facilite la location, tandis qu’un taux faible peut rendre la location plus difficile en raison de la concurrence.
Il est aussi important de regarder les loyers pratiqués pour estimer les revenus locatifs potentiels et calculer le rendement brut. Les conditions économiques locales, comme une économie en croissance avec peu de chômage et des salaires en hausse, favorisent également la demande locative.
L’état du parc immobilier local doit être pris en compte : un parc vieillissant offre des possibilités de rénovation, alors qu’un parc neuf attire des locataires prêts à payer des loyers plus élevés. Enfin, il faut considérer la dynamique démographique : une population croissante soutient la demande locative, tandis qu’une population en déclin peut réduire cette demande.

Comment dénicher un logement qui correspond à ses besoins ?

Il est important de bien choisir en tenant compte de plusieurs critères. Le type de bien (maison, appartement, local commercial…) doit correspondre à vos besoins et objectifs. Définissez un budget réaliste incluant le prix d’achat et les coûts associés. L’état du bien est crucial : neuf ou en bon état pour moins de travaux, à rénover pour une plus-value potentielle. La facilité de gestion est aussi importante, surtout si vous ne souhaitez pas vous impliquer au quotidien : optez pour un bien proche ou confié à une agence immobilière.

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Investir : si on achetait une forêt ?

Plus de 30% du territoire métropolitain est recouvert de forêts, qui absorbent chaque année environ 15% des émissions de CO2 du pays. La plupart appartiennent à des particuliers ou des entreprises privées. Sur le plan économique, la valeur des forêts a augmenté constamment ces vingt dernières années. Les échanges et les prix à l’hectare ont progressé régulièrement selon les données des SAFER (Sociétés d’Aménagement Foncier et d’Établissement Rural). En 2022, les prix étaient en hausse de 40% par rapport à ceux de 2010 et le nombre de transactions a augmenté de 53%. Les rendements sur le long terme semblent attractifs pour attirer les investisseurs : particuliers, entreprises et structures financières.

L’achat d’une forêt reste une forme d’investissement verte mais spécifique. Même si le rendement est resté stable pendant plus de dix ans, il n’a pas dépassé 2 à 3 % par an. Certains considèrent cela comme équivalent à un bon livret aujourd’hui avec en plus un risque supplémentaire. Cependant, il ne faut pas négliger les impacts du changement climatique, les fluctuations du marché du bois et la fragilité des forêts face aux incendies.

L’évaluation financière d’une propriété forestière peut se faire en calculant le prix de la parcelle ou en estimant la valeur d’exploitation et celle du bois. Il existe différentes manières pour investir dans une forêt : acheter directement une parcelle avec possibilité d’avantages fiscaux ou opter pour un groupement forestier (GFF) ou une société d’épargne forestière qui permettent également des réductions fiscales mais comportent aussi des risques comme la perte en capital.

Le crowdfunding peut aussi être une option pour investir dans des projets forestiers via des plateformes spécialisées telles que Lendosphère. Par exemple, la société « 123 Actif Forestier » propose aux particuliers de devenir actionnaires pour investir dans plusieurs hectares de forêts avec potentiellement une réduction d’impôts.
Il est essentiel que tout type d’investissement dans ce domaine soit basé sur une conviction solide car ils sont peu liquides, nécessitant une vision à très long terme intégrée dans une stratégie globale de diversification.

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Immobilier locatif : « Les perspectives restent excellentes malgré la hausse des taux »

Les loyers devraient augmenter en raison de l’inflation et de la hausse des prix.
La réglementation sur la performance énergétique restreint l’offre locative.
L’accès à la propriété est plus difficile, ce qui favorise la demande locative.
D’autres facteurs comme l’augmentation de la population stimulent également la demande locative.
Cependant, les conditions d’emprunt strictes ont un impact sur les prix immobiliers.
Certains propriétaires seront contraints de vendre en raison des rénovations nécessaires, ce qui pourrait faire baisser les prix.
Globalement, 2023 semble être une bonne année pour investir dans la location immobilière.

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Les prix de l’immobilier résistent, sauf en Ile de France

Les ventes diminuent, mais les prix restent stables

Les prix de l’immobilier résistent dans toute la France, à l’exception de l’Ile-de-France où une baisse significative est observée. Malgré des ajustements brutaux, les prix ont globalement baissé de 0,3% sur un an. Cependant, cette diminution n’est pas aussi forte que prévu, sauf en région parisienne où elle atteint -3,5%. Cette baisse ne compense pas encore la hausse récente des taux et l’augmentation importante des prix ces dernières années (+22,3% sur cinq ans). Le marché immobilier est actuellement en attente : le nombre de ventes a chuté de près de 18% en France et presque 20% en Ile-de-France. Les vendeurs hésitent à baisser leurs prix tandis que les acheteurs peinent à obtenir un financement. Si cette tendance se maintient, on pourrait observer une accélération de la baisse des prix prochainement malgré un pic probablement atteint au niveau des taux d’intérêt.
Les départements et régions d’Outre-mer ainsi que les stations de ski affichent quant à eux une hausse significative des prix immobiliers (respectivement +5,2%, +4,1% pour les stations de ski et +2,1% pour les stations balnéaires au niveau des appartements).

L’Ile de France flanche, la Côte d’Azur décolle

Les prix des appartements ont baissé dans plusieurs villes comme Lyon, Paris, Limoges, Avignon, Bordeaux et certaines banlieues de Paris. En revanche, des villes telles que Antibes, Fréjus, Perpignan et Nice sur la côte méditerranéenne ainsi que Aix-les-Bains, Niort et Reims affichent une hausse significative.

Les loyers en hausse renforcent l’attrait de la location

Les investisseurs en location doivent tenir compte de l’évolution des prix par rapport aux loyers. La plupart des villes voient leurs loyers augmenter, ce qui améliore le rendement locatif. Cependant, quelques villes comme Bordeaux et Reims affichent une baisse. Les rendements bruts potentiels varient autour de 4,8%, mais certaines villes offrent jusqu’à 9,8% à Mulhouse et 8,3% à Saint-Etienne. Il est important de choisir un logement adapté aux locataires potentiels en termes d’emplacement et de disposition pour éviter les mauvaises surprises.

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Réseaux sociaux et immobilier font-ils bon ménage ?

Le SMO (Social Media Optimization) vise à améliorer votre visibilité en utilisant les réseaux sociaux. Il permet d’optimiser le référencement naturel de votre site web et de renforcer votre expertise. En étant présent sur les réseaux sociaux, vous pouvez bénéficier de plusieurs avantages : obtenir des backlinks pour améliorer votre positionnement, optimiser votre SEO pour attirer plus de prospects, mettre en valeur vos contenus et annonces, augmenter le trafic sur votre site, acquérir de nouveaux clients potentiels et gérer votre e-réputation. Les réseaux sociaux sont essentiels pour développer une communauté active autour de votre entreprise immobilière et rester compétitif sur internet. Ne pas y être présent peut laisser vos concurrents prendre l’avantage.

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Immobilier : les prix ont chuté et les loyers augmenté en un an

Des métropoles en baisse significative, des villes moyennes en hausse marquée

Les prix de l’immobilier ont baissé dans certaines villes comme Lyon (-6,80%) et Paris (-5,30%), mais augmenté à Nice (+4,20%), Reims (+4,50%) et Perpignan (+4,70%).

Les loyers ne cessent d’augmenter

Les prix d’achat baissent tandis que les loyers augmentent. Cela s’explique par des conditions de crédit défavorables qui poussent de plus en plus de gens à louer plutôt qu’à acheter. La demande pour la location est en hausse, mais l’offre ne suit pas. Dans 9 des 10 plus grandes villes françaises, les loyers au mètre carré ont augmenté en un an (Paris : +1,70%, Lyon : +2,40%, Nice : +4,50%). Seule Bordeaux a connu une légère baisse (-0,50%). Saint-Étienne affiche la plus forte hausse avec +7,1% en un an (loyer moyen de 9€/m²), suivie par Brest et Le Mans avec des hausses respectives de 5,5% et 5,6% sur les derniers mois.

Le rendement brut potentiel explose dans certaines villes

Saint-Etienne offre le meilleur rendement locatif brut avec 8,3% par an. Ensuite viennent Le Havre (5,9%), Grenoble, Nîmes et Clermont-Ferrand (5,7%). Malgré des prix élevés au mètre carré, certaines villes du top 10 offrent toujours des rendements attrayants. À titre d’exemple, Marseille affiche un potentiel de 5,2% et Toulouse de 4,3%. Ces chiffres sont indicatifs et ne garantissent pas la rentabilité.

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Prix de l’immobilier : Nice continue de flamber

En 2023, les prix de l’immobilier à Nice ont augmenté alors qu’ils baissaient ailleurs en France. Le prix moyen au m² des appartements a grimpé de 4,20% sur un an pour atteindre près de 5000 €. Sur les trois derniers mois, la hausse a ralenti à 0,40%. Par exemple, une résidence de 70m² est passée de 335.000€ à près de 350.000 € en un an seulement, montrant le dynamisme du marché niçois. Les loyers ont également augmenté significativement à 16,9€ le m² (une hausse de 4,50% sur l’année). Cette tendance s’explique en partie par la hausse des taux d’emprunt qui pousse certaines personnes à rester locataires plutôt que d’acheter. Pour les investisseurs, cette progression offre un rendement brut moyen actuel de 4,10%, ce qui rend l’investissement immobilier à Nice relativement attractif.

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Paris : les prix de l’immobilier ont baissé de 5,3% en un an

Les prix de l’immobilier à Paris ont baissé de 5,3% en un an. Le coût moyen au mètre carré reste au-dessus de 10 000 euros, mais la tendance à la baisse se poursuit. La demande diminue et les acheteurs ont plus de pouvoir pour négocier. Les loyers ont augmenté d’environ 1,7%, atteignant 27,6 € par mètre carré. Cette hausse est due en partie à l’augmentation des taux d’emprunt, ce qui pousse certains ménages vers la location plutôt que l’achat. Paris perd peu à peu de son attractivité, ce qui pourrait inciter ses habitants à chercher ailleurs pour acheter leur logement. Pour les investisseurs, les rendements locatifs bruts potentiels sont estimés à 3,3%, légèrement plus élevés qu’avant. Le marché immobilier semble regagner de l’intérêt pour ceux voulant investir dans la location.

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Crédit immobilier : baisse des taux attendue en 2024

Depuis fin 2023, les taux d’intérêt ont arrêté de monter. C’est une bonne nouvelle pour l’immobilier. Après s’être stabilisés à l’automne, on a observé des baisses légères dès décembre, ce qui écarte le risque d’un taux de 5% par an. Caroline Arnould, directrice générale de CAFPI, souligne que la fin de la hausse des taux devrait relancer le marché en 2024. Certains experts prévoient une baisse continue des taux cette année, se stabilisant autour de 3,50% par an. Ces taux resteront plus élevés que le niveau exceptionnel de 1% observé récemment.

Les acheteurs pourront bientôt profiter d’une concurrence accrue entre les banques sur le marché du crédit immobilier. La BCE ayant mis fin à l’augmentation des taux en octobre dernier et envisageant une inflation à 2% dès 2025 devrait contribuer à la baisse des taux.

Malgré quelques ajustements techniques, les normes strictes du Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF) continueront probablement d’influencer le marché du crédit immobilier. Seuls 6% des ménages surendettés ont un prêt immobilier en cours selon la Banque de France.

Les primo-accédants ont été impactés par la hausse des taux : leur apport personnel moyen a augmenté mais le montant moyen emprunté a diminué.
Les secundo-accédants ont également réduit leurs emprunts malgré une augmentation de leur apport personnel.
Enfin, les investisseurs immobiliers voient aussi leurs emprunts baisser légèrement avec un apport moyen en hausse.

La conjoncture actuelle pèse sur un marché immobilier morose et les règles strictes du HCSF compliquent davantage l’accès au crédit pour certains acheteurs potentiels.

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Immobilier : Paris est repassé sous les 10.000 € / m2

Les prix de l’immobilier à Paris ont baissé, passant sous les 10 000 euros le mètre carré. En janvier 2024, le prix moyen d’un appartement se situe à 9 966 euros le mètre carré, soit une diminution de 2,10% en trois mois. Sur un an, la baisse atteint -5,7%, et depuis septembre 2020, elle est de 9%. Par exemple, un appartement de 50 mètres carrés a vu sa valeur chuter de 30.000 euros en un an.

À Paris, la chute des prix est plus rapide que dans le reste de l’Île-de-France. Les grandes villes comme Lyon (-6,3%), Nantes (-5,7%), Bordeaux (-5,3%) et Strasbourg (-4,8%) connaissent également une baisse des prix.

En revanche, sur le marché locatif à Paris, les loyers augmentent avec une moyenne de 27,6 € par mètre carré (+1,7% sur un an). Cette hausse s’explique en partie par l’augmentation des taux d’emprunt qui incitent les ménages à rester locataires plutôt qu’à acheter. De plus en plus rare sur le marché locatif crée une forte demande où certains agents immobiliers ne diffusent même pas les offres.

D’après les données du baromètre FNAIM et Clameur ,le rendement brut théorique à Paris est actuellement fixé à environ 3.3%.

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Prix immobiliers : baisse des grandes villes et stabilisation des villes moyennes

Le marché immobilier présente des variations importantes en ce mois de janvier. Les prix restent globalement stables sur l’ensemble du territoire, mais cette moyenne cache des écarts importants selon les régions et les villes. Les grandes villes continuent généralement de voir leurs prix baisser significativement, comme à Paris, Lyon, Nantes et Bordeaux. Certaines villes de banlieue parisienne sont également touchées par une chute des prix. En revanche, d’autres zones telles que la Côte d’Azur connaissent toujours une forte croissance immobilière.

Les villes moyennes, les périphéries et les zones rurales se stabilisent après une période de baisse plus marquée. En ce qui concerne les loyers, on observe une tendance haussière dans la plupart des régions françaises. La demande locative augmente au détriment des achats immobiliers en raison de la hausse des taux de crédit.

Cette évolution a un impact sur le rendement potentiel des investissements locatifs. Certaines villes comme Limoges et Mulhouse affichent un rendement brut théorique élevé. Concernant les 10 plus grandes villes de France, Lille offre le meilleur potentiel de rendement brut malgré la baisse des prix.

Il est important de noter que le rendement réel d’un bien peut varier en fonction de différents critères. Les chiffres fournis par le baromètre ne sont que des estimations et doivent être utilisés à titre comparatif uniquement.

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Comment éviter les imprévus lors de travaux de rénovation ?

63% des propriétaires envisagent de rénover leur logement en 2023 selon l’Insee, la Fnaim et Se Loger. Malgré les aides financières comme MaPrimeRénov pouvant aller jusqu’à 70 000 euros, de nombreux logements sont encore énergivores et mal isolés à cause des craintes liées aux imprévus pendant les travaux. Certains hésitent à se lancer par peur des retards, coûts supplémentaires, dégradations ou même escroqueries. Pourtant, il existe des solutions pour éviter ces désagréments. Faire appel à un commissaire de justice ou un huissier peut sécuriser les droits du propriétaire, de l’entreprise réalisant les travaux, de l’architecte et des voisins impactés. Avant le début du chantier, il est possible d’établir un constat officiel pour enregistrer l’état initial du lieu. Cela peut être utile en cas de litige pour prouver sa bonne foi et déterminer les responsabilités. Il est aussi recommandé de vérifier l’assurance du professionnel choisi avant de signer le devis afin qu’elle couvre bien les travaux prévus et soit valide pour l’année en cours. Pendant les travaux, il est important d’être attentif aux éventuels problèmes tels que retards, malfaçons ou abandon du chantier par l’entrepreneur afin d’y remédier rapidement. Une fois les travaux terminés, faire établir un état final par un commissaire permettra de lever toutes réserves mentionnées lors de la livraison des travaux et identifier d’éventuelles malfaçons. Ces démarches supplémentaires peuvent représenter un coût mais elles garantissent la sécurité financière et juridique après une rénovation immobilière réussie.

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Nantes : les prix de l’immobilier ont chuté de 5,70% en un an

Les prix de l’immobilier à Nantes ont baissé de 5,70% en un an, soit une moyenne de 3 602€ le mètre carré. Cette baisse s’est accélérée ces trois derniers mois avec -2,70%. Parmi les grandes villes, Nantes se place parmi celles qui ont connu l’une des plus fortes chutes, tout comme Paris (-5,70%), Lyon (-6,30%) et Bordeaux (-5,30%). En revanche, Marseille et Toulouse voient leurs prix diminuer respectivement de -1,40% et -1,60%.

Dans ce contexte, un studio de 20m² est actuellement aux environs de 75 000 € à Nantes. Quant à un deux-pièces de 40m² ou un trois-pièces de 60m², ils coûtent respectivement autour de 144 000 € et 216 000 €. Malgré cette baisse des prix immobiliers d’achat dans la ville, les loyers affichent une augmentation annuelle de l’ordre de +1,90%, atteignant ainsi environ 12.50€ le mètre carré.

Cette hausse des loyers peut s’expliquer en partie par des conditions plus strictes pour l’accès au crédit immobilier due à une augmentation des taux d’intérêt. Cela exerce une pression sur la demande locative. Le rendement potentiel brut pour un investisseur immobilier à Nantes tourne autour de 4.20%, chiffre moyen parmi les villes étudiées dans ce baromètre.

Il convient cependant d’être attentif aux différences entre les quartiers ainsi qu’aux surfaces et configurations spécifiques pour évaluer précisément le bien immobilier souhaité dans la région nantaise.

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Lyon : -6,30% sur un an, les prix de l’immobilier décrochent

Les prix de l’immobilier à Lyon ont baissé de 6,30% en un an. C’est la plus forte chute parmi les grandes villes. Paris et Nantes ont aussi connu des baisses significatives, respectivement de 5,70% et 5,30%. Sur les trois derniers mois, la tendance à la baisse s’est accentuée avec une diminution de 2,50%. En moyenne, le prix au mètre carré à Lyon est de 4 639€. Par exemple, un studio de 20m2 coûte environ 93 000€. Malgré cette baisse des prix immobiliers, les loyers augmentent légèrement. Le loyer moyen au mètre carré est actuellement de 14,2€ avec une croissance annuelle de 2,40%. Ainsi, louer un T2 de 40m2 revient en moyenne à environ 568€ hors charges par mois. Cette progression des loyers peut s’expliquer par l’accès plus difficile au crédit et augmente la pression sur la demande locative.
Selon les données du baromètre FNAIM et Clameur sur ces chiffres d’évolution à Lyon pour l’immobilier : -6.30% sur un an.

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Bordeaux : une baisse des prix de l’immobilier et des loyers en 1 an

Les prix de l’immobilier à Bordeaux ont baissé ces derniers mois. En un an, ils ont diminué de 5,30%, avec une baisse de -3,30% sur les trois derniers mois. Le prix moyen au mètre carré est maintenant de 4 676 €. Les loyers moyens sont à 13,9 €/m2, en légère baisse par rapport à l’an dernier. Cette situation contraste avec la tendance nationale où les loyers augmentent.
Cela s’explique en partie par le fait que de plus en plus de personnes ne peuvent plus obtenir de prêt immobilier en raison des taux élevés, ce qui augmente la demande locative alors que l’offre reste stable voire diminue.
En moyenne, un studio de 20m2 coûte environ 90 000 euros, un deux-pièces de 40m2 avoisine les 180 000 € et pour un trois-pièces de 60m2, il faut compter environ 270000€.
Les investisseurs peuvent espérer un rendement locatif brut potentiel estimé à 3,7% à Bordeaux.

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Crédit immobilier : hausse sensible des taux d’usure au 1er octobre 2022 – La finance pour tous

La Banque de France a annoncé des taux d’usure plus élevés pour le quatrième trimestre. Ces augmentations inattendues visent à faciliter l’accès au crédit dans les situations les plus difficiles.

Les nouveaux seuils d’usure pour chaque type de crédit ont été dévoilés le 1er octobre. Conformément aux prévisions de la Banque de France, l’application de la formule légale – correspondant à 4/3 des taux moyens pratiqués – entraîne une hausse notable par rapport à juin dernier. Cependant, l’impact concret sur l’obtention des prêts reste à évaluer.

Crédit immobilier : les taux d’usure à respecter pour obtenir un prêt

Les taux d’usure pour les prêts immobiliers ont été augmentés au 1er octobre 2022. Ils ne doivent pas dépasser les seuils suivants en fonction de la durée du prêt :

– Prêts à taux fixe de 20 ans et plus : 3,05 % (au lieu de 2,57 %)
– Prêts à taux fixe entre 10 et 20 ans : 3,03 % (au lieu de 2,6 %)
– Prêts à taux fixe inférieur à 10 ans : 3,03 % (au lieu de 2,6%)
– Prêts à taux variable : ​​​​​​​2,92% (au lieu de ​​​​​​​2,45%)
– Prêts relais: ​​​​​​​3.4% (au lieu de ​​​​​ ​2.99%)

Le TAEG inclut tous les frais nécessaires pour obtenir le crédit et facilite la comparaison des différentes offres disponibles.

Crédit à la consommation : augmentation légère

Pour les prêts à la consommation, le taux change en fonction du montant emprunté :
– Pour les prêts de plus de 6 000 € : le taux est de 5,33 % (au lieu de 4,93 %)
– Pour les prêts de 3 000 € ou moins : le taux est de 21,16 % (au lieu de 21,11 %)
– Pour les prêts entre 3 000 € et moins de 6 000 € : le taux est de10,13 % (au lieu de9,87%).

Impact de la hausse des taux d’usure sur les dossiers de crédit, un effet encore à évaluer

La Banque de France a appliqué strictement les règles pour calculer les taux d’usure du 4e trimestre, afin de faciliter l’accès au crédit immobilier pour tous. Cependant, certains professionnels doutent que le relèvement des taux d’usure intervenu le 1er octobre soit suffisant pour débloquer tous les dossiers difficiles. En effet, les banques ont également augmenté progressivement leurs taux de crédit immobilier, ce qui pourrait créer de nouveaux obstacles dans les semaines à venir. Il est donc difficile de prédire si cette évolution réglera réellement la problématique de l’accès au crédit pour tous.

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Taxe d’habitation : dernier versement pour la résidence principale – La finance pour tous

20 % des foyers paient encore la taxe d’habitation pour leur domicile principal. Mais en 2023, elle sera supprimée pour tout le monde ! Les maisons secondaires ne sont pas concernées.

Il faut payer la taxe d’habitation à la mi-novembre. La suppression de cette taxe a été progressive pour les contribuables modestes, ayant débuté en 2018. Pour les 20% restants, cela se fait progressivement de 2021 à 2023. La date limite de paiement est le 15 novembre, avec un délai supplémentaire de cinq jours pour les paiements en ligne (qui seront prélevés vers le 25 novembre).

Réécrire en français le sous-titre suivant: Taxe d’habitation : un abattement de 65 % en 2022

Après avoir eu une réduction de 30 % en 2021, les contribuables concernés voient leur taxe diminuer de 65 % en 2022. En 2023, elle sera complètement supprimée.
Pour bénéficier d’une exonération totale, il faut avoir un revenu fiscal de référence (RFR) inférieur à 28 150 € pour une personne seule, à 44 830 € pour deux parts fiscales ou à 57 340 € pour un couple avec deux enfants.

La suppression de la taxe d’habitation ne concerne que la résidence principale. Les résidences secondaires restent soumises à cet impôt. Dans certaines zones tendues, la commune peut imposer une majoration sur ces biens (taxe sur les logements vacants).

Suppression de la redevance audiovisuelle

La taxe pour la télévision a été supprimée dans une loi financière de 2022.
Pour ceux qui paient encore leur taxe d’habitation chaque mois, le montant déjà payé sera déduit automatiquement du total restant à régler.
Avant, la redevance télé était de 138 € en France métropolitaine et de 88 € dans les départements d’outre-mer.

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Loyers : une hausse de 3,49 % au troisième trimestre 2022 – La finance pour tous

La hausse des loyers est limitée à 3,5 % jusqu’en 2023 pour protéger les ménages de l’inflation. En plus de cet indice national, il existe des indices spécifiques pour la Corse (+2 %) et l’Outre-Mer (+2,5 %).

Au troisième trimestre 2022, l’Indice de Référence des Loyers (IRL) a augmenté de 3,49 % en métropole par rapport à la même période en 2021, atteignant ainsi un niveau de 136,27. La hausse était légèrement plus élevée au trimestre précédent avec une augmentation de 3,60 %.

Indice de référence des loyers : augmentation annuelle plafonnée à 3,5 %, sauf en Corse et Outre-Mer

La loi du 16 août 2022 a fixé un plafond de 3,5% pour l’augmentation annuelle des loyers entre le troisième trimestre 2022 et le deuxième trimestre 2023. En Corse, le plafond est de 2%, et dans les régions d’Outre-Mer, il est de 2,5%. Sans ces mesures, l’indice des loyers aurait augmenté de 4,78% sur un an au troisième trimestre 2023 selon l’Insee.

Mise en œuvre de l’ajustement annuel du loyer

L’Indice de référence des loyers, calculé depuis le quatrième trimestre de 1998, est basé sur une moyenne des douze derniers mois de l’indice des prix à la consommation (hors tabac et hors loyers). Il s’applique à tous les logements loués vides ou meublés comme résidence principale, sauf les HLM (loi du 6 juillet 1989).
Le propriétaire peut ajuster le loyer une fois par an seulement si cela est prévu dans le contrat de location. Si le bail ne précise pas le trimestre de référence pour cet ajustement, il faut se référer au dernier indice connu à la signature du bail.

Le propriétaire a un an pour procéder à cette révision mais elle ne s’appliquera qu’à partir du moment où il en fait la demande. Au-delà d’un an, il ne pourra plus appliquer cet ajustement sur les périodes passées non révisées.

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Crédit immobilier : taux moyen de 2,05 % en octobre 2022 – La finance pour tous

Les taux immobiliers ont augmenté en octobre 2022 pour atteindre en moyenne 2,05 %. Le nombre de prêts accordés a diminué.

Le rapport d’octobre 2022 de Crédit Logement/CSA indique que les taux continuent d’augmenter, que la durée des prêts s’allonge entraînant un coût total plus élevé et que les conditions d’octroi des banques se resserrent.

Crédit immobilier : taux moyen de 2,05 % en octobre 2022

En octobre 2022, le taux moyen des prêts immobiliers était de 2,05 %. Ce taux varie selon que l’achat concerne un bien neuf (2,09 %) ou ancien (2,05 %). En plus du taux nominal, il faut inclure les frais associés au prêt (assurance, garanties…) pour obtenir le TAEG.
Avec l’augmentation du taux d’usure en début octobre pour le dernier trimestre, la hausse du taux moyen est similaire à celle observée en juillet. Depuis décembre 2021, tous les taux de crédit ont augmenté de 1 point de base.

Augmentation de la durée des emprunts

En octobre 2022, les prêts immobiliers sont devenus plus longs avec une durée moyenne de remboursement de 244 mois, soit plus de 20 ans. C’est un record selon l’observatoire.

Diminution nette du nombre de prêts accordés par les banques

La diminution du nombre de prêts accordés a commencé en 2022 suite aux recommandations du HCSF. Cette baisse s’est accentuée à cause de la situation en Ukraine et de l’augmentation des prix, ce qui a entraîné une contraction de l’offre bancaire. Malgré une augmentation du taux d’usure en octobre, la production de crédits n’a pas suffisamment augmenté et a continué à baisser. En fin octobre, la production de crédits avait chuté de 10,7 % par rapport à l’année précédente, tandis que le nombre de prêts accordés avait baissé de 12,9 %.

Augmentation du coût des opérations

Les emprunteurs gagnent plus d’argent cette année par rapport à l’an dernier. Le coût moyen des opérations immobilières est donc plus élevé : en 2022, il représente 4,8 années de revenus contre 4,7 en 2021.
Malgré une baisse générale du montant des crédits accordés, les nouveaux emprunteurs ont tendance à contracter davantage de prêts immobiliers pour financer des projets plus coûteux.

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Crédit immobilier : hausse des taux d’usure en janvier 2023 – La finance pour tous

Les seuils d’usure pour le premier trimestre 2023 ont été augmentés. Cependant, les taux des prêts immobiliers offerts aux nouveaux emprunteurs continuent d’augmenter, ce qui pourrait compliquer l’accès au crédit.

Les nouveaux seuils d’usure applicables du 1er janvier au 31 mars 2023 sont plus élevés que ceux du trimestre précédent. Mais est-ce que cette augmentation permettra aux emprunteurs de contracter des prêts immobiliers alors que les taux continuent à monter ?
Les banques ne peuvent pas accorder de prêt (immobilier ou consommation) avec un TAEG dépassant ces taux maximum légaux. Il existe différents seuils d’usure fixés en fonction du type de prêt, de son montant et de sa durée de remboursement.

Augmentation des taux d’usure pour les prêts immobiliers en janvier 2023

Les taux d’usure pour les crédits immobiliers augmentent en janvier 2023 par rapport à octobre 2022 :
– Pour les prêts à taux fixe de moins de 10 ans : 3,41 % au lieu de 3,03 %
– Pour les prêts à taux fixe entre 10 et 20 ans : 3,53 % au lieu de 3,03 %
– Pour les prêts à taux fixe de plus de 20 ans : 3,57 % au lieu de 3,05 %
– Pour les prêts à taux variable : 3,35 % au lieu de 2,92 %
– Pour les prêts relais : 3,76 % au lieu de 3.40 %

Cela représente des hausses allant de 0.36 à ​​0.52 point selon le type de crédit immobilier.

Hausse constante des taux moyens des prêts immobiliers

Le taux d’intérêt moyen pour les prêts immobiliers a dépassé 2 % en début d’année selon la Banque de France, atteignant ainsi son plus haut niveau depuis avril 2016. Les taux fixes se situent en moyenne à 2,25%, avec des variations allant de 2,08% à 2,34% sur différentes durées.

Parallèlement, la durée des prêts s’allonge progressivement, passant à une moyenne de 248 mois en novembre 2022 contre 245 mois le mois précédent. Les prêts d’une durée de 20 à 25 ans représentent désormais une part importante (67,2%) des nouveaux crédits accordés cette année.

En prenant en compte les frais annexes et l’assurance Décès Invalidité (DIT), le coût global des prêts augmente significativement par rapport aux taux nominaux mentionnés. Cela peut poser un réel défi financier pour les primo-accédants sans apport personnel confrontés à des taux plus élevés que la moyenne.

La conjonction de l’augmentation des prix immobiliers, des taux directeurs de la BCE et des taux de crédit renchéris constitue autant d’obstacles pour les particuliers souhaitant acquérir un bien immobilier dans les prochains mois.

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Crédit : le taux d’usure révisé tous les mois à compter du 1er février – La finance pour tous

La Banque de France va maintenant réviser mensuellement, et non plus tous les trimestres, les taux d’usure à partir du 1er février jusqu’au 1er juillet 2023. Le taux d’usure est le taux maximum auquel un prêt peut être accordé. Un prêt est considéré illégal s’il dépasse ce taux fixé par la Banque de France pour le trimestre en cours. Ce taux inclut le coût de l’assurance emprunteur et d’autres frais obligatoires ajoutés au taux nominal du prêt.

La Banque de France va réviser mensuellement les taux d’usure de manière temporaire

La Banque de France va désormais ajuster mensuellement les seuils du taux d’usure pour tous les types de prêts, afin de suivre l’évolution rapide des taux du marché. Ces nouveaux seuils seront basés sur la moyenne des taux pratiqués au cours des trois derniers mois. Cette modification prendra effet à partir du 1er février 2023 et concernera les prêts applicables jusqu’au 1er juillet.

Lors de son intervention devant la commission des finances du Sénat, François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, a expliqué que cette révision mensuelle permettrait d’éviter une augmentation soudaine en fin de trimestre. Au lieu d’une seule hausse importante, il y aura trois petites hausses progressives chaque mois, en se basant sur les trois mois précédents.

Cette adaptation temporaire vise à garantir un accès plus large au crédit pour un plus grand nombre d’emprunteurs. En raison de la hausse des taux observée ces douze derniers mois, certains emprunteurs ont été exclus car le TAEG demandé dépassait le taux d’usure établi pour leur catégorie spécifique de prêt.

Des taux d’usure qui varient en fonction des crédits

Le taux d’usure varie selon le type de prêt (consommation, immobilier), le montant emprunté et la durée du crédit. La Banque de France analyse les taux des crédits octroyés par les banques sur les 3 derniers mois pour chaque catégorie de prêt. Une majoration d’un tiers est ajoutée à la moyenne de ces taux pour fixer le taux effectif moyen, qui devient le taux d’usure applicable pour le trimestre suivant.

Concernant les prêts immobiliers à taux fixe, le taux moyen se situe à 2,25 % (hors frais et assurance liés au crédit) d’après l’Observatoire Crédit Logement/CSA. Les taux vont de 2,08 % sur 15 ans à 2,34 % sur 25 ans. Par ailleurs, la durée des prêts s’allonge encore puisqu’en novembre 2022 elle était en moyenne de 248 mois contre 245 mois en octobre dernier.

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Bien immobilier : obligation de déclaration fiscale – La finance pour tous

Les propriétaires de biens immobiliers doivent déclarer l’occupation de leurs logements sur le site impots.gouv.fr avant le 10 août 2023. Il s’agit d’une obligation pour environ 34 millions de Français possédant 73 millions de logements en France destinés à l’habitation.

Cette démarche, instaurée par la loi de finances pour 2020, doit être effectuée en ligne via son espace personnel sur le site des impôts. L’objectif est de vérifier et éventuellement corriger le statut d’occupation du bien : résidence principale (exonération de taxe d’habitation), résidence secondaire ou logement mis en location. En cas de location, il convient de déclarer les locataires et préciser s’il s’agit d’une location vide ou meublée.

La mention du loyer est facultative. Pour les locations saisonnières, il est nécessaire d’indiquer la période concernée ainsi que les modalités de gestion du bien.

Cette déclaration se fait en ligne depuis l’espace « Gérer mes biens immobiliers » sur impots.gouv.fr avant le 10 août 2023 (avec une prolongation exceptionnelle).

Déclarer les biens immobiliers aux impôts : repérer ceux soumis à taxation

Cette nouvelle procédure vise à vérifier si les biens immobiliers sont assujettis à la taxe d’habitation ou à la taxe sur les logements vacants. Ne pas faire cette déclaration peut entraîner une amende forfaitaire de 150 euros par propriété.
Cependant, la Direction générale des finances publiques (DGFIP) se montre compréhensive et précise qu’aucune pénalité ne sera appliquée cette année.

Les propriétaires ont accès à une Foire Aux Questions (FAQ) pour répondre à toutes leurs interrogations, ainsi qu’à un numéro d’assistance : 0 809 401 401 (numéro non surtaxé). Il est également possible de poser des questions via son espace personnel en ligne ou de prendre rendez-vous avec son centre des impôts.

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Crédit immobilier : le taux d’usure passe la barre des 4 % – La finance pour tous

Les taux d’usure ont été révisés chaque mois depuis février pour s’adapter à la hausse des taux. À partir du 1er avril, ils varient entre 3,72 % et 4,24 % en fonction de la durée du prêt.

Depuis février 2023 et temporairement jusqu’à juin, ces taux sont calculés mensuellement (au lieu de trimestriellement) pour mieux refléter l’augmentation significative des taux d’intérêt.

Crédit immobilier : une augmentation significative des taux

Les taux des prêts immobiliers ont beaucoup augmenté ! En moins de deux ans, les conditions pour obtenir un prêt immobilier se sont durcies.

D’après Empruntis, le taux moyen brut (sans assurance) est de 2,95% sur 15 ans, 3,05% sur 20 ans et 3,15% sur 25 ans à la fin du mois de mars 2023. Ces taux ne comprennent pas les frais incontournables comme l’assurance emprunteur qui doivent être ajoutés pour calculer le TAEG (taux effectif annuel global).

Le taux d’usure augmente pour avril 2023

La Banque de France a annoncé les nouveaux taux d’usure à partir du 1er avril 2023. Pour tous les crédits immobiliers sauf ceux de moins de 10 ans, le taux maximum est désormais supérieur à 4 %. Le taux d’usure correspond au taux maximum autorisé pour accorder un prêt en France.

Voici les seuils d’usure applicables aux crédits immobiliers à partir du 1er avril 2023 :

– Prêts à taux fixe :
– Moins de 10 ans : 3,72 %
– Entre 10 et moins de 20 ans : 4,09 %
– Plus de 20 ans : 4,24 %

– Prêts à taux variable :
– Taux effectif moyen pratiqué au premier trimestre 2023 : 3,02 %
– Taux d’usure applicable en avril 2023: 4,03 %

– Prêts-relais :
– Taux effectif moyen pratiqué au premier trimestre : 3,23 %
– Taux d’usure applicable en avril : 4,31 %

Ces informations proviennent de la Banque de France.

Augmentation des taux : un impact significatif pour les emprunteurs

Ils doivent payer plus chaque mois ou prolonger la durée du prêt, ce qui fait augmenter le coût total. S’ils veulent garder la même mensualité, ils devront emprunter moins d’argent ou étaler le remboursement sur une période plus longue pour acheter un bien immobilier.

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Crédit immobilier : nouvelle hausse des taux – La finance pour tous

Les taux d’intérêt pour les prêts immobiliers augmentent, ce qui rend plus difficile d’obtenir un crédit. Depuis février 2023, la Banque de France publie chaque mois les nouveaux taux maximums autorisés pour tous types de crédits, afin de s’adapter aux conditions financières actuelles. Cette mesure vise à garantir que davantage d’emprunteurs puissent accéder au crédit malgré cette augmentation des taux.

Le taux d’usure : une protection pour les emprunteurs

Le taux de l’usure est le taux maximum pour un prêt. Un prêt est usuraire s’il dépasse le taux fixé par la Banque de France. Ce taux inclut le taux nominal, les frais de dossier, d’assurance et certains frais obligatoires.

Actuellement, les taux des prêts immobiliers dépassent souvent 4 %, contre 2 % il y a un an. Les taux d’usure sont calculés par rapport au taux moyen pratiqué majoré d’un tiers.

Pour les prêts immobiliers à différents termes :

– Moins de 10 ans : Taux effectif moyen 2,99 % – Taux d’usure 3,99 %
– Entre 10 et moins de 20 ans : Taux effectif moyen 3,34 % – Taux d’usure 4,45 %
– Plus de 20 ans : Taux effectif moyen 3,51 % – Taux d’usure 4,68 %
– À taux variable : Taux effectif moyen 3,35 % – Taux d’usure 4,47 %
– Prêts relais : Taux effectif moyen 3,50% – Taux d’usure: $46

Avec la forte augmentation des taux depuis plus d’un an, beaucoup de demandes de crédit immobilier sont rejetées. Le nombre de prêts accordés a chuté de plus de38 %. La durée moyenne des crédits augmente pour atteindre environ21 années.

La condition suspensive d’obtention du prêt

Lorsqu’une personne achète un bien immobilier en utilisant un prêt, le contrat de vente doit inclure une condition stipulant que la vente sera annulée si l’acheteur ne parvient pas à obtenir le prêt. Cela protège l’acheteur car s’il n’obtient pas le prêt, il peut annuler la vente sans frais.

Nouvelle augmentation des taux et son influence directe sur le coût du crédit immobilier

En fonction de la mensualité que vous pouvez payer ou du montant que vous voulez emprunter, le taux de votre crédit affecte directement votre capacité à acheter un bien immobilier.
Regardez nos vidéos pratiques « L’instant budget ». Pour comprendre les conséquences financières sur votre budget, nous avons pris en compte deux scénarios :.

Quel est le coût d’un crédit immobilier de 100 000 € ?

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Crédit immobilier : fortes hausses des taux d’usure en juillet – La finance pour tous

Les taux d’intérêt maximum autorisés pour les prêts immobiliers ont augmenté en juillet, passant à 4,11 % – 5,09 % selon la durée du prêt.

En particulier, le taux d’usure pour les prêts de plus de 20 ans, qui sont les plus courants, a fortement augmenté de 4,68 % en juin à 5,09 % en juillet.

Hausse significative des taux d’usure en juillet 2023

La Banque de France a annoncé les nouveaux taux d’usure à partir du 1er juillet 2023. Le taux d’usure représente le maximum auquel un prêteur peut accorder un prêt, que ce soit pour l’immobilier ou la consommation. Lorsque le TAEG (Taux Annuel Effectif Global) dépasse le taux d’usure de sa catégorie, il est considéré comme usuraire et constitue un délit. Le TAEG inclut non seulement le taux nominal mais aussi les frais annexes obligatoires comme les frais de dossier, d’assurance et de garantie.

Depuis février 2023, ces taux sont actualisés mensuellement pour refléter davantage les variations des taux d’intérêt. Initialement prévu jusqu’à fin juin, ce système a été prolongé jusqu’à la fin de l’année.

Voici les seuils d’usure applicables aux crédits immobiliers à partir du 1er juillet 2023:

– Prêts à taux fixe:
– Moins de 10 ans: 4,11%
– Entre 10 et moins de 20 ans: 4,84%
– Plus de 20 ans:5,09%

– Prêts à taux variable:4,69%
– Prêts-relais:5,04%

Ces données proviennent de la Banque de France.

Conséquences prévues de l’augmentation des taux d’usure

Les hausses importantes des taux d’usure devraient faciliter l’accès au crédit pour les emprunteurs. En effet, l’écart entre ces taux et les taux d’intérêt bancaires en constante augmentation pourrait jouer en leur faveur. Selon l’Observatoire du crédit logement, la réévaluation du taux d’usure depuis janvier, ainsi que sa mensualisation ont permis un ajustement rapide des taux de crédit pendant le premier trimestre. Cela devrait se traduire par une amélioration de l’accès au crédit dans les mois à venir et un alignement des taux plus adéquats.

Pour les emprunteurs âgés de plus de 45 ans qui sont pénalisés par le coût de l’assurance emprunteur, les hausses intervenues en juillet pourraient débloquer certains dossiers de prêt.

La montée des taux nuit aux emprunteurs

Cependant, les hausses importantes des taux d’usure affectent négativement les personnes qui veulent obtenir un prêt immobilier : avec la même mensualité, ils peuvent emprunter moins. Ainsi, pour un prêt de 100 000 € par exemple, le montant de la mensualité augmente et donc le coût total du prêt est plus élevé.

Quel montant peut-on emprunter avec une mensualité de 1000 € ?

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Crédit immobilier : le pire est-il derrière nous ? – La finance pour tous

La production de crédit immobilier a encore baissé en juillet, même si les prix des logements ont augmenté. Cependant, Crédit Logement pense que la situation s’améliore.

Une baisse historique de la production de crédit immobilier

En juillet, il y a eu moins de prêts immobiliers accordés par rapport à l’année précédente. Le nombre de nouveaux prêts a diminué de 50,5 % et le montant total des prêts a baissé de 51,5 %.

Responsable, le durcissement drastique des conditions de crédit par les autorités monétaires

La production de crédit a baissé pour plusieurs raisons :
– La lutte contre l’inflation : depuis début 2023, les taux moyens des prêts ont augmenté de 126 points de base à cause principalement de la hausse du taux directeur de la BCE pour contrôler l’inflation.
– Le taux moyen des prêts immobiliers est de 3,61 % (sans assurance ni frais de garantie) en juillet 2023.
– Le durcissement des conditions d’octroi décidé fin 2019 par le Haut Conseil de stabilité financière : avec deux mesures phares recommandées – plafonner à 35% les mensualités des nouveaux emprunteurs et limiter les prêts à une durée maximale de 25 ans.
– La baisse du pouvoir d’achat des ménages face à la hausse des prix immobiliers ne leur permet pas d’augmenter leur apport personnel. Cela explique le ralentissement de la demande de crédit, surtout chez les primo-accédants.

Un marché immobilier en baisse

Sur le marché immobilier, les prix ont baissé en juillet 2023. Les maisons anciennes coûtent plus cher (+1,5 %), tandis que les appartements augmentent moins vite (+0,1 %). Les ventes ont chuté au deuxième trimestre (-10,6 % par rapport à l’année dernière).
Dans le neuf, les prix des logements baissent depuis juin pour les appartements (-2,1 % sur trois mois) et ralentissent pour les maisons neuves (+9,3 % sur un an).

Une lueur d’espoir pour fin 2023 ?

Plusieurs experts pensent que la situation pourrait s’améliorer fin 2023 pour plusieurs raisons :
La Banque de France a décidé en février de mensualiser les taux d’usure, ce qui pourrait faciliter l’accès à des prêts pour certains ménages. Cependant, cette augmentation des taux d’usure entraîne une hausse des taux des crédits immobiliers ;
Les banques ont vu leur rentabilité augmenter ces derniers mois grâce aux hausses continues des taux d’intérêt appliqués sur les nouveaux prêts, ce qui pourrait les inciter à assouplir leurs conditions d’octroi étant donné que leurs marges se sont rétablies ;
Les taux devraient se stabiliser autour de 4,4 % / 5 % début 2024 après une période de hausse ;
Les prix des biens immobiliers, en particulier dans l’ancien, continuent de baisser.
Dans ce contexte, on peut envisager un regain d’activité dans le secteur immobilier aussi bien du côté du crédit que du marché fin 2023 / début 2024.

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Crédit immobilier : nouvelle hausse des taux d’usure en septembre – La finance pour tous

Les taux maximums autorisés pour les prêts immobiliers ont augmenté en septembre 2023. Ils se situent désormais entre 4,23 % et 5,56 % en fonction de la durée du prêt.

En particulier, le taux maximal pour les prêts immobiliers de plus de 20 ans, qui représentent la majorité des prêts, a connu une nouvelle hausse par rapport à août, passant de 5,33 % à 5,56 % en septembre.

Augmentation des taux d’usure en septembre 2023

Le taux d’usure est le taux maximum que les banques peuvent appliquer lorsqu’elles accordent un prêt. La Banque de France a annoncé une augmentation de ces taux à partir du 1er septembre 2023, en raison de la hausse des taux directeurs de la BCE.

Nouveaux seuils d’usure pour les crédits immobiliers à partir du 1er septembre 2023

Le taux maximum légal a augmenté en septembre 2023 pour les prêts immobiliers. Voici les nouveaux taux à ne pas dépasser :

– Prêts à taux fixe de moins de 10 ans : 4,23%
– Prêts à taux fixe entre 10 et moins de 20 ans : 5,28%
– Prêts à taux fixe de 20 ans et plus : 5,56%
– Prêts à taux variable : 5,13%
– Prêts-relais : 5,53%

Ces chiffres sont calculés par la Banque de France en se basant sur les pratiques des trois derniers mois avant le mois de septembre.

Crédit immobilier : des taux en hausse, des transactions en baisse

Le durcissement des conditions de prêt immobilier affecte fortement le marché des ventes : les acheteurs ont de plus en plus de difficulté à obtenir un financement, ce qui entraîne une diminution significative de l’octroi de crédit, baissant de 50 % sur un an jusqu’à fin juillet 2022.
Côté vendeurs, cela se traduit par une baisse du nombre de transactions (14 % selon Century) et une diminution des prix. Terra Nova estime que cette baisse pourrait atteindre 20 %.

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Quelle est l’ampleur de la baisse des prix de l’immobilier ? – La finance pour tous

Le marché immobilier en France commence à se retourner avec une baisse des prix de 1% depuis début 2023, due à l’augmentation des taux d’intérêt. Cette tendance est plus prononcée à Paris et en Île-de-France. Les prix restent élevés malgré cette baisse, mais vont-ils continuer à diminuer ?

Diminution généralisée des prix de l’immobilier en 2023

Les prix de l’immobilier baissent en France depuis le début de 2023. En moyenne, la baisse est d’environ 1 % pour tous les types de logements, un peu plus forte pour les appartements (-1,1 %) que pour les maisons (-0,9 %). Cependant, il y a des variations selon les régions.
Par exemple, en Île-de-France, les prix ont chuté de 3,3 %. La baisse est plus marquée pour les appartements (-3,4 %) que pour les maisons (-3,1 %). Dans certains départements comme la Seine-Saint-Denis (-3,9 %), les Hauts-de-Seine et le Val-de-Marne (-3,7 %) ainsi que Paris (-3,6 %), la baisse est encore plus prononcée.
En Auvergne-Rhône-Alpes et dans les Hauts-de-France aussi on observe une diminution des prix immobiliers respectivement de 0,9 % et 1,7 %. Contrairement au reste du pays, c’est le prix des maisons qui subit une correction plus importante que celui des appartements dans ces régions. À noter qu’à Lyon le recul du prix des appartements est plus important (-3.7 %) qu’à Paris.

L’indice Notaires-INSEE des prix des logements anciens utilise une base de données notariale pour calculer ces indices. Ils se basent sur toutes les transactions effectuées pendant un trimestre à qualité constante afin d’avoir une variation indépendante du type ou de la qualité du logement.

Cependant cette baisse ne concerne pas toute la France métropolitaine. La région Provence-Alpes-Côte-d’Azur fait exception avec une hausse de 1.7% depuis le début de l’année 2023. Cette progression est surtout due aux appartements (+2.6%), tandis que les maisons voient leurs prix légèrement diminuer(-0.2%). À titre d’exemple à Marseille contrairement à Paris et Lyon,on note une augmentation significative du prix des appartemments (+1%).

Les prix de l’immobilier restent élevés

Le marché immobilier a changé à cause de la BCE qui a augmenté les taux d’intérêt. Cela rend les prêts plus chers et diminue le pouvoir d’achat pour acheter une maison.

Il y a moins de transactions immobilières, avec 1 million entre juillet 2022 et juin 2023 contre 1,14 million l’année précédente. Beaucoup d’acheteurs se voient refuser leur prêt.

Les prix baissent un peu mais restent élevés car ils ont beaucoup augmenté ces dernières années grâce aux taux bas.

À Lyon, les appartements anciens sont revenus au prix de juin 2020 mais restent 50% plus chers qu’en 2013. À Paris aussi, les prix ont rattrapé ceux d’avant la pandémie mais sont encore supérieurs de 22% à ceux de 2013.

Est-ce que la baisse des prix de l’immobilier va continuer ?

La baisse des prix de l’immobilier se poursuivra à court terme en raison de la persistance de l’inflation. Les taux d’intérêt actuels rendent difficile un rebond du marché immobilier. Les données notariales montrent une évolution minimisée des prix avec un délai entre fixation et signature de l’acte de vente.

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Le montant moyen des travaux de rénovation énergétique s’élève à près de 20 000 euros – La finance pour tous

Le coût moyen des travaux de rénovation énergétique se situe autour de 20 000 euros, selon une étude de la FBF et l’ASF. En général, les propriétaires financent ces travaux principalement avec leurs économies, puis en ayant recours à un emprunt, et enfin grâce aux subventions publiques.

Pour la plupart des propriétaires (8 sur 10), le plus gros défi lors de la réalisation des travaux est d’obtenir des aides financières et de trouver des professionnels qualifiés pour effectuer les rénovations. Un bon accompagnement est crucial pour bénéficier des subventions, et le choix d’un artisan compétent est essentiel tout au long du processus de rénovation.

Les propriétaires âgés de plus de 50 ans réalisent principalement les travaux de rénovation énergétique dans leurs maisons

Près de la moitié des propriétaires (45 %) ont fait des travaux pour économiser l’énergie depuis 2019. Ces travaux sont plus fréquents dans les maisons que dans les appartements, mais la plupart du temps (98 %) c’est dans leur résidence principale.
Parmi ces propriétaires interrogés, ceux de plus de 50 ans sont majoritaires (56 %). Il y a 17% en Île-de-France, 23% dans le Nord-Ouest, 23% dans le Nord et l’Est, 13% dans le Sud-Ouest et 25% dans le Sud-Est. De ces propriétaires, 58 % travaillent encore tandis que 41 % ne travaillent pas. Près de 40 % vivent en couple.
D’autre part, il y a 32% des propriétaires qui ont l’intention de faire des travaux: soit ils n’en ont pas encore faits mais comptent le faire, soit ils veulent rénover à nouveau après avoir déjà commencé. En revanche, un tiers des propriétaires (35%) disent qu’ils n’ont pas effectué ou prévoient de réaliser des travaux.

Les premiers travaux effectués sont ceux d’isolation

La moitié des travaux de rénovation concernent l’isolation (52 % des propriétaires ayant effectué des travaux). Ensuite, viennent les fenêtres et le survitrage, le chauffage et la pompe à chaleur, la chaudière, puis les panneaux solaires. Remplacer une installation défectueuse est souvent la raison principale de ces travaux (29 %).

Plus de 70 % des propriétaires qui ont entrepris ces rénovations cherchent avant tout à réduire leur facture énergétique, tandis que 67 % souhaitent améliorer leur confort de vie. D’autres motivations incluent l’augmentation de la valeur du logement, l’action en faveur du climat et la réduction de la dépendance aux énergies fossiles.

Les artisans réalisent plus de 80 % de ces travaux d’amélioration énergétique, alors que près de 20 % sont faits par les propriétaires eux-mêmes. Cependant, plus de 40 % des propriétaires n’ont pas encore commencé ces travaux pourtant jugés utiles en raison principalement de contraintes financières et du manque d’aides et d’artisans disponibles.

Les propriétaires financent en premier lieu les travaux de rénovation énergétique grâce à leur épargne

Pour financer les travaux qui coûtent en moyenne 18 563 euros, la plupart des gens utilisent leur épargne (58 %), puis un crédit (26 %) ou des aides publiques (16 %). Cependant, environ 40 % des propriétaires paient leurs rénovations sans crédit ni aide.
4 propriétaires sur 10 ont recours à un crédit pour leurs travaux, principalement du crédit à la consommation (35 %), de l’éco prêt à taux zéro (28 %) ou un prêt bancaire immobilier / PEL (27 %).

En ce qui concerne les aides publiques, 42% des propriétaires reçoivent une aide : MaPrime Renov’ est la plus courante (51%), suivie par celles des fournisseurs d’énergie (27%) et la TVA réduite (24%).

L’enquête a été menée en ligne par l’Ifop, du 31 mars au 19 avril 2023, auprès de 5 679 Français propriétaires dont 2 507 ayant effectué des rénovations depuis janvier 2019.

Catégorieactualité immobilière

Crédit immobilier : nouvelle hausse des taux en octobre 2023 – La finance pour tous

Les taux des prêts immobiliers ont augmenté en octobre 2023, selon les chiffres publiés par la Banque de France. Cette hausse rend l’accès à la propriété plus difficile pour les emprunteurs. Les taux moyens observés le mois dernier vont de 3,23 % à 4,34 % pour tous types de prêts immobiliers. Les taux d’usure, qui représentent les taux maximums autorisés en France, sont également en forte hausse.

Crédit immobilier : hausse moyenne de plus de 5 %

Les taux de crédit immobilier ont augmenté en octobre 2023. Les prêts sur une durée de moins de 10 ans restent peu fréquents, mais les taux moyens dépassent maintenant les 4 %. Les taux d’usure sont même supérieurs à 5,5 %.

La Banque de France a décidé de réviser mensuellement les taux d’usure au lieu de le faire tous les trimestres, depuis février. Cette mesure vise à faciliter l’accès au crédit pour un plus grand nombre d’emprunteurs.

En seulement deux ans, les taux moyens ont quadruplé passant de 1 % à 4 %. Selon l’observatoire Crédit Logement, la durée moyenne des prêts immobiliers est actuellement supérieure à 20 ans (249 mois). Au cours des six derniers mois seulement, le taux d’usure a augmenté en moyenne de 1,5 %. En conséquence, le nombre de prêts accordés a chuté de près de 36 % au troisième trimestre et plus encore sur un an avec une baisse dépassant les 43 %.

Crédit immobilier : influence du taux et de la durée

La hausse des taux de crédit immobilier augmente le coût du prêt et réduit la capacité d’emprunt. Par exemple, passer d’un taux de 3 % à 4 % entraîne une augmentation mensuelle de 50 € et fait grimper le coût total du prêt de 50 %. Avec un taux plus élevé, comme 4 %, vous pourrez emprunter moins : seulement 165 000 € sur 20 ans au lieu de 180 000 €.
Concernant les loyers, l’indice de référence a augmenté de 3,49 % au troisième trimestre en raison d’une inflation persistante. Le blocage des hausses des loyers à 3,5 % est prolongé jusqu’au mois de mars en raison d’une inflation toujours élevée.

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Le prêt à taux zéro élargi à 6 millions de foyers supplémentaires – La finance pour tous

La réforme du prêt à taux zéro entrera en vigueur en janvier 2024. Le but est d’aider davantage les familles modestes à devenir propriétaires et d’augmenter le nombre de foyers éligibles, malgré des taux d’intérêt élevés.

Annoncée par Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, la réforme du prêt à taux zéro devrait être effective dès le premier janvier 2024. Ce programme d’aide à l’accession sociale serait prolongé jusqu’en 2027.

Prêt à taux zéro : augmentation du montant des travaux pris en charge à 50 %

Les foyers modestes pourront désormais obtenir un prêt à taux zéro représentant la moitié du prix du logement au lieu de 40% actuellement. De plus, une quatrième catégorie de revenus a été créée pour les ménages gagnant entre 37 000 et 49 000 euros par an, leur offrant la possibilité de bénéficier d’une aide financière de 20%. Le plafond des ressources a également été révisé à la hausse. Au total, plus de 800 millions d’euros d’aides annuelles seront allouées à environ 40 000 personnes souhaitant acquérir leur logement.

Le ministre Bruno Le Maire a annoncé que le montant maximum du prêt à taux zéro augmentera de 80 000 à 100 000 euros.

Par ailleurs, la liste des villes en « zone tendue » (zones A et B1) a été mise à jour avec l’ajout de 209 nouvelles communes, ce qui permettra aux habitants de ces zones d’obtenir un PTZ plus élevé.

Conditions du prêt à taux zéro en 2024

Ce nouveau barème offre plus de simplicité et de lisibilité. Selon le ministère, « 29 millions de foyers fiscaux pourront potentiellement bénéficier de ce dispositif étendu, contre 23 millions actuellement (73% des personnes éligibles contre 60% auparavant) ».
Outil de simulation – Découvrez la zone dans laquelle se situe votre commune : A, A bis, B1, B2 ou C.

Calcul du prêt à taux zéro en fonction de la commune

Tranches
Zone A
Zone B1
Zone B2
Zone C
Quotité du PTZ
1
≤ 25 000 € (+14 %)
≤ 21 500 € (+10 %)
≤ 18 000 € (+9 %)
≤ 15 000 € (+7 %)
50 %
2
≤ 31 000 € (+24 %)
≤ 26 000€ (+21%)
≤ 22 500€(+25%)
≤ 19 500€(+30%)
40%

≤37 000 (=) 
≥30,000 euros (=) 
[/groupe] ≤27,000 euros [=]
[/groupe] ≤24,000 euros [=]
40%
4₩49,00 (32%) ₩34,50 (28%) ₩31,50 (33%) ₩28,50 (38%)]20%.

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Crédit immobilier : des taux d’usure à plus de 6 % – La finance pour tous

Les taux d’intérêt des prêts continuent d’augmenter, atteignant un maximum de 6,11% pour les crédits de 20 ans et plus. C’est une situation exceptionnelle qui n’était pas arrivée depuis plus de 10 ans !

Il était prévu que les conditions financières des prêts diminuent, mais cela prendra encore du temps. La Banque de France a publié les nouveaux taux d’usure en vigueur à partir du 1er décembre 2023, et ils ont augmenté à nouveau. Selon les spécialistes, c’est une occasion pour les potentiels acheteurs car les banques peuvent offrir à nouveau des financements sans compromettre leur rentabilité. Cependant, pour le consommateur, cette hausse signifie une augmentation du coût total du crédit.

Quel est le coût de votre crédit immobilier ?

Le taux d’usure en France varie selon la durée du crédit :
– Moins de 10 ans : maximum 4,40 %
– Entre 10 et 20 ans : maximum 5,80 %
– Plus de 20 ans : maximum 6,11 %
– Prêts relais : maximum 6,17 %

Si vous empruntez par exemple 100 000 € à un taux de 5,5 % sur une période de :
– 15 ans: mensualité de 817 €, intérêts totaux de 47 074 €
– 20 ans: mensualité de7000 € environ mais coût total du crédit monte à près de65 100 €!

Les éléments essentiels du prêt immobilier

Pour calculer le coût total d’un prêt, on prend en compte plusieurs éléments : le taux d’intérêt affiché, l’assurance emprunteur obligatoire (qui couvre les risques de décès, invalidité et incapacité de travail), les frais de dossier et les frais de garantie. Il est possible de choisir une assurance emprunteur différente de celle proposée par la banque pour réduire les coûts. Depuis septembre 2022, il est désormais possible pour tous les emprunteurs, même ceux ayant déjà un prêt immobilier assorti d’une assurance emprunteur, de changer d’assurance à tout moment sans attendre la date anniversaire.

Afin d’optimiser vos chances d’obtenir un prêt, il est recommandé de disposer d’un apport personnel représentant au moins 10 à 20 % du coût total du projet. Vous pouvez également utiliser votre épargne salariale pour financer l’achat de votre résidence principale. N’hésitez pas à explorer les différentes options disponibles telles que les crédits aidés (crédit logement, PTZ sous conditions) et envisagez également le prêt familial qui peut s’avérer être un coup de pouce précieux en cas de besoin.

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Crédit immobilier : des assouplissements pour relancer la production – La finance pour tous

Le Haut conseil de stabilité financière (HCSF) a pris deux décisions techniques concernant les règles d’attribution des prêts immobiliers aux particuliers.

Ces mesures ont pour but de relancer un marché en forte baisse depuis un an. En effet, selon l’Observatoire Crédit Logement, la production de crédits sur une année glissante à fin novembre 2023 était en recul de 42,0 % et le nombre de prêts accordés diminuait de 40,3 %. D’après les notaires, le nombre de transactions a chuté de 18 % sur un an (chiffres arrêtés à fin septembre 2023). De plus, les taux d’intérêt des crédits continuent d’augmenter : le taux maximum autorisé pour les prêts supérieurs à 20 ans dépasse actuellement les 6 %. 
L’intégralité des mesures recommandées par le HCSF devrait être publiée prochainement au Journal Officiel.

Augmentation de la durée maximale de l’emprunt pour l’immobilier

Les banques pourront accorder des prêts immobiliers allant jusqu’à 25 ans, avec 2 années supplémentaires de différé, pour encourager les travaux de rénovation énergétique dans les anciens bâtiments. Cela sera possible si les travaux représentent au moins 10 % du montant total emprunté (au lieu de 25 % comme auparavant).

En route vers une justification du rejet de prêt par la banque ?

Le HCSF soutient la mise en place d’un dispositif par la Fédération bancaire française qui permettrait aux ménages solvables dont la demande de crédit immobilier a été rejetée de demander un réexamen. Les établissements de crédit devront désormais motiver leurs refus, ce qu’ils ne faisaient pas jusqu’à présent.

Suppression de l’intérêt des prêts relais

Le HCSF a décidé d’autoriser les banques à ne pas prendre en compte, dans le calcul du taux d’endettement, les intérêts des prêts relais. Cependant, il faut respecter une limite : le montant total du prêt relais ne doit pas dépasser 80 % de la valeur du bien vendu. Actuellement, les prêts relais représentent entre 7 et 8 % de la production totale de crédits immobiliers selon la Banque de France.

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Crédit immobilier : une seconde chance en cas de refus – La finance pour tous

Les clients d’une banque qui se voient refuser un prêt pourront demander à leur banque une nouvelle étude de leur demande. Ce dispositif sera mis en place par les banques dès février et restera valable jusqu’à la fin de l’année 2024.

La Fédération bancaire française a instauré un système permettant aux ménages solvables dont la demande de crédit immobilier a été rejetée, de bénéficier d’une révision de leur dossier. L’objectif est d’offrir au client, sous conditions spécifiques, la possibilité d’un nouvel examen, tout en donnant à la banque l’opportunité d’expliquer les raisons du refus initial.

Conditions pour obtenir une seconde chance pour son prêt immobilier

Le réexamen d’un prêt immobilier a des caractéristiques spécifiques :
– Ce processus est temporaire, débutant en février pour se terminer fin décembre 2024.
– Il ne garantit pas l’obtention du prêt, car la décision finale revient à la banque.
– Chaque banque établit ses propres règles d’information et de procédure selon sa connaissance du client.
– Ces mesures internes sont mises en place par les banques dès février.
– Le client doit contacter la même banque ayant refusé le prêt initial, toute autre demande sera rejetée.
– Le deuxième examen est uniquement déclenché par le client, pas par la banque.
– Avant de demander un réexamen, il est crucial que le client soit solvable avec un taux d’endettement inférieur à 35%.
– Le client ne doit pas être inscrit au Fichier national des Incidents de remboursement des Crédits aux Particuliers (FICP).
– La demande de prêt doit concerner la résidence principale, secondaire ou un investissement locatif du client.

Expliquer le prêt immobilier de manière pédagogique

La banque propose maintenant une explication pour refuser un prêt, ce qui était rare avant. Cela permet de mieux comprendre le refus en évoquant la réglementation sur l’usure, le coût de l’assurance-emprunteur, le calcul de la norme d’endettement et de rassurer dans cette période stressante pour le logement.

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Diagnostic énergétique : assouplissement du DPE pour les petites surfaces – La finance pour tous

Le calcul du DPE est adapté pour les logements de moins de 40 mètres carrés. Le gouvernement met en avant la lutte contre les logements énergivores. Le DPE, créé en 2006 et renforcé depuis, vise à informer sur la valeur verte du bien, recommander des travaux d’amélioration et estimer les dépenses énergétiques. Il doit figurer dans le dossier technique du logement (DTT).

Diagnostic de performance énergétique : une échelle de A à G

La performance énergétique des bâtiments est notée de « A » à « G », de la meilleure à la plus mauvaise. Les logements classés F ou G sont considérés comme des « passoires énergétiques » et ne pourront plus être loués à partir du 1er janvier 2025, selon la loi climat et résilience. Les propriétaires doivent faire réaliser ces audits avant de mettre leur bien en location ou en vente. Pour les maisons individuelles classées F ou G, un audit énergétique supplémentaire est nécessaire.

Assouplissement du DPE pour les petites surfaces de moins de 40 m2

Pour les petits appartements de moins de 40 m2, une nouvelle mesure d’assouplissement a été annoncée récemment. Elle prend en compte les particularités de ces logements, notamment en ce qui concerne la consommation d’eau chaude, qui peut impacter la classification énergétique. Le ministère du logement estime que cela permettra à 140 000 petits logements de moins de 40 m2 d’éviter d’être étiquetés comme des passoires énergétiques (classés F ou G).

Un outil proposé par l’ADEME (Agence De la Transition Écologique) est disponible en ligne pour recalculer la performance énergétique (DPE) de son logement. Il suffit d’entrer le numéro du DPE pour obtenir une nouvelle classification.

Cependant, il faudra attendre le 1er juillet 2024 pour pouvoir obtenir un certificat attestant la modification de la classification initiale du DPE, cette attestation n’étant légalement valable qu’à partir de cette date.

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Crédit immobilier : baisse des taux, mais lente reprise de la production – La finance pour tous

Le taux moyen des prêts immobiliers a fortement baissé en janvier. La demande de prêts a augmenté, mais la production de crédit reste faible. En ce début d’année 2024, la situation est plus favorable pour les acheteurs. Selon Crédit Logement, cette baisse était prévue après deux années de demande stagnante.

Crédit immobilier : diminution significative du taux moyen en février

En février, les taux ont beaucoup baissé. En moyenne, ils sont passés de 4,24 % à 3,99 %. Dans le neuf pour l’achat d’une maison, le taux moyen est descendu de 4,24 % à 3,90 % et dans l’ancien pour un achat similaire il est passé de 4,22 % à 4,01 %. Cette baisse marque un changement après une hausse observée en novembre 2023. Les banques cherchent ainsi à relancer les prêts immobiliers face à une demande faible.

Un point de base correspond au centième d’un pourcentage. Par exemple, une variation de 100 points de base équivaut à une variation de 1 %. Une variation de 2 points de base représente donc un changement de 0,02 %.

Demande de prêts en augmentation mais production de crédits toujours en déclin

Dans un contexte où les gens veulent réaliser des projets importants, la demande de prêts immobiliers a augmenté en janvier et février 2024. En effet, selon l’INSEE, cette hausse est liée à la baisse de l’inflation et marque le troisième mois consécutif d’amélioration des intentions de réalisation de projets majeurs.
Pendant ces deux premiers mois de l’année, la production de crédits immobiliers a progressé de 35,4%, avec une augmentation significative en janvier (8,5% par rapport à décembre 2023) selon Crédit Logement.
Cependant, il faut nuancer cette reprise car sur un an (comparaison entre le même mois d’une année à l’autre), la production a chuté de 40,8% en février et le nombre de prêts accordés a diminué de 35,8%.
Malgré une offre accrue des établissements financiers rendue possible par la rentabilité des nouveaux crédits octroyés, on peut envisager un retournement économique en 2024 mais cette reprise reste timide. Parallèlement, du côté des emprunteurs, leurs revenus ont légèrement baissé (-0.9% sur un an) au début de 2024 après une forte progression en 2023 (+8.1%), tandis que le coût relatif du crédit est resté stable à environ quatre années de revenus (contre 4.2 années en 2023).

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Vente à réméré : tout savoir sur la vente avec faculté de rachat exclusive

La vente à réméré : une solution immobilière avantageuse

Le vendeur d’une propriété immobilière la vend à une autre personne en échange d’une somme d’argent, avec la possibilité de la racheter après un certain temps, entre six mois et cinq ans (articles 1659 et suivants du Code civil). Pendant cette période, le vendeur peut rester dans la propriété et devra signer un contrat d’occupation en payant des indemnités. Tous les types de biens immobiliers peuvent être vendus en réméré : résidences principales, secondaires ou locatives (maisons, appartements, châteaux…), biens commerciaux (immeubles de bureaux, commerces…), domaines viticoles.

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Quand réaliser une vente avec faculté de rachat ?

Vous avez besoin d’argent mais les banques ne vous aident pas (saisie immobilière, prêt relais sur le point d’expirer, besoins de trésorerie, refus de rachat de crédit, etc.). La vente à réméré est la solution. C’est un moyen pour un entrepreneur de financer son entreprise, pour un étranger propriétaire en France ayant besoin de liquidités ou pour toute personne voulant concrétiser un projet sans passer par une banque.

Quels sont les bénéfices du réméré ?

Grâce à la vente avec faculté de rachat exclusive, vous avez l’assurance : d’une situation financière claire ; de disponibilité financière pour vos projets ; de la confidentialité totale ; du retour à la propriété ou de la vente de votre bien au meilleur prix. Le rachat du bien vendu en réméré se fera dans le délai spécifié dans l’acte notarié, qui ne peut excéder cinq ans. Pendant ce temps, vous restez usufruitier du bien et choisissez quand mettre fin à l’opération.

La société Patrimonium opère en France métropolitaine et parfois dans les DOM. Elle vous apporte son expérience exclusive de la vente avec faculté de rachat lors de la préparation de votre dossier, de la mise en place du réméré, et vous accompagne jusqu’à ce que vous exerciez votre option d’achat. En tant qu’acteur clé du portage immobilier depuis des années, faites confiance à un expert national à l’écoute, rapide et capable de vous guider à travers toutes les étapes des ventes avec faculté de rachat.

Les avantages de la vente avec faculté de rachat

Vous possédez une maison, un appartement ou des locaux commerciaux et vous avez besoin d’argent rapidement pour régler des problèmes financiers. La vente à réméré est une option qui vous permet de vendre temporairement votre bien tout en gardant la possibilité de le racheter plus tard.

Vous demeurez à la maison

Pendant la vente à réméré, vous conservez l’usufruit de votre bien tout le long.

Vous avez la priorité pour le rachat

En signant chez le notaire, vous êtes le seul à pouvoir racheter votre bien à l’investisseur.

Confidentialité absolue

Votre famille et vos proches ne sont pas au courant de la signature du réméré.

Vous pouvez racheter à tout moment

Le rachat peut être effectué à tout moment pendant votre vente à réméré.

Les frais de rachat sont peu élevés

Les frais de notaire lors du rachat sont réduits au minimum.

Faculté de rachat de votre propriété

Les différentes étapes d’une vente avec faculté de rachat

La vente à réméré est une méthode de vente immobilière avec un accord de rachat qui se déroule en plusieurs étapes. Nous commençons par évaluer la situation financière du propriétaire vendeur et la valeur de son bien, puis nous réalisons une simulation chiffrée détaillant les caractéristiques de l’opération : la durée maximale, le prix auquel l’investisseur achète le bien, le montant des indemnités d’occupation mensuelles et le prix de rachat.

Première étape : évaluation de votre situation financière et estimation de la valeur de votre bien

Après analyse, nous faisons une simulation chiffrée. Celle-ci indique la durée maximum de l’opération, le montant investi par l’acheteur, les paiements mensuels pour occuper le bien et le prix pour racheter la propriété. L’investissement représente généralement entre 50 et 65% de la valeur réelle du bien. Vous pouvez racheter votre bien à tout moment pendant la période du réméré qui peut durer jusqu’à 5 ans selon la loi, mais en général elle est plus courte.

Étape trois : recherche de financement et signature du contrat de vente

Dès que nous recevons vos documents et justificatifs, nous contactons nos investisseurs pour trouver celui qui serait intéressé par votre bien, vous offrir les meilleures conditions et avoir les fonds nécessaires rapidement pour conclure la vente dans les délais (essentiel en cas de saisie immobilière). Une fois que vous avez accepté l’offre d’un investisseur, un contrat d’occupation des lieux est établi entre vous, reprenant les termes négociés. Le montant de l’indemnité d’occupation et les valeurs de rachat sont fixés dans le contrat de réméré et restent inchangés pendant toute l’opération. La vente à réméré est signée devant notaire. Le notaire se charge de rembourser vos créanciers et le reste est transféré sur votre compte bancaire. Selon votre projet, une somme peut être mise de côté comme apport futur pour faciliter le rachat.

Lorsque vos créanciers sont payés, que votre nom est retiré de la liste noire de la Banque de France et que votre situation financière s’améliore, vous pouvez envisager de redevenir propriétaire. Pour cela, il vous faudra obtenir un prêt immobilier avec l’aide d’un courtier ou d’une banque. Si vous choisissez de vendre votre bien à un tiers, vous avez la possibilité de le proposer à une agence immobilière pour bénéficier du délai de vente le plus long possible. Une fois vendu, le produit de la vente permettra d’exercer l’option de rachat du réméré et le reste vous reviendra. Vous pouvez faire une demande de vente à réméré en seulement 2 minutes.

La vente à réméré est encadrée par le code civil, spécifiquement les articles 1659 et suivants. Selon la loi, le vendeur peut souhaiter racheter le bien vendu en remboursant le prix initial et les frais de vente. Cette opération doit être réalisée en présence d’un professionnel immobilier agréé (Loi HOGUET du 2 Janvier 1970). Les démarches à suivre sont similaires à celles d’une vente immobilière classique : mandat de vente, diagnostics, déclaration d’intention d’aliéner (DIA) et acte notarié. Il est important de ne pas confondre la vente à réméré avec un prêt hypothécaire ou un regroupement de crédits.

Éviter une saisie, sortir d’un fichage ou régulariser une situation bancaire
La vente à réméré demeure la meilleure option

Comment fonctionnent les ventes à réméré en général

Une vente à réméré immobilière se fait en dessous de la valeur réelle du bien, entre 50 et 65% de la valeur du marché. Cette décote dépend de la qualité du bien, de sa localisation et de vos besoins. Une fois le réméré signé, vous avez le droit de racheter votre bien à tout moment pendant une durée maximale généralement de 24 mois. Grâce à cette option, il est possible d’obtenir rapidement des liquidités ou régler ses dettes sans recourir à un crédit bancaire. Une vente à réméré libère de la trésorerie et permet le rachat du bien dans un délai déterminé. Ce processus se divise en trois étapes : vente du bien, occupation par l’investisseur et rachat éventuel par le vendeur initial.

Les ventes à réméré s’adressent aux propriétaires ayant besoin d’un financement urgent pour rembourser des dettes (comme lors d’un surendettement) ou faire face à une saisie immobilière par exemple. En recevant une partie du montant provenant de la vente avec faculté de rachat, les propriétaires en difficulté financière peuvent concrétiser leurs projets urgents.

Cette pratique concerne principalement les maisons, appartements, bureaux voire même des terrains viabilisés dans certains cas. Il est important d’évaluer attentivement sa situation avant d’envisager une vente avec option de rachat.

Les raisons principales qui poussent à opter pour une vente à réméré sont diverses : besoin urgent de liquidités pour régler des dettes ou réaliser un projet spécifique.

Pour plus d’informations sur la vente à réméré et répondre aux questions fréquentes sur ce sujet,nous avons préparé une Foire Aux Questions que vous pouvez consulter.
Si vous avez des difficultés à obtenir un financement pour vos projets actuels, pensez aux avantages offerts par la vente avec faculté de rachat.Il suffit juste d’en faire la demande dès maintenant.

Signification de la vente avec faculté de rachat

La vente à réméré, aussi appelée vente avec faculté de rachat exclusive ou portage, concerne la vente temporaire d’un bien immobilier à un organisme spécialisé. Cette pratique est encadrée par le Code civil français et permet au vendeur de se réserver le droit de racheter son bien dans un délai maximum de cinq ans. Il est essentiel que les modalités de rachat soient clairement établies avant la signature du contrat chez le notaire. Il ne s’agit en aucun cas d’un prêt hypothécaire ou d’un rachat de crédit.

Les quatre critères d’une vente à réméré incluent la durée maximale de l’opération, le prix de vente du bien, le montant de l’indemnité d’occupation mensuelle et le coût pour lever l’option de rachat. Ces éléments définiront les contours de votre transaction et figureront dans tous les contrats types d’acte notarié que vous signerez

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Quand opter pour un réméré ?

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Vendre un bien immobilier en réméré est une option pour les propriétaires rencontrant des difficultés financières. Si vous ne pouvez pas obtenir de prêt bancaire, que ce soit à cause de votre situation ou des règles en vigueur, le réméré peut vous aider à garder votre maison et protéger votre famille. Un propriétaire endetté ou ayant besoin d’argent rapidement peut vendre sa propriété avec la possibilité de la racheter plus tard. Par exemple, si un propriétaire a des dettes importantes et qu’il n’a pas pu trouver d’autres solutions (comme renégocier ses emprunts auprès des banques ou demander un délai de paiement aux autorités judiciaires), la vente à réméré devient une option envisageable pour refinancer ses dettes et disposer de liquidités si nécessaire. En dernier recours, la vente avec faculté de rachat exclusive permet d’éviter une vente aux enchères ou une liquidation lorsque toutes les autres options ont été épuisées.

Les principales étapes des ventes à réméré

Lors de la signature du contrat de vente

En cas de vente avec faculté de rachat, les dettes ne doivent pas dépasser 50 à 60% de la valeur du bien. Lorsqu’un investisseur achète un bien en réméré, il doit être sûr que le vendeur le rachètera dans le délai fixé. Pendant ce temps, l’investisseur ne peut pas revendre le bien ni expulser le vendeur. Si le prix de vente est trop élevé par rapport aux dettes, l’excédent est mis en séquestre chez le notaire et restitué lors du rachat du bien. Tous les frais sont inclus dans la vente et pendant l’occupation, seul un loyer mensuel est dû.

Après la conclusion de la vente

Lorsqu’un bien est vendu en réméré, le vendeur peut continuer à l’occuper. Il doit alors verser une indemnité d’occupation à l’acheteur, appelé investisseur. Cette indemnité peut être payée mensuellement ou en une seule fois si le vendeur a suffisamment de trésorerie. Pendant toute la durée du réméré, qui est définie dans le contrat, l’investisseur ne peut pas revendre le bien acheté.

Lorsque l’option de rachat est exercée

Le prix de rachat est décidé librement par les parties lors de la vente avec faculté de rachat. Il comprend le remboursement du prix initial payé par l’acheteur plus une plus-value fixée par l’investisseur au moment de la signature. Si le vendeur choisit d’exercer sa faculté de rachat en obtenant un prêt immobilier, le prix sera généralement inférieur de 10 à 40% par rapport à la valeur actuelle du bien. Le vendeur dispose d’un délai spécifique pour lever son option de rachat, pouvant même le faire immédiatement après la vente. Cette action annule alors le contrat initial et transfère la propriété au vendeur.

Le recours au rachat est une pratique courante pour les propriétaires dans ce type de transaction. En cas d’incapacité du vendeur à racheter son bien, celui-ci devient définitivement la propriété de l’investisseur. Il peut être prudent d’inclure une clause permettant au vendeur de présenter un acquéreur potentiel pendant la période du réméré.

Si le vendeur ne manifeste pas son intention de racheter dans le délai imparti, il perd son option et l’acheteur devient alors pleinement propriétaire. C’est donc au propriétaire initial qu’il revient d’activer cette option selon ses besoins financiers. Le réméré offre également un répit aux personnes endettées en arrêtant les procédures légales grâce aux fonds apportés par l’acheteur.

Si à terme, aucune démarche n’a été entreprise pour exercer l’option, celle-ci devient caduque et l’investisseur obtient définitivement la propriété du bien. Vendre en réméré implique généralement une perte financière pour le particulier concerné, qui doit évaluer cette possibilité avec attention.

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Comment stopper la procédure de saisie immobilière ?

De nombreux propriétaires se retrouvent face à une saisie immobilière de leur maison, souvent causée par des difficultés financières comme une faillite ou un divorce. Lorsque les dettes ne sont pas payées, les créanciers peuvent saisir les biens immobiliers. Avant de commencer la procédure, le créancier doit envoyer un commandement de payer par huissier au propriétaire endetté. Celui-ci a alors 2 mois pour régler ses dettes avant que la saisie ne soit effective.

Arrêter une saisie immobilière en réglant la dette

Pour arrêter une saisie immobilière, il faut rembourser la dette en entier. Si le propriétaire ne peut pas payer, le créancier devra vendre le bien immobilier pour récupérer son argent. Une fois que la dette est réglée, la saisie immobilière s’arrête. Il est crucial de payer l’intégralité des dettes mentionnées dans la procédure, ainsi que les frais associés tels que les honoraires d’avocat et les frais de publicité.

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Un huissier peut-il saisir ma maison ?

Vous avez reçu des lettres pour une dette impayée ? Vous n’avez pas payé vos dettes ? Il se peut qu’on saisisse votre maison. Cela peut devenir un vrai cauchemar. Lorsque vous ne payez pas ce que vous devez, l’organisme financier ou fiscal envoie des lettres de rappel et exige le remboursement total tout de suite.

Sous quelles circonstances ma maison peut-elle être saisie ?

Un juge peut décider que vous devez payer une dette et des frais. Un huissier viendra alors vous remettre un document qui autorise la saisie pour récupérer l’argent dû. L’huissier peut saisir vos biens comme les meubles ou la voiture pour rembourser le créancier. Ces biens saisis seront déduits de la somme due. Cette mesure est possible si votre créancier est un établissement financier par exemple. Pour d’autres dettes, seule une partie du montant en litige peut être saisie par décision d’un tribunal.

Un huissier peut-il saisir ma maison ?

L’huissier ne peut pas saisir directement votre maison. C’est le tribunal qui décide de la saisie après une procédure stricte et planifiée. Une erreur dans la procédure pourrait annuler le processus en cours, mais pas la dette elle-même. Le juge d’exécution des peines désignera un mandataire judiciaire pour réaliser la saisie si nécessaire. Votre logement ne peut être saisi que si vous en êtes propriétaire et pour payer votre dette.

Peut-on contester une saisie immobilière ?

Si vous pensez que vous ne devez pas d’argent et que vous contestez la dette, vous devrez intenter un procès contre votre créancier. Les actions de chacun seront examinées ensemble ou séparément. Pour enlever l’hypothèque, il faudra aussi avoir un jugement ordonnant sa suppression.

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Comment lever une hypothèque judiciaire définitive ?

Pour lever une hypothèque judiciaire définitivement, il faut rembourser la dette au créancier qui avait obtenu l’autorisation d’une hypothèque. Une fois remboursée, cette hypothèque est retirée de l’état hypothécaire. Pour cela, il faut être propriétaire du bien ou avoir reçu une autorisation du tribunal suite à un jugement. Le créancier peut alors demander la suppression de l’hypothèque judiciaire par voie amiable ou par le biais d’une procédure judiciaire.

Quand est-il possible de lever une hypothèque judiciaire ?

Le remboursement de l’hypothèque judiciaire peut se faire à tout moment. Pour payer définitivement l’hypothèque, il vaut mieux le faire par anticipation, c’est-à-dire avant la fin du prêt, en trouvant un accord amiable avec le débiteur pour régler les sommes dues.

Comment lever une hypothèque judiciaire définitive ?

Comment savoir si l’hypothèque a été définitivement levée ?

Un jugement de mainlevée d’hypothèque signifie que le débiteur n’a plus à respecter son engagement pour un certain temps. Ce jugement peut être provisoire ou définitif. Si le bien est vendu, le créancier peut demander la levée immédiate de l’hypothèque. Sinon, il doit saisir le tribunal pour obtenir une mainlevée définitive.

Comment lever une hypothèque judiciaire définitive ?

Les étapes pour lever une hypothèque judiciaire définitive sont simples : demander à la justice de supprimer l’hypothèque, déclarer la vente et récupérer l’argent versé au vendeur. Si l’hypothèque concerne votre résidence principale, il faut demander à la justice de la retirer et récupérer l’argent donné au vendeur avec les intérêts.

Catégorieactualité immobilière

Comment acheter une maison saisie à la barre du tribunal ?

Acheter une maison saisie par le tribunal peut être une bonne affaire avec un prix réduit. La procédure est stricte, voici les étapes pour devenir propriétaire d’une maison saisie.

Le propriétaire en difficulté

Se documenter sur les propriétés saisies

Lors d’une saisie, les biens sont mis en vente sur des sites web spécialisés. Environ deux semaines avant la vente aux enchères, il est possible de visiter les biens. Le nombre de visiteurs peut varier, mais c’est l’unique opportunité de voir le bien qui sera vendu lors de l’audience du tribunal. Si vous trouvez un bien qui vous plaît et que vous souhaitez faire une offre, c’est le moment idéal pour le faire.

Vous ne pouvez pas assister à la vente aux enchères du bien saisi au tribunal pour faire une offre. Il est obligatoire de contacter un avocat inscrit au barreau où se déroule la vente. C’est par l’intermédiaire de votre avocat que vous allez enchérir lors de la vente. Que vous remportiez ou non l’enchère, il y aura un délai de 10 jours pendant lesquels d’autres personnes peuvent surenchérir. Si personne ne surenchérit, le bien revient à l’acheteur initial. En cas de surenchère, le président du tribunal fixera une nouvelle date pour une autre vente aux enchères dans un délai d’un ou deux mois. Le nouveau surenchérisseur devra proposer une somme supérieure à l’enchère initiale plus 10 % par l’intermédiaire de son avocat inscrit auprès du barreau choisi. À la fin du processus, c’est celui qui aura fait la plus haute offre qui deviendra le nouveau propriétaire du bien immobilier saisi.

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Quelles solutions contre une procédure judiciaire pour non paiement de crédit ?

Parfois, certaines personnes en retard de paiement ne peuvent pas rembourser ce qu’elles doivent. Si plusieurs mois passent sans paiement des mensualités, la Banque de France est alertée et vous êtes inscrit dans le fichier des incidents bancaires. Heureusement, il existe des solutions pour faire face à cette situation. Vous pouvez notamment déposer un dossier de surendettement auprès de la Banque de France afin de rééchelonner votre dette et retrouver une stabilité financière. Cependant, cela ne supprimera pas votre inscription au fichier d’incident bancaire. En cas de procédure judiciaire pour non-paiement d’un crédit, il est recommandé de faire appel à un avocat qui saura défendre vos intérêts efficacement devant la justice.

Le remboursement de la dette par tous moyens nécessaires

Il est souvent difficile de payer un crédit lorsque l’on a accumulé beaucoup de retard dans les paiements. Si la banque le permet, vous pouvez régler votre dette en vendant des biens comme votre voiture ou en empruntant de l’argent à quelqu’un.

La vente du bien pour rembourser la dette

Sans solution, le propriétaire d’une maison pourrait être obligé de la vendre pour rembourser sa dette. La vente de la maison est généralement la meilleure solution pour rembourser les dettes car elle permet souvent de rembourser intégralement les dettes et même d’avoir un peu d’argent en plus. Cela peut également être une opportunité pour rembourser d’autres dettes, comme des impôts ou des cotisations sociales. Pour vendre rapidement, il est crucial de fixer un prix de vente approprié. Le propriétaire voudra bien sûr vendre au meilleur prix possible mais il devra tenir compte du besoin pressant de vendre et peut-être accepter de baisser le prix initial.

Rembourser une dette grâce à la vente avec option de rachat

La vente à réméré permet à une personne endettée de vendre sa propriété pour rembourser sa dette. Le vendeur a la possibilité de racheter le bien dans un certain délai. Il est préférable d’effectuer cette transaction avec une agence spécialisée et de faire enregistrer l’acte par un notaire.

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Quel délai pour une saisie immobilière avec vente amiable ?

Qu’est-ce qu’une saisie immobilière avec vente amiable ?

La saisie immobilière concerne la vente forcée d’un bien immobilier pour rembourser une dette civile. Le créancier peut demander cette procédure en cas de loyer, facture ou crédit impayé. Si le débiteur ne paie pas, il est contraint de vendre son bien et le produit de la vente sert à rembourser sa dette. S’il reste de l’argent après le remboursement, il revient au débiteur. La vente amiable lors d’une saisie immobilière consiste en la vente du bien sous contrôle judiciaire dans un délai fixé par le juge. Si le bien se vend dans ce délai, une partie du prix va au créancier et le reste revient à l’ancien propriétaire. S’il n’y a pas assez d’argent pour tout rembourser, l’ancien propriétaire ne récupère rien à la fin.

Comment se passent une saisie et une vente à l’amiable ?

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Votre rachat de crédits FICP propriétaire a été refusé ?

Si votre demande de rachat de crédits a été refusée et que vous êtes propriétaire de votre logement, pourquoi ne pas envisager la vente à réméré ?

Vous possédez un bien immobilier et vous souhaitez regrouper vos crédits

Vous êtes propriétaire d’un appartement ou d’une maison. Vous avez acheté votre résidence principale, secondaire ou locative, que ce soit en nom propre ou via une société civile immobilière (SCI). En plus de cela, vous avez contracté différents types de crédits : à la consommation, revolving, travaux, etc. Avec des remboursements devenus trop élevés par rapport à vos revenus, vous cherchez une solution en envisageant un rachat de crédits. Malheureusement, vos demandes auprès de votre banque et autres organismes financiers n’ont pas abouti. Malgré vos recherches approfondies sur le marché, il s’avère impossible d’obtenir un rachat de crédits. Dans l’attente d’améliorations financières, le paiement des mensualités devient difficile et peut même entraîner un fichage FICP par les organismes prêteurs.

Qu’est-ce que signifie être fiché FICP ?

Votre compte bancaire a été signalé au fichier national des incidents de remboursement des crédits aux particuliers (FICP) pour éviter le surendettement. Ce fichage se produit après 90 jours consécutifs de découvert ou trois mensualités non payées sur votre prêt. Vous recevrez un courrier d’information à ce sujet, et la Banque de France pourra vous le confirmer si vous lui posez la question. En cas de dépôt d’un dossier de surendettement, vous serez automatiquement inscrit au FICP pour une période de 5 à 7 ans selon la procédure en vigueur. Le FICP a été établi en 1989 dans le cadre de la loi Neiertz dans le but de protéger les consommateurs contre un endettement excessif par l’utilisation répétée du crédit et offrir aux organismes financiers un accès commun à ces informations.

Est-ce que la vente avec option de rachat vous concerne?

Votre demande de rachat de crédits a été refusée car vous avez des problèmes financiers, comme des retards de paiement sur votre prêt immobilier ou un crédit à la consommation. La banque vous a inscrit au fichier national des incidents de remboursement des crédits aux particuliers (FICP). La vente à réméré est une solution pour rembourser vos dettes sans perdre votre bien immobilier. N’hésitez pas à nous contacter pour une simulation personnalisée.

Possibilité de perdre son bien immobilier

En cas de dettes impayées, plusieurs organismes peuvent procéder à une saisie immobilière : les banques où vous avez contracté un prêt immobilier avec garantie hypothécaire, les établissements financiers avec qui vous avez signé un rachat de crédit ou un crédit hypothécaire, les sociétés de caution ayant repris la dette d’une banque pour non-paiement, le trésor public en cas d’impayé fiscal et les syndics de copropriété en cas de retard dans les charges. La vente à réméré est alors une solution alternative pour éviter cette situation. Encore peu connue en France, elle offre une option aux propriétaires cherchant du financement. N’attendez pas la dernière minute pour demander une simulation auprès d’un spécialiste car cette vente nécessite un délai minimum avant d’être finalisée chez le notaire. C’est une opération encadrée par le code civil et très différente d’un prêt classique.

Patrimonium, spécialiste de la vente avec option de rachat

Exemple de vente avec option de rachat après refus d’un regroupement de crédits pour propriétaire FICP

Le couple X a déménagé dans une nouvelle région après avoir vendu leur ancienne maison pour en acheter une nouvelle. Ils ont contracté 3 prêts pour des travaux. Madame n’a pas eu de soucis avec son employeur, une grande entreprise nationale, mais Monsieur a mis du temps à retrouver un emploi. Pour pallier à leur manque de trésorerie, ils ont dû contracter des crédits. Lorsqu’ils ont voulu regrouper leurs dettes, leur demande de rachat de crédits a été refusée partout. La situation est alors devenue ingérable : fichage FICP, certains crédits sont arrivés à échéance et un commandement de payer a été reçu.
La valeur de leur bien en Savoie est de 230 000 € et le montant total des crédits restant à rembourser s’élève à 83 500 €. La solution proposée par l’investisseur était la suivante : achat du bien pour 149 000 €, indemnité d’occupation mensuelle fixée à 990 € et possibilité de racheter le bien pour 159 000 €.
Grâce aux fonds dégagés lors de cette opération, ils ont pu apporter un apport conséquent lors de leur demande d’un nouveau prêt immobilier sur une durée de 15 ans qui a été accepté. Ainsi, ils ont pu régler leurs dettes tout en conservant leur propriété.

Certains ménages ont recours au crédit pour faire face à des situations rendues difficiles par la vie, jusqu’à ce que la dette contractée devienne insoutenable. Le niveau d’endettement augmente jusqu’à devenir trop élevé et les ressources ne suffisent plus. Ils se retrouvent alors fichés et en défaut de paiement sans avoir été préparés

Votre demande de rachat de crédits FICP propriétaire a été refusée ?

Rachat de crédits refusé, quels sont les risques si vous ne remboursez pas votre dette ?

Quels avantages offre la vente à réméré dans ce cas ?

La vente à réméré vous permet de garder votre bien immobilier même en cas de saisie, en le rachetant plus tard à un prix potentiellement plus bas que sa valeur réelle. Vous aurez l’option de le racheter soit en obtenant un prêt immobilier (si possible), soit en le vendant à un tiers mais au juste prix. Quoi qu’il en soit, vous pourrez valoriser votre bien à sa juste valeur. Vous êtes inscrits dans une liste noire ? Les banques ont rejeté votre demande ? Les huissiers vous mettent la pression ?

Vous aviez choisi le surendettement, mais votre situation a évolué depuis

Vous avez évité de vendre votre bien aux enchères en déposant un dossier de surendettement accepté par la Banque de France. Vos dettes ont été réparties sur une période. Maintenant que votre situation financière s’est améliorée, être en surendettement est trop contraignant. Pour sortir du surendettement, vous pouvez opter pour une vente à réméré où le prix devra couvrir vos dettes restantes.

Suppression du fichier national des incidents de remboursements des crédits aux particuliers

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Crédit relais ou vente à réméré, deux options pour financer votre futur bien

Vous possédez déjà un bien immobilier et vous envisagez d’en acquérir un autre. Si votre demande de crédit relais est refusée par la banque, ou si votre bien risque d’être saisi à la fin de la période contractuelle, la vente à réméré peut être une alternative pour financer votre futur bien

Quel est un crédit relais ?

Comment obtenir un crédit si aucune banque n’accepte ma demande ?

Vous avez demandé un prêt relais à votre banque, mais elle a refusé de vous le financer. Vous ne voulez pas perdre la maison que vous avez trouvée et qui correspond parfaitement à vos attentes. La vente à réméré pourrait être la solution dans cette situation. Grâce à cette vente immobilière avec option de rachat exclusive, vous obtiendrez une somme d’argent pour réaliser la transaction et acquérir le deuxième bien désiré.

Votre premier bien est déjà en vente dans une agence immobilière, mais aucun acheteur n’a encore été trouvé. La vente à réméré vous permettra d’acheter le deuxième bien tout en laissant du temps à l’agent immobilier pour vendre le premier. Une fois signé, vous pourrez lever l’option de rachat de votre vente à réméré et rembourser l’investisseur.

Que faire quand je suis presque à la fin de l’opération ?

Avant que cela se produise, vous aurez exploré les options qui s’offrent à vous : négocier avec la banque pour prolonger votre crédit relais, réduire le prix de vente de votre bien, etc… Le risque principal est que la banque saisisse votre propriété pour récupérer le prêt accordé. Opter pour une vente à réméré permettrait d’éviter cette situation car elle couvrirait la somme due. De plus, le réméré vous donnerait du temps pour vendre votre bien au meilleur prix. Cela vous permettrait de gagner du temps afin de ne pas être contraint de le brader.

Est-il possible de vendre à réméré si mon bien est déjà en vente dans une agence immobilière?

Vous choisissez la vente à réméré et confiez votre bien à l’agence immobilière pour le vendre. Cela donne au professionnel le temps d’agir efficacement, sans avoir besoin de vous demander de baisser drastiquement le prix pour une vente rapide. Contactez-nous pour en savoir plus sur ce mécanisme qui vous permet de vendre votre ancien bien dans les meilleures conditions financières tout en prenant votre temps.

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Eviter la saisie immobilière grâce à la vente à réméré

Évitez la saisie de votre bien immobilier par une vente à réméré

La vente à réméré: une alternative pour éviter la saisie immobilière et ses conséquences

Un propriétaire en difficulté financière peut utiliser la vente à réméré pour éviter la saisie de son bien immobilier. Comment les organismes financiers peuvent-ils recourir à cette procédure et comment cela fonctionne-t-il ?

Avant la vente forcée de votre bien immobilier

Mise en demeure de payer

Au terme d’un procès intenté par votre créancier, un juge rendra une décision vous condamnant à payer la dette et les frais. Votre créancier fera intervenir un huissier de justice pour vous remettre un commandement de payer, qui équivaut à une saisie. À partir de ce moment-là, vous ne pourrez plus vendre, donner ou percevoir des loyers sur votre bien, sauf si le commandement ordonne l’expulsion. Si la dette n’est pas réglée, votre bien sera saisi. Le commandement doit être enregistré au bureau des hypothèques dans les 2 mois suivant sa notification. Pendant ce délai, l’huissier peut visiter votre bien pour en faire un constat même sans votre accord ou en votre absence. De plus, la banque vous assignera à comparaître devant le juge de l’exécution lors d’une audience d’orientation.

Juge d’instruction

Saisie immobilière

Supprimez votre inscription au fichier de la Banque de France
Mettez de l’ordre dans vos finances
et gardez votre héritage

La vente à réméré permet de rembourser vos créanciers

Dès le départ, Patrimonium examine vos dettes pour comprendre pourquoi vous risquez la saisie : prêts hypothécaires, autres prêts, fichage Banque de France, dettes fiscales et sociales pour les entrepreneurs. Nous cherchons un investisseur qui peut rembourser vos dettes grâce à une vente à réméré. Une fois la vente signée devant le notaire, les dettes sont réglées et vous évitez la saisie immobilière.

Améliorer votre situation financière

Vous n’aurez plus à payer vos dettes, ce qui améliorera votre situation financière et permettra à vos créanciers de retirer votre inscription au FICP. Vous serez libéré du harcèlement des créanciers, des services de recouvrement et des huissiers. Il est important de ne pas contracter de nouveaux prêts pendant cette période afin de maintenir votre taux d’endettement à zéro. C’est une condition essentielle pour obtenir un prêt immobilier afin de racheter votre bien.

Protégez votre patrimoine avec la vente à réméré

En choisissant la vente à réméré, vous payez vos dettes et évitez la saisie immobilière. Vous conservez votre bien en le rachetant quand vous le souhaitez pendant la période de réméré. De plus, vous ne restez pas avec une dette résiduelle comme c’est souvent le cas lors d’une saisie où le bien est vendu en dessous de sa valeur.

Vous récupérez votre propriété

Dans un délai de 6 mois en moyenne, nous vous aidons à constituer votre dossier pour obtenir un prêt immobilier. En passant par nos partenaires bancaires ou vos propres recherches, vous pouvez trouver un financement pour sortir du réméré. Vous avez également la possibilité de vendre votre bien à une tierce personne pour pouvoir racheter celui-ci. Dans les deux cas, vous retrouvez la propriété de votre bien qui reste dans votre patrimoine. La vente à réméré vous offre ainsi la possibilité d’avoir plus de temps et de tranquillité pour racheter ou revendre votre bien au juste prix.

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Faq de la vente à réméré : des réponses complémentaires pour tout savoir

La vente à réméré n’est pas un crédit mais une véritable vente immobilière signée devant notaire. Elle permet de financer un besoin mais aussi de dépendre de la valeur du bien. Seuls les propriétaires peuvent en bénéficier, et il est possible d’y mettre fin à tout moment en levant l’option de rachat. Il n’est pas obligatoire de respecter la modalité prévue lors de l’étude du dossier. Un réméré peut être réalisé même si le bien doit être saisi dans un mois. Il est également envisageable sur un bien locatif, sans que l’investisseur perçoive les loyers à votre place. Les investisseurs n’ont pas besoin de demander un crédit pour réaliser une opération en réméré chez Patrimonium et les frais notariés sont minimes par rapport à d’autres types d’opérations immobilières. La durée maximale légale d’un réméré est de 5 ans, mais en pratique elle est généralement plus courte, entre 18 et 24 mois. La différence entre la vente à réméré et le portage immobilier se situe notamment au niveau des coûts appliqués aux différentes étapes. En cas de non-respect des conditions initiales par l’investisseur, celui-ci ne peut s’opposer aux termes convenus dans l’acte notarié initial. Patrimonium se concentre exclusivement sur la vente à réméré, ce qui lui confère une expertise unique dans ce domaine.

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Qui est redevable de la taxe d’habitation dans un logement neuf ?

Qui est responsable du paiement de la taxe d’habitation ?

Dans un logement neuf, c’est l’occupant qui doit payer la taxe d’habitation dès le 1er janvier. Peu importe le nombre de mois qu’il y a passé dans l’année, il doit s’en acquitter en totalité. Cette règle s’applique aussi aux logements meublés, aux parkings et aux garages.

Déterminer le montant de la taxe d’habitation

Le montant de la taxe d’habitation varie en fonction de la taille du logement, de l’endroit où il se trouve, des revenus de la personne qui y vit et du nombre d’occupants. Ce qu’il faut prendre en compte pour calculer cette taxe, ce sont :
– La valeur locative cadastrale du logement avec ses dépendances incluses
– Le taux d’imposition décidé par la collectivité territoriale où se situe le bien.

Réduction pour la résidence principale

Un rabais réduit le montant de la taxe d’habitation pour une résidence principale. Il est calculé sur la base de la valeur moyenne des loyers dans la ville et correspond à 10% pour les deux premières personnes à charge, puis 15% pour chaque personne supplémentaire.
Dans certaines situations, les autorités locales peuvent également décider d’accorder des rabais pour les résidences principales.

Important : Supplément pour les résidences secondaires

Dans certaines villes où le marché immobilier est tendu, un supplément de taxe est appliqué aux résidences secondaires. Ce montant varie entre 5% et 60% de la part de taxe d’habitation revenant à la collectivité.

Dispense de la taxe d’habitation

Si vous n’êtes pas imposable au 1er janvier de l’année en cours, si votre revenu fiscal est bas, si vous êtes veuf(ve), invalide ou percevez des allocations spécifiques pour handicapés ou personnes âgées, il est possible d’être exonéré partiellement ou totalement de la taxe d’habitation.

Qui paie la taxe d’habitation dans un logement neuf ?

Le gouvernement supprime la taxe d’habitation progressivement sur 3 ans à partir de 2018. Les foyers éligibles auront une réduction de 30% en 2018, 65% en 2019 et seront totalement exonérés en 2020. Après cela, la taxe sera supprimée pour tous les contribuables.

En cas d’exonération, aucune démarche n’est nécessaire auprès de l’administration fiscale. Le calcul se fait automatiquement lors de la déclaration annuelle.

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Assurance Habitation pour un logement neuf : Les points clés à retenir!

Est-ce que l’assurance habitation est obligatoire ?

L’assurance habitation n’est pas nécessaire pour tous les propriétaires. Tout dépend du type de logement et de la situation d’occupation.

Pour un logement qui n’est pas en copropriété, l’assurance habitation n’est pas obligatoire. Il est important de noter que certaines maisons dans des lotissements sont considérées comme faisant partie d’une copropriété.

Que le propriétaire occupe ou non son logement en copropriété, il doit au moins être assuré avec une responsabilité civile.

Si le propriétaire décide de ne pas prendre d’assurance, c’est lui qui devra payer les frais et réparations en cas d’accident.

Résumé : Quand est-ce que l’assurance habitation est obligatoire ?

En immeuble
Seul
Propriétaire y vivant
Doit avoir au moins responsabilité civile
Pas nécessaire
Propriétaire non résidentiel
Doit avoir au moins responsabilité civile
Doit avoir au moins responsabilité civile
Locataire
Obligatoire
Obligatoire
Colocataire
Obligatoire
Obligatoire.

Quelles sont les garanties de l’assurance habitation ?

L’assurance habitation couvre les dégâts dans le logement en cas de sinistre comme un incendie, une explosion, un dégât des eaux ou un vol. Elle inclut aussi l’extérieur et les annexes comme le jardin, le balcon, le garage et le parking. En plus du contrat standard, on peut ajouter une protection pour des objets de valeur ou du matériel spécifique. Parfois, certaines exclusions s’appliquent selon l’assureur, par exemple si une piscine ne respecte pas les normes de sécurité en vigueur.

L’assurance responsabilité civile

La responsabilité civile est généralement comprise dans l’assurance habitation. Elle protège le propriétaire, sa famille et ses animaux contre les dommages qu’ils pourraient causer à autrui ou aux parties communes de l’immeuble. Cette protection s’étend également en dehors du domicile, sauf pour le lieu de travail ou la conduite d’un véhicule.
Il est essentiel de noter que pour un immeuble en copropriété, une assurance spécifique doit être souscrite par le syndic afin de couvrir le bâtiment (escalier, toit, local poubelle…) et les personnes qui y travaillent (gardien, personnel de nettoyage…).

Quel est le prix d’une assurance habitation ?

Le prix de l’assurance habitation n’est pas fixé par la loi. Les compagnies d’assurance décident de leurs tarifs en fonction de différents critères tels que le type de logement (maison ou appartement), la surface, l’emplacement, la valeur du bien et des biens assurés. En 2018, pour un propriétaire occupant, le coût moyen annuel pour assurer un studio est d’environ 160€ et de 240€ pour un T3. Pour une assurance responsabilité civile seule, comptez environ 60€ par an. Que ce soit la compagnie d’assurance, le courtier ou le banquier, ils doivent fournir un devis précis et détaillé au client afin qu’il puisse comprendre les tarifs, les conditions et les garanties proposées.

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Les Travaux Modificatifs Acquéreur (TMA) en VEFA : Comment personnaliser votre futur logement

Les Travaux Modificatifs Acquéreur : explication

Les TMA sont des changements que l’acheteur demande pour son logement en construction. Il les demande au promoteur ou au constructeur. Ces modifications peuvent s’appliquer à une maison neuve ou un appartement.
Les TMA constituent un avantage majeur de l’achat sur plan. Ils offrent à l’acheteur la possibilité d’avoir un logement personnalisé dès son emménagement, ce qui évite certains travaux.

Quels travaux modificatifs acquéreur sont autorisés ?

Les modifications au logement ne doivent pas aller à l’encontre du Code de la Construction, en particulier des normes d’accessibilité. Elles ne doivent pas empêcher une personne en fauteuil roulant d’accéder à certaines pièces comme le salon ou les toilettes. De plus, ces travaux doivent être effectués dans le planning initial sans retarder la livraison du bien et sans déranger les autres propriétaires dans le cas d’un immeuble collectif.
Après les travaux, le logement doit toujours respecter les normes thermiques en vigueur comme la RT2012, label BBC ou certification NF.
En termes de modifications possibles pour l’acheteur :
– Déplacer ou ajouter des prises électriques, interrupteurs ou éclairages
– Modifier ou supprimer des cloisons
– Changer des équipements sanitaires
– Supprimer des espaces de rangement
– Modifier les finitions comme la peinture, le parquet ou le carrelage
Les TMA sont fréquents dans l’immobilier neuf. Certains promoteurs fournissent dès la réservation une liste d’options avec leur prix associé.

Quand et comment demander des Travaux Modificatifs Acquéreur (TMA) ?

L’acheteur doit demander des Travaux Modificatifs Acquéreur dans le mois suivant la réservation. Il vaut mieux faire la demande le plus tôt possible en fonction des travaux à réaliser. Le promoteur ou constructeur répondra environ 4 semaines après, avant la signature de l’acte de vente chez le notaire. Un architecte vérifie si les travaux sont réalisables.
Si les TMA sont acceptés, l’acheteur reçoit un nouveau devis et plan pour son logement neuf. Pour accepter, il signe avec « bon pour accord » et renvoie au promoteur. Si refusé, une autre demande peut être faite.

Un promoteur peut-il refuser des Travaux Modificatifs Acquéreur ?
Oui, s’ils ne respectent pas les critères mentionnés précédemment. Il est recommandé de discuter en amont avec votre interlocuteur commercial pour savoir ce qui peut être demandé. En général, les demandes de TMA sont souvent acceptées.

Quel est le prix des TMA et qui les finance ?

Les travaux personnalisés effectués par l’acheteur entraînent des coûts supplémentaires comme la construction, les matériaux, les frais de suivi et de gestion. Ces dépenses sont à la charge de l’acheteur.
Certains promoteurs demandent le paiement pour réaliser l’étude de faisabilité et concevoir le nouveau plan. Même si les travaux personnalisés sont refusés, cette somme reste due.
En approuvant le devis pour les travaux personnalisés, l’acheteur accepte de payer ces modifications. En général, voici comment se déroule le paiement :
50 % lors de la signature du contrat définitif d’achat.
50 % une fois que les travaux sont terminés, payables selon les appels de fonds pour le bien.

À retenir : Réception des travaux personnalisés

Lorsqu’il reçoit les clés, le nouvel propriétaire doit vérifier si son logement neuf correspond à ses attentes. C’est à ce moment qu’il peut constater si les travaux personnalisés ont été correctement réalisés.

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Acheter un bien immobilier ancien : Guide pratique en 6 étapes

Découvrez les étapes de l’achat d’une maison ou d’un appartement, de la recherche du bien jusqu’à la signature de l’acte de vente pour suivre votre projet sereinement.

Les 6 étapes pour acheter un bien immobilier ancien

Recherche d’une maison à acheter, faire une offre, choisir un notaire, signer un accord de vente, obtenir un prêt : les différentes étapes pour acheter un bien immobilier ancien.

Achat d’une maison ou d’un appartement en plusieurs étapes

Que vous achetiez une maison ou un appartement, les étapes sont les mêmes.
1. Recherche du bien : par le biais d’une agence immobilière ou d’un site d’annonces pour trouver le logement correspondant à vos critères.
2. Offre d’achat : permet de réserver le logement pendant 8 à 10 jours avant la signature du compromis ou de la promesse de vente.
3. Choix du notaire : les parties impliquées peuvent choisir un même notaire ou chacun le leur pour officialiser la vente.
4. Signature du compromis ou de la promesse de vente : se fait chez le notaire avec un acompte versé par l’acheteur et un délai de rétractation possible.
5. Financement de l’achat : l’acheteur dispose d’un mois et demi pour obtenir un prêt, pendant que le notaire vérifie les informations sur le bien.
6. Signature de l’acte de vente : finalisation chez le notaire avec remise des clés après paiement intégral au notaire.